Adan/MOI sans aucun rapport avec Eve/MOI / Point d'émergence de MOI en tant que cellule originelle/Dieu

Je n’ai pas écrit Adan et Eve, ni un homme et une femme, car cela n’a jamais été le sujet, le code originel : le "et", c’est la pomme de discorde, l’illusion que le couple (moi et lui ou moi et elle) est le cœur de l’amour, la réponse à l’absolu, alors que le seul couple envisageable et MOI et moi

Je vais essayer de poser ici mon propre passage, ma clef de voute…je ne suis plus en couple karmique, je ne vis plus mon quotidien à partir du couple. Mon apocalypse a eu lieu, JE l’ai généré et vécu, il ne me reste plus rien de ma vie "d’avant", tout a explosé, tout a pris fin en 2021. 

Je réalise que désormais, JE suis là, c’est juste MOI, ici, au cœur de MON ventre, et JE vais toujours bien. Je ne vibralise plus mon quotidien à partir de la trame liée à la notion "des autres", mais uniquement à partir de MOI/moi…c’est tellement plus simple ! Tellement plus facile "maintenant" !

Avant la déflagration que j’ai relaté dans "La FEMME et L'HOMME cosmique, psychique et physique et l'apocalypse", un nom m’est apparu, JE l’ai fait descendre dans mon réel dimensionnel : Ephrat…je me disais que sur ma ligne de temps, ce serait mon « futur amoureux », que cet esprit était incarné dans un homme avec lequel je fonderai un nouveau duo…il n’en a rien été, le miracle est bien plus grand…

Sur ma ligne de temps, Ignacio/MOI est le seul être masculin similaire à moi dans toutes les dimensions, même dans la dimension karmique. Il est mon pendant, mon écho vibratoire. Ignacio/Ephrat est mon Adan...qu'est-ce que cela veut dire ?

Nous ne sommes pas un couple, nous ne serons jamais amoureux, nous ne pratiquerons aucune sexualité, aussi sacrée soit-elle, car cela n’a jamais été le but…le but était de ME faire émerger en tant que masculin complet et féminin complet, chacun étant un MOI/moi AUTONOME…lui et moi sommes un ajustement vibratoire sur une ligne de temps, c'est tout.

Je précise qu’il ne s’agit pas ici d’une posture de sauveur, les deux codes Ignacio/Mesnet, étant répété à l’infini par d’autres êtres/MOI…des Adan/MOI/code et des Eve/MOI/code, il y en a pléthore en naissance actuellement dans la nouvelle trame…disons donc pour synthétiser, que sur notre ligne de temps individuelle Mesnet/Ignacio, nous sommes chacun un code de l’Homme/MOI et de la Femme/MOI à part entière.

Je suis donc en couple avec moi-même, en binôme vibratoire avec Adan, et en appariement amoureux avec Siuru.

 

Ignacio/Ephrat/Adan : "Adam" dans l’ancien monde, s’écrit à partir d’une énergie légèrement différente. Traditionnellement c'est plutôt AdaM / Eve, mais AdaN ça fonctionne à la lecture. Peut-être parce que le Nouvel Homme arrive cette fois-ci après la Nouvelle Femme ? Et que cet "Aime" n’est plus l’apanage seulement de l’homme ?

Alors oui, instinctivement, je l’ai écrit avec un "n"…je n’en changerai pas l’orthographe…la vibration de cet Adan-là est différente comme le dit si bien L’HOMME/MOI/IGNACIO…la femme-maman ou femme-enfant de l’ancien monde naissaient du rôle de l’homme-enfant ou de l’homme-papa (sa côte biblique, sa chair), cette femme-là et ses rôles naissaient de l’homme…alors qu’ici, MOI/L’HOMME, je proviens de MOI/LA FEMME, il y a juste eu un ultime passage de code…symboliquement, c’est présent…ce n’est plus la "chair", la matière, la conscience qui sont le relais, mais la particule/MOI…

Mesnet Joséphau-Charrier (Ignacio/Ephrat/Adan et Eve/MOI/JE/nous/Cellule originelle…)

Novembre 2021

Attention : ces textes sont anciens, ils représentent une réalité momentanée, souvent obsolète (ou plus complète) quelques années plus tard. Ainsi, parcourir l'ensemble de mes blogs dans un moment présent absolu.

 

02 05 2022, je "tombe" sur cette vidéo : le principe de l'amour versus l'amour astral, pour amplifier le fait que je suis plus le principe de Lilith que celui d'Eve. Adam et Lilith sont des codes, un principe d'équilibre pour une trame unifiée.

Traduction quantique de la bible avec l'aide de cette deuxième vidéo, Lilith et le féminin sacré : quand le principe de Lilith est chassé du paradis, elle s'enfuit en enfer, ce qui veut dire, l'enfer étant cette trame karmique, que le principe originel va être enfoui au plus profond de l'être, en attendant qu'il puisse de nouveau émerger. C'est ce qui se passe pour moi, le principe originel reprend la première place. Samaël, le "venin de Dieu", est Siuru (mon époux sur ma ligne de temps), un être vibratoire (pas le savoir, la vibration originelle cachée en enfer/sur la terre karmique), m'offre l'équilibre, l'équité. 

J'ai retrouvé mon principe d'équilibre l'année dernière avec mon Adan, je retrouve mon principe d'équité avec mon époux Samaël/Siuru. Le principe d'Adan concerne la tessiture vibratoire de la trame, le principe de Samaël concerne la relation à l'autre au sein de la trame. 

14 05 2022, je "tombe" sur cette donnée, celle de Adam Kadmon ou l'homme promordial (wikipédia) : Adam Kadmon (Homme primordial, ou aussi Adam Ila'a, אדם עילאה « Homme suprême » ; en abrégé א"ק, A"K) est, dans la Kabbale, le premier Monde spirituel qui a existé après que la lumière infinie de Dieu se fut contractée pour laisser place au vide. Adam Kadmon n'est pas Adam, le premier homme, Adam Ha-Rishon de la Bible, que Dieu a créé à partir de la poussière. Le royaume spirituel de l'Adam Kadmon correspond aux attributs divins (sefirot). Il est la volonté divine et le programme de la Création.  

Dans la Kabbale lourianique, avant le début de la création, avant l'origine du temps, avant les premiers mots de la Torah « Au Commencement il créa » (Bereshit bara), Dieu occupait tout l'espace de sa lumière infinie (En Sof). Pour permettre la création, Dieu aménagea d'abord l'espace au cours de quatre phases préparatoires :

le tsimtsoum ou la contraction de Dieu : La contraction/retrait de la lumière infinie de Dieu pour créer du vide (tehiru), suivie de l'émanation d'un reflet lumineux (reshimou) a permis à En Sof de faire descendre un Yod, la première lettre du Tétragramme, dans le vide primordial. Le Yod crée, en puissance, l’écriture et la lecture. Il contient la puissance de formation et d’organisation de toutes choses. 

Kav er Igulim : un rayon de lumière divine (kav) a traversé le vide et s'est trouvé entouré de dix sphères concentriques (igulim). La paroi de ces sphères constituait des vases (kelim) contenant et diffusant chacun un attribut ou un reflet particulier de la lumière divine (les sefirot). La sphère la plus extérieure, la sphère de Keter (la Couronne- corona), constitue la première sefirah, qui reste en contact avec le En Sof environnant. Comme dans un jeu de poupées russes, les neuf autres sefirot se rétrécissent de plus en plus en soi, jusqu’à la dixième, Malkhout (le Royaume), la sphère la plus éloignée de Dieu. 

Adam kadmon : le rayon lumineux initial (la droite) et les dix sefirot (les sphères) se sont réorganisées en s’adaptant à la forme d’un homme et de ses membres, constituant l'Adam Kadmon, l'Homme primordial. Les lumières des sefirot se combinent pour former des noms dont les puissances latentes deviennent agissantes. Ces noms, porteurs à la fois de lumière divine et de parole, investissent la tête de l’Homme, qui va les diffuser à son tour. Réorganisées dans le corps symbolique de l’Adam Kadmon, les dix sefirot (les dix lumières primordiales) établissent entre elles des liens qui accroissent considérablement l’intensité lumineuse des vases qui les contiennent.

Chevira hakelim : les trois premières sefirot, les trois premiers vases — la Couronne (Keter), la Sagesse (Hokhmah), l’Intelligence (Binah) — disposent d’un réceptacle assez solide pour supporter la croissance de l’intensité lumineuse, ce qui n'est pas le cas des autres sefirot. Les six vases suivants — qui contiennent successivement la Générosité (Hesed), la Justice (Gevourah), la Beauté (Tipheret), l’Éternité (Netsah), la Gloire (Hod), le Fondement (Yesod) —, ces six vases, ces six sefirot, éclatent. La dixième sefirah, le dernier vase, le Royaume (Malkhout), se fêle également, mais ne se subit pas autant de dommages que les six précédents. Ainsi la lumière contenue dans ces sept vases se disperse dans l’espace. Une partie de leur lumière retourne à sa source, absorbée par le En Sof. Le reste de leur lumière s’attache aux morceaux brisés des vases, précipités dans l’espace, et comme recouverts d’une écorce, d’une coquille (kelippah), qui empêchent leurs étincelles d’apparaître. Ces tessons forment la matière grossière et stérile. La brisure des vases (Chevirat haKelim) constitue la quatrième phase de la pré-création du monde.

Homme primordial : le rayon de lumière et les igulim furent habillés par la forme anthropomorphe (yosher) d'Adam Kadmon qui est royaume de la lumière divine infinie sans contenant, limité par son potentiel de création d'une Existence future. Adam Kadmon est parfois désigné comme Adam Ila'a (en araméen) ou Adam Elyon (en hébreu) : ce qui veut dire « Homme d'en haut ».

L'âme d'Adam HaRishon (le premier Homme) était l'essence suprême de l'humanité. Il contenait toutes les âmes qu'il a engendrées. Dans le Midrash, il est parfois désigné comme Adam Tata'a (en araméen) ou Adam Tachton (en hébreu), ce qui signifie « Homme d'en bas ».

Le nom anthropomorphe d'Adam Kadmon marque sa double signification : à la fois le projet divin ultime de la création, c'est-à-dire l'Homme, et l'incarnation des attributs divins (sefirot). Adam Kadmon est paradoxalement à la fois homme et divin.

Adam Kadmon a précédé la manifestation des quatre Mondes : Atzilut (l'émanation), Beriah (la création), Yetzirah (la formation) et Asiyah (l'action) représentés chacun par une lettre du tétragramme divin. Adam Kadmon lui-même est représenté par la pointe transcendante de la lettre Yud.

Dans le système des sefirot, Adam Kadmon correspond à Keter (la couronne), la volonté divine à l'origine de la création.

Les deux versions de la théosophie kabbalistique, la version médiévale/zoharique (systématisée par Moshe Cordovero) et la version lourianique plus complète, décrivent différemment le mécanisme des mondes descendant. Pour Cordovero, les sefirot, Adam Kadmon et les Quatre Mondes se forment séquentiellement à partir d'En Sof (l'Infinité divine). Pour Louria, la création est un processus dynamique d'habillage de l'exil-retrait divin dans lequel Adam Kadmon est précédé par le tsimtsoum (la divine contraction) et suivi par la Chevirat ha-Kelim (la brisure des vases contenant les sefirot).