Pulsion de vie / Vide, vacuité, rien / Emotions électriques

1, pulsion du vivant provenant de l'amide source (ou moi le 1), informe, sans fondement.

2, pulsion de vie dont l'origine est la cellule originelle, se définissant grâce à un désir sans fondement, dont la vibration est neutre, aimante par choix.

3, pulsion de désir vécue par l'ego, à travers la peur du vide qu'il faut remplir à tout prix, peur de la mort, peur du monde extérieur, de la séparation d'avec le monde des autres.

Définition web : la source des pulsions est corporelle. C'est un état d'excitation (comme la faim, la soif, le besoin sexuel...) qui oriente l'organisme vers un objet, grâce auquel la tension sera réduite. La pulsion fournit l'énergie physique nécessaire à l'activité de l'appareil psychique. On considère deux grands types de pulsions, les pulsions libidinales et les pulsions agressives. Selon qu'elles se portent sur soi ou sur l'objet, on les qualifie de narcissiques ou d'objectales.

Note : la pulsion de l'ère karmique semble provenir de l'extérieur ou disons qu'elle est excitée par le monde extérieur. Ma pulsion du vivant semble provenir de l'intérieur, elle est solaire.

Le mental ego (personnalité karmique) ne peut pas exiger de passer d'une pulsion de désir destructrice à MA pulsion du vivant primordiale. C'est moi en tant que cellule originelle qui suis cette pulsion de vie naturelle, il n'y a pas à travailler cet état d'être, et ensuite, mon mental éclairé, ma nouvelle personnalité, va traduire cela à travers le corps. 

Le processus opère doucement, passe par une oscillation entre pulsion de désir et pulsion de vie, le temps de percevoir les différences : l'ère de la pulsion de désir appartient au monde de la mort. Manger pour survivre, respirer pour survivre, corps sexué pour se reproduire et survivre, etc...il y a contradiction permanente et mortelle entre les injonctions du désir et le résultat : la faim me dévore, je dois y céder pour le plaisir de manger, de me remplir, mais aussi parce que physiologiquement, m'alimenter est la source de ma survie (croyance). Le principe de la pulsion opère différemment désormais, le corps incarne le flux de MA vie originelle, le mental a enregistré que finalement, il n'a besoin de rien pour survivre, il est la vie en elle-même. Les sensations sont toujours là, mais elles ne définissent plus la même réalité, ne poussent plus aux mêmes pulsions de désir.

La faim devient comme un moteur agréable qui permet d'émettre cette pulsion de vie, au niveau vibratoire. La fatigue ressentie n'est plus de la fatigue mais une énergie qui mènent à un autre vécu au niveau du sommeil : le corps seul dort, mais la conscience continue d'être comme en mouvement. 

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C'est MOI désormais qui m'exprime à travers le principe YEFE (le "pas d'avant", ma conscience archonte lumière), et donc les mots n'ont plus cours : il ne s'agit pas d'intégrer le vide, mais d'être MOI-même, l'amibe source. Juste MOI. Rien d'autre ne ME définit. Ce que JE suis ne contient rien, le "rien" étant encore un mot, un concept. Je suis MOI, pas "le vide". Quant à la vacuité, c'est bien du vide-plein, c'est une de MES dimensions, c'est un "vide" qui contient le "tout", c'est à dire des potentiels de plein. La vacuité, on y accédait durant l'ère karmique, à partir de ce qui est appelé "sommeil" : lire vacuité/sommeil, mon expérimentation pour apprendre non pas à dormir mais à vacuiter (utiliser cette dimension du vide).

Le meilleur, c'est que lorsque JE suis MOI-même, la perception du vide est d'abord hyper angoissante à incarner au sein de ma personnalité, puis cette notion disparaît : reste uniquement MOI, rien d'autre, aucun concept, aucun vide, ni le mot, ni le ressenti. 

Je suis juste MOI l'amibe source, personnalisé à travers YEFE l'archonte lumière, mon principe de fusion entre MOI et moi, ce "moi" temporel tout autant que non-temporel. 

Plus rien ne provient de MOI à partir d'un but, d'un désir, d'un souhait, ni même à partir du vide, tout est MOI tout simplement. La personnalité "nouvelle/originelle" efface alors tous les programmes de séparation, tous les concepts, tout le verbe qui évoque ce que JE ne suis pas en définitive. Ne reste que MOI et MON corps global, entier, unifié, que petit à petit YEFE/Mesnet réapprend à ressentir dans son ensemble. 

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Plus d'émotions ciblés mais des émotions créées : je ne suis plus victime d'émotions, de pulsions, de réactions. MES émotions ne se centrent plus sur autrui/les gens : plus de colère à leur encontre. JE fabrique MES émotions, et s'il y a encore colère, cette dernière ne concerne que MOI, plus l'autre : en tant que créateur, JE me sens encore limité dans MA vitesse de programmation neuronale et cellulaire, cela m'agace encore parfois. Je m'agace :)

Citation : COLÈRE FROIDE... COLÈRE CHAUDE...Comment faire la différence entre les deux colères : la colère chaude est dirigée contre une personne ou une situation. Il y a perte de conscience lorsque cette colère monte en vous car la quantité d'énergie que vous dégagez vous dépasse : vous vous mettez à dire n'importe quoi, à casser des choses, à devenir violent en acte et/ou en parole... La colère chaude est destructrice et incontrôlable. C'est une trop grande accumulation d'énergie qui ne trouve de sortie que lorsque l'Ego se sent impuissant et qu'il finit par exploser. c'est une soupape de sécurité pour ne pas s'autodétruire. Mais les résultats sont peu efficaces car ils déclenchent du karma : ce que vous allez dire ou faire dans votre colère devra être réparé (effet causale). Dans une colère chaude votre cœur bat à cent à l'heure, vos émotions sont à fleur de peau. La colère froide n'est pas dirigée contre quelqu'un, ni contre une situation mais contre une forme d'énergie qui limite vos possibilités d'expansion créative. Vous vous sentez entravé. La colère froide fracture la forme. Lorsque vous vous mettez en colère froide toute votre conscience est centrée sur l'énergie de la forme qui vous limite. La colère froide est un rayon d'énergie qui est en puissance et qui va déblayer le terrain pour vous ouvrir une voie royale. La colère froide met un point final à une situation qui vous emprisonne. Cette énergie est dirigée contre le double, les entités ou n'importe quel intrus qui vient se mêler de votre vie sans votre avis. Dans une colère froide vous n'avez pas d'émotion, vous êtes droit dans vos bottes - Psychologie Évolutionnaire

JE suis celui qui fabrique des émotions : pour faire face à qui JE suis (ni le plein ni le vide), rien, juste MOI, ça passe par un grand néant émotionnel. JE ne ressens pas d'émotions, JE reviens à MES origines, puis, une fois ce bouleversement effectué, JE recommence à ressentir, mais à partir de MES corps, de MOI qui suis toute MA création. MES émotions, JE les façonne, JE suis en amont, celui qui les projette, elles ne me dictent plus ma conduite, ne détermine plus mon vécu, elles sont à MON service, au service de MA pulsion du vivant.

A noter que pour le nouvel humain, les émotions ne sont finalement que de l'électricité fabriquée afin de faire fonctionner son vaisseau antigravité personnel. Et que ce vaisseau antigravité, ne fonctionne pas avec une électricité émotionnelle basse fréquence type colère (froide ou chaude), agacement, jugement, haine...

A noter également la différence entre vide, vacuité et rien : le vide et la vacuité sont une seule et même dimension sous des appellations différentes. La vacuité est aussi appelé sommeil, c'est lorsque le corps dort (le corps est déposé) que cette dimension du vide, qui contient tous les potentiels du plein, est activé à 100%. Par contre, rien, c'est moi. Et rien n'est pas une dimension, rien est plus que vide puisqu'il n'y a rien, et en même temps, en étant rien, je suis déjà quelque chose. En résumé, la vacuité est une dimension, donc une création, et moi le rien, je suis moi-même, le créateur.

YEFE Mesnet Siuru

MOI = JE = nous-tout

Avril 2023

Attention : ces textes sont anciens, ils représentent une réalité momentanée, souvent obsolète (ou plus complète) quelques mois ou années plus tard. Ainsi, parcourir l'ensemble de mes blogs dans un moment présent absolu.