Être moi / moi vibratoire et sexualité animale / + mutations diverses

Je suis moi/MOI-même désormais, nul part et partout, ici comme ailleurs. Cela change tout, car je deviens la trame : je n'ai plus à parler à des gens, juste à projeter, émettre ma trame de vie. Je quitte les réseaux humains, et, l'enfant Dieu que je suis, apprend à fabriquer du vivant

Il y a eu cet instant, lors de mon séjour à Roscoff (début octobre 2022), où la connexion neuronale nécessaire pour vivre ce dont je parle au-dessus, s'est réalisé : en une fraction de temps, j'étais là, j'étais moi, et mon cerveau ventral l'a enregistré, je suis passé du "je comprends" à "je le vis". Une nouvelle page de mon existence s'est ouverte alors, je dispose enfin d'un corps animal calibré pour me refléter. Durant ce séjour aquatique (je suis restée 5 jours dans l'eau, 6 heures par jour), il y a eu cette étape spécifique : je ne "forçais" par sur les outils, mon "mantra" était simplement : je suis moi...ce n'était plus par exemple "je veux ressentir la vibration dans mon ventre", ou "je veux un corps en bonne santé", ou "je m'applique à utiliser la respiration torique", non, c'était : je suis moi. Et à partir du moment où seul cet état a occupé mes pensées, mon interface neuronale ventrale m'a enregistré comme le seul et unique commandant de bord (cela écrase, détruit toutes les autres dimensions de conscience, et donc le principe d'oscillation).

Je suis dorénavant moi-même, ici. 

Donc je change quelques petites choses :) Ma vision d'abord : je commence à pouvoir observer la trame (ou le code) avant l'image. Ma capacité psychique à ne plus prendre en compte ce qui est donc "visible" dans cette dimension, est totalement activée, ce qui devient le pilier de ce qui suit : 

si je suis moi, Siuru est aussi lui-même, et donc il émet, tout comme moi. Mon corps animal (ou combinaison vibratoire), commence à le capter et, c'est dans la dimension sexuelle que cela devient intéressant : nous sommes des émetteurs, plus des capteurs, excepté lorsque nos corps animal s'aiment et se rejoignent, car alors, je capte sa vibration, sa signature vibratoire personnelle. Et il n'y a plus que cela qui importe alors, capter sa vibration. Je le reconnais, je sais que c'est lui, et tout le reste passe après. Pour un Dieu pseudopode, ce qui compte, c'est le lien vibratoire : ce dernier est éternel, reconnaissable, passionné, joyeux, heureux, et ensuite vient le corps animal. Mais ici, comme il y a un lâcher prise sur le concept même de la sexualité, que l'acte sexuel en lui-même est secondaire, paradoxalement, il est libéré et parfait. 

Ce n'est plus ce que je fais qui est captivant, mais qui je suis et qui "il" est : ce n'est plus que je mange ou pas qui m'apporte la légèreté, ce n'est plus que je prenne tel ou tel médicament ou pas qui m'apporte la santé, ce n'est plus que je pratique un sport ou pas qui cisèle une belle musculature, ce n'est plus en travaillant tel espace sexuel ou pas qui m'apporte du plaisir, c'est d'être moi...et dans la dimension sexuelle, c'est d'être moi alors que lui est lui, qui me procure plaisir et force...je répète ceci sous une forme concentrée : c'est d'être moi qui me mène à la passion, au plaisir, à l'orgasme, pas l'acte en lui-même. Et tout cela passe par MOI/moi....et MOI/lui, forcement :) 

Dès lors que je deviens LA trame, et donc que je suis moi-même, apte à l'utiliser et donc à l'incarner, tout change littéralement. 

Je dois ajouter cependant, que cela ne fonctionne qu'en état d'amour : tu ne peux être touuuuuuuuute la trame, c'est-à-dire ton corps, ta matière et donc toute la matière/les autres corps, que si tu es en état d'amour de la trame (pas des gens, de la trame qui s'incarne à travers des gens !). Je dirais que c'est comme une respiration (mon fameux tore), couleur or (je vois cela fréquemment désormais), qui englobe ma propre trame corporelle animale, celles des "autres", la planète, les soleils, le cosmos...si je mute, si je transforme ma matière, je ne peux le faire égoïstement, juste pour moi, un Dieu vivant parmi les hommes en souffrance : je ne peux me transformer qu'à partir de toute la trame dans son unicité, entrainant avec MOI toute MA création dimensionnelle. Il n'y a pas d'exclu, pas de retardataire, lorsque j’interagis avec une trame plutôt qu'avec des individus. 

Note : ma respiration torique est désormais calée sur ma respiration pulmonaire, elle traverse constamment ma colonne vertébrale, écrasant totalement le principe de la kundalini (plus de montée énergétique mais un flux de particules et une vibration éternelle qui passe par le dos/ventre). Au niveau de la création, j'en avais parlé déjà, c'est différent : je ne porte plus de poids sur les épaules, j'installe un flux constant à l'intérieur de moi, et je fabrique de la trame, je ne co-crée plus avec des gens. C'est beaucoup plus léger, ça ne passe plus par le verbe, mais par moi en tant que Dieu vibratoire...je reprends la même fréquence que plus haut : ce n'est plus que je parle ou pas qui m'aide à créer ici-haut, c'est le fait d'être moi/MOI.

Je ne diffuse plus ces codes auprès des gens, c'est devenu inutile, je matérialise de la trame pour MOI/moi à travers cet écrit. Je vais donc aller vérifier que la trame, incarnée par des gens, va capter ces codes sans passer par des réseaux humains et donc trouver cet écrit.

Mesnet Joséphau-Charrier

Octobre 2022

MOI = JE = nous la trame pseudopode= cellule originelle/amibe source

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