Mon (nos) corps est un corps celeste

Ce qui sépare mon-nos corps du reste de la création, ce sont mes-nos mots. Juste cela. Sinon, je suis de la matière-source, obéissant toujours aux mêmes mécanismes, quelle que soit la forme. 

Disséquons mon-nos corps "morceaux par morceaux" :

L'eau ? Mon eau est de l'eau, la même eau que partout. Et si je suis moi-même en tant que source 1, mon eau devient si pure qu'elle me nourrit, me guérit, assainit tout mon être. Mon eau la plus accessible et la plus facile à utiliser quotidiennement est ma salive-amrita : je m'en enduis le visage plusieurs fois par jour, son odeur, sa texture, son effet sur ma peau, sont de l'ordre de la perfection et de la réjouissance. De plus, son encodage étant uniquement le mien, elle ne convient qu'à moi-même, les données ne sont en phase qu'avec mon propre vaisseau. Je peux même respirer par mon eau ! A lire également : dossier eau

L'air ? De l'air, j'en fabrique à foison ! Je peux même terraformer ma propre sphère planétaire individuelle en expulsant mon oxygène interne grâce à la respiration inversée.

Le feu ? Je dispose aussi d'un matériel à haute température solaire, je chauffe, je brule, j'irradie (irradiation), cette chaleur intérieure me permettant d'accéder au processus de fusion de façon naturelle et banale. Nos mesures tramiques limitées nous disent que nous sommes moins chauds que le soleil, mais cela n'a aucune importance : nous avons la capacité de nuancer notre chaleur corporelle, de la modifier en conscience, je dirais que nous sommes plus "subtiles en température". Il n'y a plus à digérer alors, juste incarner la fusion. Lire aussi : dossier irradiation-climat

La planète terre ? C'est moi-toi-nous-le-tout. C'est donc ce corps aussi. Dans la fusion, il n'y a pas de différence de structure, chaque entité-moi disposant d'un noyau de fusion personnel et donc, à ce niveau d'unité, global et collectif également. La terre s'incarne dans chacun d'entre-moi-nous, elle a délocalisé son centre d'émission, d'où l'émergence d'une terre paradisiaque. Retenir que je suis la terre, la poussière d'atome qui me constitue matériellement, et que cet atome, lorsqu'il se fond dans l'unité, il permet au condensat de se former : un condensat, c'est un corps-planète éthérique solide et subtile en même temps (le "en même temps" est un non-temps absolu, à différencier du "temps présent"donc).

Le virus ? C'est moi-nous-le-tout. Il n'y a rien à rejeter, fuir, transformer. J'ai toujours utilisé le principe viral comme cheval de Troie créateur, et pour une conscience archontique, le virus est un atout originel, pas un danger à combattre, d'ailleurs, je ne dispose plus de système immunitaire, je n'en ai plus besoin dans la fusion.

Le plasma ? Oui, il est cosmique (étoiles, soleils, nuages plasmatiques), mais mon corps étant aussi "céleste" que tout le reste, je dispose d'un plasma riche en ions et en gaz, apte à illuminer ma sphère vivante autarcique. Plasma sanguin : le plasma est composé d'environ 90 % d'eau, les 10 % restant sont composés d'ions, de protéines, de nutriments, de gaz dissous. Pas besoin d'attendre des explosions solaires plasmatiques, il n'est plus le temps d'attendre (capteur) que le monde extérieur nourrisse mon-nos corps-planète-animal, j'ai juste à utiliser le flux plasmatique en réserve au niveau de mon coccyx, et le faire circuler de façon plus intense dans l'ensemble de ma structure éthérique-physique. Au début, un massage dans cette zone est efficace : lire ici. Retenir : attendre les énergies cosmiques, c'est être capteur, alors que je suis émetteur rayonnant à l'origine.

L'éternité ? Ca fait partie du kit minimal, je suis éternel, ce n'est même pas un choix, c'est mon état d'être. Donc mes corps-planètes sont immortels.

L'énergie ? Je n'ai plus besoin de chakras, mon corps-planète-animal est assez puissant pour se passer de ces outils préhistoriques, mon énergie vibrale est générée par mon noyau ventral, elle est sans limite.

Les trous blancs ? C'est ton casque neuronal, ta conscience éthérique archontique lumière. Les trous noirs ? C'est ton noyau ventral terrestre-animal. Les deux forment ton premier tore tête-pieds, la fusion de la matière dense-noire et de la conscience éthérique blanche.

Il n'existe pas de grands secrets, d'alchimie particulière, mon corps global (le tout) dispose des mêmes ingrédients que mes corps individuels. C'est juste une histoire de point de vue qui s’élargit jusqu'à moi qui suis l'infini.

Un corps-planète-animal-humanoïde est en même temps moi l'individu, moi la source, et incarne donc toute la technicité adéquate. Pourquoi aller chercher dans les cieux un outillage dont je dispose déjà puisque mon corps EST les cieux aussi ? 

Cette partie-là ce joue avec mon corps-planète-animal-humain, pas avec mes anciens corps de lumière qui sont en même temps dehors et dedans, mais qui ne sont plus assez "modernes" pour me définir. C'est bien ce corps-là, détesté et méprisé, qui devient pourtant le corps d'aboutissement dans lequel viennent se fondre tous mes anciens corps-concepts-vaisseaux. Ce corps qui semble si fragile à priori, lorsque je l'habite et que je fusionne matière et conscience, il devient un tokamak de fusion, une planète, un soleil et une étoile en même temps. 

C'est ce qu'est le véritable Humain. 

Une planète, un soleil et une étoile en même temps. Un condensat ou condensé d'éther auto-créé. 

Ce corps est un corps de bonheur dans son intégralité, jusqu'à la particule, et cela n'a rien à voir avec la notion de "moments heureux", c'est plus radical.

Mesnet Joséphau-Charrier

Avril 2024

Attention : ces textes sont anciens, ils représentent une réalité momentanée, souvent obsolète (ou plus complète) quelques mois ou années plus tard. Ainsi, parcourir l'ensemble de mes blogs dans un moment présent absolu.