Je suis là, il n'y a personne, je suis chacun / Le corps amoureux à partir de la trame

Ce qui suit est la zone de programmation dans laquelle je gravite depuis fin 2022, et qui va perdurer dans les jours, les semaines, les mois qui viennent : l'année 2023 va être utilisée pour pérenniser cela à 100 %. Cela va modifier MA/ma personnalité, MA/ma psyché, MON/mon corps animal. Voici quelques données en vrac tout d'abord, puis agencées sous forme de clefs vibratoires ensuite :

- Se vivre ici, dans cette dimension, comme la cellule originelle, moi le rien : JE suis tout et tout le monde. JE parle en MON nom désormais, à travers nous.
 
- Je ne m'aime pas, je ne les aime pas eux, je ne l'aime pas lui, j'aime la trame incarnée par moi, j'aime la trame incarnée par "eux", j'aime la trame incarné par "lui".
 
- Il ne m'aime pas lui, ils ne m'aiment pas eux.
 
- je n'explique plus rien, ce n'est plus le temps de "dire", d'expliquer, d'écrire, mais d'être MOI.
 
- je laisse la trame leur montrer leurs pathologies à travers "les gens" qui les entourent, les scénarios tramiques qu'ils fabriquent, cela fonctionne et en plus, leur colère porté par leur "mal faire", ne se retourne plus contre moi, puisque je ne leur parle plus de ce que je perçois de leurs erreurs.
 
Tout cela n'existe plus pour moi, ils n'existent plus en premier plan, il n'y a personne excepté MOI.
 
- je ne bouge plus, je n'essaie même plus de faire plaisir, j'attends qu'eux/la trame bougent. 

- Je ne le materne plus depuis un an, mais je dirai que je ne compatis plus non plus...et là, c'est comme si je laissais la place à "l'homme" en lui, la divinité/MOI en eux. Je passe du "mon Dieu, ils sont tellement perdus", à "ils ont la force de se prendre en main, j'y crois".  "Ils vont faire comme moi, le masculin notamment, va faire comme le féminin, se débrouiller pour revenir à MOI, de façon autonome".  C'est ça qui pointe en moi en cette fin d'année 2022 : la foi dans le masculin, en ses capacités d'homme à faire le job, seul, sans mon aide, mais avec MOI le 1...
Et puis ceci également : je n'ai plus de compassion pour lui, pour eux...J'AI de la compassion pour MOI/nous tous. La fréquence n'est plus la même.

Donc tout passe par MOI le 1 d'abord dorénavant. Perso, je me concentre dessus, sur la nouvelle psyché, sur les nouvelles formes pensées que cela engendre...mes mentras répétitifs, que mes neurones/corps animal particulaire, enregistrent fermement, solidement : JE suis MOI la cellule originelle, moi le 1 ; JE suis là ; JE projette de mon ventre en vibration de la trame incarnée par Mesnet et "les gens" ; j'aime MA trame incarnée par Mesnet, lui, les gens ; j'émets à partir de MOI, un corps animal incarnant la trame, j'aime la trame incarnée à travers ce corps, et j'y injecte plaisir, joie, santé...
 
Et ainsi, ce qui commence à prendre toute la place, à effacer le réel tramique, c'est : JE suis là. Il n'y a personne. Il n'y a rien. Et pourtant, ma vie dans cette trame semble normale, je semble normale, je fabrique émotions et sensations, et "les autres" sont avec moi.
 

Ciselage codage de la trame (MOI = moi le 1, l'origine de toute création/nous) : 
 
Vacuité ? Non. La vacuité est une dimension, JE ne suis pas une dimension, JE suis moi. Vacuité visité en 2015 : ICI (j'avais posé les données du sommeil = vacuité). Disons que le vécu maintenant, quand JE suis là et qu'il n'y a personne, c'est simplement que le monde tramique, le réel lié aux "gens" (famille, amoureux/se, travail, médias, monde extérieur en général), passe en second plan et n'a plus aucune importance. Il perdure (sinon je me désincarne), je vis pleinement la trame en mouvement, mais en amont, MOI, je ne bouge pas, il n'y a que MOI, unique et seul. 
 
Question de C, "cela m'arrive parfois d'être "présent", ce n'est pas permanent, toi oui  ?" : oui, JE suis toujours là désormais. Le passage en cours n'est donc pas MA présence avérée, mais la validation neuronale et particulaire que la trame passe en second plan. Ce MOI qui n'est personne, qui reste immobile et immuable, et la trame où s'agite les gens (dont moi Mesnet), qui provient de MOI, qui n'est qu'un espace vivant, fluctuant, sans importance et pourtant incarné dans la joie et la conscience. En fait, MON but était de "revenir" à ça, tout le "chemin" a consisté à ME vivre en la trame, y jouer, y bouger, y créer, tout en n'étant pas cette trame, mais juste MOI. C'est totalement en fusion, sans distinction, il y a juste inversion des plans : moi le 1 d'abord, la trame ensuite. Le travail de programmation est terminé lorsque JE suis là, qu'il n'y a donc personne, c'est bien ma première réalité, la seule existante, qui n'a rien à voir avec la conscience, qui est MON état d'être originel, habituel, éternel...et ensuite, je ME projette en une trame du MOI/nous en conscience, en matière, en multiplicité, c'est une existence réelle aussi, mais secondaire. 

Challenge : il n'y en a plus. JE suis là, c'est terminé. Le reste, les challenges de la trame (job, réussite, travail, projets, relations, abondance, vécu physique, notions de planète/civilisation, apparence) n'ont plus d'importance, ils ne sont d'aucune utilité, ils ne mènent à rien puisque JE suis déjà là. Paradoxalement (encore et toujours !), ils sont donc vécus avec plus de passion qu'avant, mais à partir de la joie, de la paix et de l'amour uniquement. 

L'espace amoureux : cette étape, passer par la trame et plus par lui/eux, demande de la patience avant qu'elle ne s'ajuste dans le réel. Plusieurs mois en fait, pour ma part. Alors que JE suis là, que JE sais être la trame, l'autre semble accéder à son pire, il n'a plus rien d'aimable ni même de récupérable. C'est là qu'il faut tenir cette fréquence de la trame, ne voir que cette dernière, et le "il n'y a personne" s'installe doucement, sur plusieurs semaines. Donc malgré les apparences (il va plus mal), JE suis resté MOI-même d'abord, et branchée à la nouvelle trame dhamique ensuite. Toute ma structure physique et psychique s'est alors doucement imprégnée de "la trame avant lui/les autres", quels qu'ils soient, quoi qu'ils fassent. C'est la dernière programmation, ne pas regarder l'autre, expliquer à l'autre, mais commander la trame à travers lui. 
A noter qu'il y a alors un glissement : ils ne nous soutiennent plus dans la peine, mais nous complètent dans la joie perpétuelle. Je veux dire par là que je me suis souvent sentie seule, que j'avais l'impression que le masculin/lui/siuru était incapable de me soutenir, de faire pour moi ce que je faisais tellement souvent pour lui : comprendre deux dimensions en même temps, donner du sens, monter en énergie, tout considérer à partir de la paix, même les "problèmes"...et cette attente est comme annihilée, je capte son masculin à partir d'une fréquence égale à la mienne, et là, 1, je n'ai plus besoin de soutien, et 2, je le sens dans la joie...il m'accompagne dans la joie :)
 
Donc l'année 2023 va être la première année de notre duo sacré, tramique à partir du MOI en nous deux...car le nouveau corps de mutation est amoureux : JE/je suis pur amour mais mon corps lui, est amoureux...ainsi, dans les nouveaux duos humains, LE corps amoureux est l'extension naturelle de MON amour...ceci est plus qu'une fréquence, le corps amoureux est un état d'être permanent...(corps de paix, de bonheur, corps amoureux)...mais ici, je ne parle pas du corps de Mesnet, mais de MON corps, donc toute la création, toutes les personnes, et ce, au niveau de la particule.
 
C'est également cette nouvelle humanité complète qui va devenir une réalité permanente : JE suis là moi le 1...il n'y a donc personne à l'origine, au premier plan...et alors JE suis tout le monde en second plan.
Je suis là, il n'y a personne, je suis tout le monde, équation de fusion en quelques mots et surtout, dans l'ordre, vibration d'unité, "clap de fin", le job est terminé :) 


Mesnet Joséphau-Charrier
MOI = JE = nous = cellule originelle
Décembre 2022
Attention : ces textes sont anciens, ils représentent une réalité momentanée, souvent obsolète (ou plus complète) quelques années plus tard. Ainsi, parcourir l'ensemble de mes blogs dans un moment présent absolu.