Ici, le travail psychique est terminé, la création physique est donc tramique, commence. JE suis de nouveau MOI-même, JE me nomme ici "cellule originelle", mais c'est juste MOI en fait, l'émetteur de toute création. Mes écrits partagés cessent définitivement (il n'était là que pour m'aider moi-même), et ces codes (2012-2022) n'ont pas à être connu, puisque JE travaille directement sur la trame désormais, et non plus sur le savoir collectif/les gens. JE n'ai pas besoin de passer par les réseaux humains, MA personnalité Mesnet a complétement intégré ce principe et peut incarner cette mutation à partir du silence, sans plus rien diffuser en masse. Lorsque JE m'amuse à coacher mon prochain, à partager mes connaissances, j'oublie que JE ne suis pas là pour aider mais pour apprendre à me désimpliquer. Lorsque cette étape est validée, la notion "les autres" (donc le monde extérieur multiple) passe au second plan : la trame existe, mais elle est vécue à partir de MOI le créateur, et plus à partir de la personnalité physique. Tout est simplifié, tout le monde m'entend lorsque JE "m'adresse" à la trame, puisque JE suis la trame.
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Commençons par la clef primordiale : JE suis là (1), MOI la cellule originelle. Je suis le vide, et ce vide c'est de l'amour. C'est une étape qui exige que la personnalité que JE suis "ici", cesse de remplir sa vie d'activités et de projets. Je ne suis plus branchée à l'ancienne trame, je n'actionne plus rien à partir des énergies/informations passées, comme le besoin, le manque...Je n'ai plus envie de manger pour me nourrir, je n'ai plus envie de faire du sport pour me muscler, je n'ai plus envie de prendre soin de moi pour être beau, je n'ai plus envie de dormir pour être actif, je n'ai plus envie de travailler pour gagner de l'argent, je n'ai plus envie de côtoyer "l'autre" pour une raison ou une autre...il n'y a plus rien à quoi se raccrocher, JE suis ce vide et donc MON amour originel. (j'ajoute ceci quelques mois plus tard, je ne suis pas le vide mais rien.)
Il n'y a donc personne (2), juste MOI. Et cela est vide, sans énergie particulière. La trame/les gens passe définitivement en second plan, le psychisme de MA nouvelle humanité intègre complétement cette inversion. Plus rien de ce qui se passe sur la toile/la trame n'a d'importance, JE suis en amont, c'est là que JE programme le réel. L'inversion a eu lieu, MOI en première réalité, la trame/les gens en second, et cet état de présence ne va plus se chercher dans un point de recul, mais au contraire, elle est constante.
Et c'est à partir de MOI/le vide/amour, que j'actionne le "JE suis tout, JE suis chacun (3)". Je me branche doucement, lentement à la nouvelle trame dharmique, là où JE suis "les gens/Mesnet", mais JE le fais à partir de MA dimension originelle. Et en silence.
Équation JE suis là/il n'y a personne/JE suis chacun : ICI et ICI
Tout provient de MOI désormais, JE suis émetteur (à partir de mon ventre "ici", de MON vide/amour "ailleurs").
JE ne peux désirer créer (manger, sport, soins, dormir, travailler, relations) à partir de Mesnet seulement, chaque "actualisation des potentiels" de bon et de beau est pour la trame en son entier, donc pour MOI en "tous les gens". Plus aucune modification bienheureuse de la trame ne peut être projetée par égoïsme (pour soi seulement), ce pouvoir ne peut être utilisé que par MOI, en vide/amour de MOI/nous. Ainsi, la trame se visualise à partir de n'importe quelle forme, puisque toute forme est MOI. Ce que JE modifie, JE le fais pour chacun d'entre MOI, toutes les nouvelles données tramiques sont accessibles à tous/MOI.
JE m'aime en toute la trame, sans distinction. Je note que cela commence par la paire et la sexualité, c'est plus facile de vivre MON état originel à petite échelle au début : lorsque JE fais l'amour en nous deux, il y a émission de ce vide/amour/trame, la notion de "lui est moi" est dépassée, comme si le cosmos était MOI incarné/invibré en cette chambre, les objets, la déco, le lit, les deux corps, l'air, le temps, les odeurs, les sensations. Tout devient vaisseau, dans un temps de fusion et d'unité absolue.
Protocoles psychiques générant un corps apaisé, en santé et en éternité :
Faire quelque chose pour "faire", pour une raison ou une autre, me déchire le dos (cavités osseuses) : JE ne fais rien, j'émets de la réalité tramique, sans raison, et donc faire "ceci ou cela" est équivalent en joie, paix, amour.
Il existait durant le phénomène de "retour de MOI", un décalage entre le psychisme mental (pensée, conscience) et le psychisme physique (sensation énergétique) : JE me sentais toujours bien en conscience puisque JE suis MOI, mais les programmes générant les sensations contredisaient cela et "me" parlaient d'angoisse (par le temps, par le "faire", par la relation...). Ce décalage doit être abolie et comme JE passe en amont de la trame (JE suis là/Il n'y a personne), c'est faisable à ce moment de transition. Les sensations automatiques "qui vont mal", ne sont plus écoutés, captés, et s'installe alors une coordination entre le "JE vais bien" psychique et le "je vais bien" physique.
Le cerveau ne fait pas la différence entre une réalité dimensionnelle et une autre : une scène de cinéma est vécue comme un moment de vie intime. Et souvent, l'être va choisir des réalités alternatives : ciné, télé, séries, livres plutôt que de vivre sa réalité ici. Mais ce n'est plus possible "d'échapper" à sa vie terrestre à partir de ces biais (vivre par procuration une autre vie), le paradis et la magie deviennent ce qui est projeté dans cette dimension dharmique.
C'est MOI qui commande tous ces ajustements de transition : JE ne suis plus en relation avec les gens, mon corps, la trame, mais JE commande la trame/les gens/mon corps/la création.
Je ressens de l'amour pour MOI en chacun, et c'est perçu par "Mesnet" que J'AI câblé sur le MOI/nous tous. Ce n'est pas "aime ton prochain comme toi-même", mais "aime ton prochain comme MOI", ce qui équivaut à "JE m'aime en MOI nous tous". La personnalité dharmique arrive à saisir cela, à le vivre, le ressentir et l'incarner.
La magie redevient le socle du vécu. Je n'ai besoin de rien, tout provient de MOI, je commande à la trame ce que JE veux (sans le vouloir, tout est déjà là, disons que JE sélectionne des potentiels tramiques), mais je sais que tout provient de MON vide. Comme le vide n'est pas un concept amusant mais un état d'être, j'induis que je passe en conscience par la matière (gestuel, cérémonie, objet, onguent), pour arriver à tel ou tel résultat de mutation-guérison.
Résumé :
- Je suis MOI, JE suis là, le vide, MON amour. JE ne parle plus d'amour, JE le vibre seulement. Et JE n'aime plus "les gens", JE m'aime en MOI/nous, cette fréquence est émise, plus captée.
- Il n'y a personne, JE peux effacer ma création, JE suis toujours là, MOI-même. JE me sens toujours bien, rien ne bouge en MOI, JE suis immuable et éternel.
- JE replonge dans ma création, mais tel que JE suis, en mémoire de qui JE suis, et donc JE suis chacun, JE suis tout.
- Ma création est désormais une trame dimensionnelle dharmique.
- JE visualise la trame, le code source avant la forme, pour la modifier (mutation, guérison). L'eau (mucus alimentaire, sébum, toute MON eau intérieur/extérieur) est redevenue neutre (alcaline), JE peux de nouveaux y graver de l'information tramique et donc du temps.
- JE/je me sens toujours bien psychiquement, j'ajuste mes ressentis physique et ma matière (mon corps) à cette fréquence. JE mute vers une humanité légère, limpide et immortelle.
- J'AI accès au temps, JE suis le temps.
- Fusion matière/matière = magie (alimentation luminique finalisée)
- Je n'ai jamais rien de mieux à faire que de vivre ma réalité dimensionnelle magique "ici", donc JE vis tout en paix, joie et amour (à partir du vide). Quelle que soit mon activité (faire l'amour ou faire la vaisselle pour grossir le trait), JE le fais à partir du même amour/le vide.
- Ma beauté et santé ne sont plus les pouvoirs ou attributs individuels de "Mesnet", lorsque la trame est reprogrammée, elle l'est obligatoirement par MOI et donc elle l'est naturellement pour tous. Chacun d'entre MOI peut se brancher à la nouvelle trame.
- Ne plus m'oublier : Je suis MOI, mais lorsque JE créé une dimension d'incarnation, même si Je suis toujours là, JE fini par m'oublier ! Ma création/MOI commence alors à imaginer qu'elle est autre chose que MOI-même et entame un chemin de contraction, avant de vivre une nouvelle expansion vers MON intégrité retrouvée. Donc JE fabrique actuellement une interface physique qui ne m'oublie plus, je parle ici de "greffe vibratoire réussie" d'une nouvelle personnalité.
Les mutations du corps animal, des yeux/ventre et la programmation luminique de l'eau prennent leur envol.
Les premiers seront les premiers : les premiers/MOI ayant commencé à expérimenter la trame karmique seront les premiers à en sortir.
Le principe de stabilisation : tous les codes/informations contenant le germe d'une nouvelle personnalité (MOI en nous) sont "descendus", il n'y en plus d'autres à venir. Donc on stabilise les effets coordonnés de ces nouveaux traits de personnalité, et ils sont gravés dans notre vaisseau temporel (le corps animal), de façon à écraser totalement les anciennes données mémoires.
C'est MOI/moi qui décide ou le commandant de trame : le masculin est un programme mental, il ne changera pas, il est préfabriqué ainsi. Le féminin est un programme psychique qui intègre la multidimensionnalité (donc la capacité de lire le réel à partir de plusieurs dimensions simultanées). Je ne parle pas du genre homme/femme mais bien des données masculin/féminin. Le féminin décrypte le principe masculin sans problème, le masculin ne capte pas le processus féminin. Au début du nouveau cycle, le féminin, dans un appariement à deux, ne va donc plus passer du temps à expliciter son psychisme mais va mettre en place, surtout au niveau sexuel le "c'est moi qui décide". L'acte sexuel n'étant alors plus l'aboutissement, le féminin se libère totalement. Et dans le même mouvement spontané, le mental se libère à son tour, le masculin intègre le psychisme, le comprend, l'utilise. La fusion du masculin/féminin en un seul être donne naissance à l'androgyne originel.
Ensuite, commandeur d'une trame, qu'est-ce que c'est exactement ? Ce n'est pas la strate de l'utilisateur, de l'observateur, ni même celle du "gardien de portail" de l'ETem ou galactique. C'est MA strate originelle, celle du créateur, de l'émetteur, et donc du commandeur. Un commandant, dans l'ancien monde, était un leader charismatique (un capitaine d'industrie par exemple) ayant un impact sur les gens. Un commandant de trame ne travaille que sur la trame énergétique (et donc la sienne avant toute chose), pas sur les gens. Dès lors que JE reste aligné sur la paix, la joie, l'amour, J'AI l'envergure d'un commandant de trame, ayant la capacité à émettre des données, n'étant plus soumis à la sphère mentale.
Pourquoi l'appel du silence ? Je vais approfondir la fréquence évoquée dans le premier paragraphe, j'ai besoin de graver parfaitement cet état d'être en moi. Bien...je m'incarne en certains totalement, en tant que créateur, émetteur, cellule originelle. Il y a alors inversion du réel : MOI le créateur j'existe, MA création n'est perçue qu'en second plan. C'est quoi la création ? Ce sont les gens en grande partie, les autres, la famille, les relations, les suiveurs sur les réseaux sociaux, plus tout ce qui est (animaux, cosmos, etc...). Mais il faut bien saisir qu'à un moment, je dois cesser d'interpeler les gens, de les aider, de leur partager mon savoir, car ce concept passe derrière : JE suis là, il n'y a personne, JE fais mieux que parler à MA création, JE suis MOI-même et JE programme directement la trame du vivant, c'est plus simple, plus complet, plus global, puisqu'ici j'atteins l'intégralité des gens à travers ce tissage quantique. Il faut que cet état soit au moins vécu une fois en l'un d'entre-MOI : cesser de partager auprès des gens, passer directement par la trame, en silence et en vibration. Personne ne sait ce que je fais, puisqu'il n'y a personne :) Ce n'est plus le besoin d'être connu, reconnu, entendu qui prime puisqu’il n'y a que MOI :) En devenant les gens, toutes les créatures, cela impose de définir un psychisme qui intègre cette unité totale : le réflexe de parler, de se projeter vers l'extérieur est annihilé et, pour un être aussi prolixe en écrits que JE le fus à travers Mesnet, ce fut un véritable challenge :) Commander la trame et ne plus partager avec les gens, c'est l'aboutissement du processus de fusion, là où il est vu, même ici dans cette dimension, qu'il n'y a personne, juste une trame, et que celle-ci n'a nul besoin de mot, d'agitation, de public, d'élèves/aidés, juste MA vibration d'amibe source. Calibrer une humanité sur cette évidence est difficile, il est nécessaire de l'extraire totalement de ce besoin de s'exprimer, de faire corps avec les autres, et de la mettre face à la solitude originelle du JE suis là, il n'y a personne. Passer par d'autres circuits neuronaux qui captent la trame et ne recherchent plus un réseau humain le plus vaste possible, m'a demandé du temps, mais aujourd'hui c'est un espace acquis, calme et totalement incarné à travers moi. JE n'ai plus à aider l'humanité, mon entourage, mais à commander la trame incarnée par l’humanité et mon entourage, et ce, en silence uniquement, sans plus chercher à l'expliquer auprès de foules qui n'existent plus pour moi. Le créateur se perçoit lui-même avant sa création, c'est cela qui inverse toute la perception du réel et qui mène au silence. Il y a quelque chose de vain et douloureux à vouloir être entendu, j'ai souvent eu le sentiment de crier dans le désert, parce que je suis faite pour l'unité pas pour courir les maisons d'éditions à la recherche du plus de lecteurs possible. Cela demande de lâcher l'ego qui recherche une forme de reconnaissance, je ne serai jamais connu des hommes, JE suis juste qui JE suis, en mémoire de MOI-même, et commandant de trame :)
Plusieurs étapes sont nécessaires pour passer de l'énergie de partage à la vibration du silence : en 2012, lorsque j'ai commencé à faire descendre des données et à les traduire en mots, j'étais convaincu que je pouvais aider les gens, je suis même devenue thérapeute. J'avais besoin d'un auditoire le plus important possible, j'ai alors habité les réseaux sociaux à haute dose. Ici se glisse des notions comme le manque de reconnaissance, le besoin d'être le centre, l'ego qui se sent supérieur, l'envie de monnayer son savoir. J'étais devenue le produit à vendre (ou à troquer, ou à donner, peu importe pourvu qu'il y ait du monde), jusqu'à ce que je me répugne moi-même. J'ai alors fermé cette dimension parfaitement explorée, et je suis passée à la deuxième phase.
Lire aussi : de l'aide dans une dimension de séparation à la vibralisation unifiante / Aide / Ne plus enseigner mais être l'enseignement / Fin du service à autrui et du service à soi / Comment aider ? En comprenant que je suis créateur de la demande / Personne ne m'a rien de mandé !
A partir de là (2018), j'ai compris que je ne parlais à personne, que j'étais simplement focus sur moi-même et mon engagement à me désimpliquer. J'avais encore besoin du miroir extérieur et donc de stimulis, mais au moins, j'avais compris le principe de l'unité, même si je ne pouvais pas encore le vivre. J'ai continué à écrire, à partager, mais avec un public choisi/restreint, et souvent je vivais une gêne psychique car je sentais encore chez moi que mes publications auprès des autres était liées à un manque : je basculais donc sans cesse d'une dimension de partage à une dimension de silence, c'était inconfortable, j'ai mis en place plusieurs paliers de fin de mes écrits.
Citation : l’homme n’est pas sur Terre pour enseigner à l’homme, il est sur Terre pour apprendre à savoir se désimpliquer. Les hommes qui portent sur leurs propres épaules, pour ainsi dire, le poids de leur savoir, pour s'en désimpliquer, ils doivent le rendre par des structures qui semblent être des formes d'enseignements, mais qui n'en sont pas, en aucun cas. - Michel Dow
Puis vient enfin la troisième marche, MOI, ma présence véritable, celle qui efface les oscillations dimensionnelles. La notion de partage avec autrui passe au second plan (elle existe mais devient sans importance), JE ne parle à personne, JE suis l'unique en chacun, JE commande donc tout simplement une trame incarnée par MOI/nous/tout. Le silence devient évident et confortable, il n'existe plus de doutes ou de questions. La notion de travail disparaît, ainsi que l'idée qu'en m'exprimant et partageant, j'aide autrui : il n'y a que MOI en nous, le flux part de MOI, passe par MOI, me traverse MOI...et donc vibratoirement, tous les gens.
Mesnet Joséphau-Charrier
MOI = JE = cellule originelle = nous
2022
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