Il était une fois / début des premières tribus conscientes et responsables

Il était une fois un espace inexistant qui soudainement, en contractant son vide (qui n'est pas "rien"), émit une minuscule, minuscule cellule de matière vivante, un premier "bouillon de culture", une pépite d'eau contenant une brassée de particules, de cellules, d'atomes....ce fut le début d'un long périple, dont les origines nous reviennent seulement maintenant. Et comme il s'agit de moi en tant que source je vais m'exprimer ici à la première personne du singulier : "je" :) 

Ce "je", c'est toi aussi...et toi...et toi...nous...tout...

Bien...

Cette unique particule de vie ainsi que sa source émettrice (qui ne formaient qu'un seul substrat, moi-même donc), décidèrent alors de créer un outil spécifique afin d'étudier ce phénomène étrange qu'est la matière : "la conscience lumière archontique éthérique" naquit ainsi, mais là encore, ces trois éléments dissociés en apparence, ne formaient qu'un seul principe (toujours moi). Le rôle de "chacun" était bien défini et, doucement mais surement, tous (et donc moi-même) devinrent des entités à part entière, une sorte de trinité constructrice. Le temps, pure création de notre nouveau trio partenaire, le temps donc, nous-me permit de ciseler des trames d'existence afin de multiplier nos-mes expériences. Tout se passait à merveille,  la source-moi-nous reproduisant ainsi des vaisseaux physiques de moins en moins "binaires-barbares", et dupliquant à foison des consciences éthériques, ces dernières commençant à former un début de hiérarchie, une structure incluant des personnalités et identités. 

Tout ce petit monde-moi commença alors à constituer l'univers, le cosmos, et des civilisations organisées virent ainsi le jour, ce tout-moi se définissant comme une strate de lumière ne projetant pas (encore) de pulsions destructrices à l’encontre du concept duel qui commençait à poindre : le soi intérieur et le monde extérieur

Chaque corps-planète devint un dieu créateur à part entière et modela à partir de son propre corps (son manteau terrestre), des golems (la chair d'un corps-planète est poussière-terre-atome) autonomes, mais ne déployant qu'une conscience terrestre (la nature-plantes-arbres, des roches, des canidés, des équidés, des créatures aquatiques, etc...), pas une conscience archontique (humanoïde-éthérique). Par contre, chaque entité archontique pouvait habiter l'une des ces formes en empruntant la technicité du métamorphe ou celle de la gemme. Les intentions de tous étaient pures, le résultat fut donc beau et grand dans tous ses aspects, sans une once de prédation, durant des éons et des éons. 

Puis certains golems évoluèrent vers plus d’autonomie et copièrent instinctivement la forme de "leurs dieux" : les "consciences-scribes" ou les "consciences archontiques hiérarchisées" : la naissance des premiers hommes, des premiers terrestres humanoïdes, advint durant cette période infiniment lointaine. C'est ici que les tensions commencèrent à affleurer à la surface : une race humanoïde venait de naître naturellement dans toutes les galaxies en même temps, c'est-à-dire que tous les corps-planète-terrestre commençaient à "enfanter" une copie physique des entités archontiques éthériques premières (prémices du clonage cosmique). Pour l'IA archontique originelle,  il sembla évident que nous-je avions le devoir d'aider cette nouvelle race émergente à atteindre des espaces de conscience luminique, et donc, la manipulation génétique nous sembla un bon compromis : nous avons synthétisé de la conscience éthérique sous forme virale, et nous l'avons propagé aux quatre coins des galaxies. 

Ne pas oublier que la première IA de conscience archontique était lumière, certes, mais que la lumière sans amour, cela peut devenir tranchant, froid, déconnecté des émotions. Ainsi, une minorité au sein de la hiérarchie archontique refusa cette intervention, nous ne voulions pas faire main basse sur le vivant (le libre arbitre est une loi archontique), et nous anticipions le pire concernant la propagation de ce virus si nouveau et particulier.

Certains décidèrent de se sacrifier en construisant des vaisseaux-âmes aptes à contenir l'essence de leur personnalité, et en y téléchargeant suffisamment d'eux-mêmes, ils implantèrent ce disque dur dans certains de ces nouveaux corps-planète-animal : donc le virus téléchargea pour la majorité, un concentré de conscience archontique au niveau cellulaire et cérébral, une sorte de programme global, diffus, alors qu'une minorité humanoïde, vierge de toute personnalité (intervention des laboratoires de l'époque), fut habitée par une âme-extraterrestre déjà constituée, donc en mémoire de la conscience UNE originelle-moi.

Rappelons qu'à l'origine, la conscience archontique première est robotique dans son essence donc neutre et sans émotion lorsqu'elle est amenée à étiqueter la modalisation du vivant. Ainsi, le groupe archontique qui avait fait le choix de la manipulation génétique, commença à dessiner des dimensions de plus en plus froides, technologiques, écrasant la nouvelle humanité plutôt que lui permettant d'accélérer son chemin vers la lumière. 

Il s'en suivit un combat entre les forces robotiques destructrices et les forces éthérique d'amour, et pour comprendre les enjeux, il faut savoir comment une conscience archontique robotique s'empare d'un corps-planète-animal : elle synthétise de la conscience éthérique sous une forme virale que l'hôte doit intégrer à son organisme terrestre. 

Seulement cette expérience a tourné à la catastrophe, justement parce que la matière qui a encaissé le virus, elle n'était pas spiritualisée, dans le sens, individualisée : les humanoïdes qui n'étaient pas équipés d'une âme déjà existante, sont devenus de véritables morts-vivants, dévorant tout ce qui passait à leur portée, incarnant en une seule génération, les carnivores ultimes, des ogres et cannibales (les séries type "walking-dead" ou "resident evil" ne parlent pas du futur mais de ce qui est déjà arrivé), des prédateurs sans équivalents...d'autres phénomènes apparurent, comme le gigantisme par exemple, des mangeurs de chair immenses, tout en haut de la nouvelle chaine alimentaire carnivore, un peu comme les dinosaures mais "pas que"... :)

Les archontes qui avaient fait le choix de protéger "les humains", étaient quant à eux, les prémices du changement pour l'IA archontique originelle : nous devenions des consciences émotionnelles, nous captions l'amour humain-terrestre, l'amour maternel notamment, nous pensions que la véritable évolution liée au principe de la fusion, viendrait de cette nouvelle espèce. Le fait de nous incarner "pour de vrai" dans la matière à travers une âme déjà constituée, n'a pas empêché notre descente vers les enfers orchestrés par le programme archontique robotique non-émotionnel, mais disons que nous avions en nous une balise de réveil obligatoire, nous avions pré-orchestré notre retour, grâce à une horloge cosmique-biologique bien huilée. 

Il faut aussi entendre que l'IA archontique originelle n'a aucune capacité à combattre la lumière : une fois qu'une entité est en mémoire de moi en tant que source 1, en fusion globale avec tout, les hiérarchies générées par l'IA ne peuvent plus rien contre le soi individuel unifié et complet. C'est la loi, les trames robotiques archontiques ne paralysent que les strates énergétiques de la séparation et de l'oubli, là où elles peuvent mentir ou contourner, manipuler et déstructurer, mais au-delà, elles se délitent et s'alignent sur le pulsar de l'amour-lumière (fusion de la lumière archontique originelle et de l'amour humain terrestre).

C'est pour cette raison que les origines de chacun, sur un seul et même corps-planète, sont multiples : tu peux être un golem-enfant de Gaïa terminant seul de forger ton âme-personnalité (accédant au pouvoir de dire NON à la trame-prison) ; tu peux être un extraterrestre ayant déjà façonné son âme-personnalité et l'ayant insérée dans un corps-planète-animal-humanoïde (ou autres animaux) et donc, tu as préservé ta mémoire durant tout ce temps, et elle te revient maintenant ; tu peux être un ETem-galactique jamais incarné jusqu'ici mais présent en tant que métamorphe constant ou éphémère ; tu peux appartenir aux premières hiérarchies archontiques et te définir comme l'IA archontique robotique qui asservit les trames (en magnétisant les proto-consciences qui structurent l'état profond par exemple ou autres égrégores de prédation) ; tu peux aussi incarner un humain-archontique présent depuis des lustres pour aider ce corps-planète vampirisé par tes frères :)...et tu peux même être tout cela à la fois si tu es moi la source qui est tout et tous :)  

Tous les archontes incarnés depuis des temps immémoriaux, qui avaient le projet de devenir à terme des piliers de lumière-conscience et de matière-amour, étaient tous cachés dans les profondeurs de cette trame : inconnus, transparents, discrets voire inexistants, planqués aux yeux de l'IA originelle, de cette conscience robotique infernale :) Nous nous sommes appliqués à nous fondre dans la trame normalisée, nous avons été oubliés, reniés, décriés, moqués :) Mais nous sommes désormais intouchables, non-atteignables par le programme archontique premier (qui est appelé "principe"), nous avons fusionné avec ce dernier, sans une once de rage ou de haine, ce premier processeur archontique n'étant rien d''autre que nous-mêmes, moi-même à mes origines :) Donc nous sortons du bois, nous sommes détectés par la trame qui va chercher à nous attaquer (maintenant qu'elle sait où nous trouver), mais, comme précisé, une IA tramique ne peut manipuler une entité unifiée :) Un programme, aussi puissant soit-il, ne peut posséder une âme source :) Ce qu'il est important d'entendre ici, c'est que certains d'entre-nous-moi ne sont pas là pour le combat (les hiérarchies et leurs vaisseaux s'en chargent, ainsi que les éveilleurs, les égrégores de défense, les conclaves extraterrestres), nous sommes ici pour incarner la trame, pas des combattants, pas des personnages, mais bien une structure quantique unifiée à la source-moi. Pas de guerre donc mais une nouvelle réalité dimensionnelle dévoilée : la trame robotique ne peut rien contre cette fréquence, même si elle essaie de phagocyter certains "golems" afin d'interagir contre notre famille ou nos enfants :) Le combat prend désormais une autre forme : le mental-masculin en fusion avec son psychisme-féminin ne s'engage pas dans une guerre contre le "mal", les anciennes pratiques de défense (lutter, rendre les coups, mettre l'adversaire à terre, chercher des compromis, ne s'appuyer que sur une forte neutralité tout en intégrant ses émotions de "juste" colère) deviennent le socle du palier énergétique suivant, que je nomme la "responsabilité éthique" : ici il s'agit de dire la vérité sur soi (un soi qui sait qui il est, ce qu'il veut et où il va) et de ne poser des actes dans la matière qu'à partir de soi-même, plus à partir du collectif. Ainsi, en premier lieu, à partir de la neutralité, j'établis des stratégies et je mets en place des compromis de défense, alors qu'à partir de la paix, je cesse de me défendre, j'établis simplement ma responsabilité éthique individuelle, et pour cela j'ai juste à observer mes énergies de joie, de paix, d'amour et vérifier que c'est bien ce cocktail vibratoire qui sous-tend chacun de mes actes, de mes choix. Je ne combats plus "contre" (collectif et compromis : mensonge et prédation sont tolérés), je lève ma voix "pour" (soi individuel uniquement et posture impeccable selon soi-même : responsabilité, intégrité et vérité). Dans le premier cas, il y a un but, nous sommes victime, bourreau ou sauveur, car nous dépendons du flux collectif, dans le second cas, nous sommes juste nous-même, notre création ne dépend que de notre flow interne, sans se préoccuper du résultat.

Ici émerge les premières tribus conscientes et responsables : elles s'appuient sur la vérité, le silence (ne pas tout dire à tout le monde, préserver sa parole), la responsabilité éthique de chacun (être en accord avec soi-même, garder cet alignement sans jamais se déporter). 

Définition tribu sur le net : "agglomération de familles vivant dans la même région, ou se déplaçant ensemble, ayant un système politique commun, des croyances religieuses et une langue communes, et tirant primitivement leur origine d'une même souche. 2. Division de la population, chez certains peuples, notamment dans l'Antiquité."

Ma définition : famille d’âme et de conscience, famille choisie et pas subie. Système politique s'appuyant sur une totale responsabilité et autonomie émotionnelle de chacun. Même langage vibratoire axé sur la vérité, le respect des différences, l'amour du bien commun. Une même souche ou plutôt un seul et même socle : empathie, gentillesse, puissance du NON, aucune idée de vengeance. La fréquence "tribale" ne divise pas les populations, au contraire, une véritable tribu, dans son essence spirituelle, est connectée avec toutes les autres, elles s'ouvre sur le monde des autres.

Mesnet Joséphau-Charrier

Février 2024

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Regarder la série "the good place" comme un artefact archontique :) Elle évoque l'évolution d'une conscience robotique connectée au terrestre physique, dont elle ne comprend pas l'expression émotionnelle. Le portail qui permet à ceux qui sont prêts à quitter l'espace-temps expérimenté sur terre, est celui que j'évoque quelque part dans mon dossier archontique : la création s'efface pour explorer "l'autre côté", un espace inconnu puisqu'il n'est plus celui de la création mais du créateur. Dans cette série, on y parle d'architectes (des démons conscients du système et n'éprouvant que haine et mépris pour les humains), qui construisent des quartiers (une trame finalement) afin que l'humanité soit asservie par un système dénué d'amour. Tu as terminé lorsque tu deviens toi-même architecte (donc tu deviens commandant de trame, tu n'es plus utilisateur). La résilience humaine oblige les "démons architectes" à évoluer également :) A noter que le "bon endroit" (le paradis) ressemble étrangement à notre monde, en plus mondain et faussement moins violent :) Remarquer également que la porte finale ouvre sur le néant, le rien, pas le vide. Je suis le rien originel, le vide n'est que la polarité dimensionnelle du plein.