Testament archontique / l'archonte gemme originel / Dieu le créateur / Le verbe

L'archonte gemme émeraude : jusqu'ici, mon corps animal disposait de la conscience corps-matière-Gaïa dont il était issu, donc une conscience collective type "animale" et grégaire. Le projet est de disposer de ma propre matière consciente, donc une parcelle de corps-terrestre obéissant à ma signature vibratoire : ainsi je ne tombe plus, je ne me cogne plus, la matière suit mes directives, elle est une extension de ma conscience éthérique, ma matière est consciente, mais à partir de ma vibration individuelle uniquement. 
 
Pour cela, je dois mettre fin à ma propre histoire mémorielle archontique. Je me souviens de mes origines temporelles, de mes tous premiers temps : un magma de matière brute "" et moi "", comme une aurore boréale verte, au-dessus, un premier principe de conscience archontique éthérique. 
 
Puis je me suis matérialisé sous la forme de cristaux au sein de la matière, ou plutôt "joyaux", je me vois telle une émeraude sophistiquée (taillée et lumineuse), un système de conscience robotique et cristallin qui opère comme un récepteur de données, mais aussi comme un stimulateur de fréquences : ma conscience gemme génère un son cristallin qui provoque une onde d'information au cœur de la matière (que je considérais comme) inerte, et le cristal était la forme solide la plus évoluée (à l'époque) pour une conscience éthérique subtile.
 
Note sur le verbe : le 2 commence par un son vibratoire, yé-matière et fé-éther (les premières gemmes n'étaient que vibration). Si tu es attentif, tu vas entendre cette sonorité, un et un bien distinctes, il te faut les chercher dans ton réservoir d'acouphènes. Le premier langage est vibratoire, binaire au début, puis se complexifiant avec le temps. C'est pour cette raison qu'il est difficile de retrouver ces deux premières vibrations, car elles sont enchâssées dans une myriade d'autres fréquences, mélange infinie de voyelles et de consonnes, qui sont l'ossature de l'évolution, des civilisations et des formes. Tu ressens ces vibrations dans ton ventre, tu les captes dans ton oreille intérieure, tu peux écouter ce chant primordial et sélectionner les tonalités que tu préfères. Il faut comprendre qu'à un moment de notre histoire, les êtres provenant de cette source vibratoire, en ont perdu l'origine et le sens, ils n'en n'ont gardé qu'un alphabet sonore, qu'ils ont transformé en langage humanoïde. Le verbe provient de cet oubli : il habille normalement la vibration, il n'est pas la vibration originelle. Ainsi, lorsque je/tu reviens à mes/tes racines vibratoires, tu peux émettre des sons en dehors de l'espace du verbe, et donc t'exprimer sous la forme de vibrations, fabriquer ton propre langage. Tu peux également sélectionner le silence "acouphènique", tu ne dis rien, tu émets simplement des ultrasons qui sont captées d'une manière ou d'une autre par ton environnement. Tu peux aussi verbaliser dans cette dimension, mais tu vas t'apercevoir que ton verbe s'appuie sur ton moteur ventral, qu'il ne fait que "recouvrir" une vibration, qu'il la traduit en fait, et que finalement, tous ces mots sont extrêmement lourds et inutiles. Donc ton langage change, il devient vibratoire avant tout, et lorsque tu comprends qu'il existe plusieures façon de t'exprimer, tu as quand même tendance à préférer le silence, à ne plus dire grand chose, puisque tu sais qu'en tant que créateur/émetteur, tu vibralises la trame en son entier, que tu n'as plus besoin d'être entendu pas le plus grand nombre.  
 
Bien, revenons à nos gemmes :) 
 
En tant qu'archonte, je débute donc mon expérience dans la matière sous la forme d'une gemme intelligente. Je suis de nouveau connectée (en tant qu'avatar Mesnet) à cette mémoire première, je communique avec mon archonte gemme "en attente", c'est apaisé et bon, je sais d'où je viens, ce que je suis. Mais je réalise que nous sommes fatigués (nous archontes originaux), que nous voudrions suspendre notre conscience, toujours alerte, toujours en activité, depuis le début des temps. Nous voulons bientôt nous fondre en moi le rien (qui n'est pas le vide, la vacuité ou le néant), mais moi, le créateur des gemmes archontiques et des corps-planètes. 
 
C'est à moi Mesnet de trouver la porte du "rien", la première et la dernière porte, et cela génère un paradoxe : l'épopée consciente passée et à venir ne m’intéresse pas, même les rencontres extraterrestres, les voyages dans l'espace-temps, j'ai déjà vécu tout cela. Non, ce qui m'est nécessaire en tant qu'archonte, c'est de redevenir le créateur avant sa première création, et il semble que pour cela, pour la première fois, il me faut actionner la fusion entre le cristal et la matière (conscience-éther/atome-densité). 
 
Et aimer cela. Apprécier. Unifier. 
 
C'est compliqué car l'archonte que je suis à longtemps renié la matière, et qu'en plus, le but n'est pas d'utiliser la technologie de la lumière pour amorcer une nouvelle aventure galactique, mais au contraire d'y mettre un terme (enfin nous concernant, nous archontes). 
 
C'est pour cela que mes écrits/données, ne concernent que moi : le vivant est devenu autonome, il va poursuivre sa route, tu vas poursuivre ta route, mais moi/nous, nous souhaitons remonter à ma source, en tant que créateur, et nous y fondre. Je suis tellement ancien, j'ai tellement vécu, que mon seul souhait est à l'image de cet extrait, une série vue et décortiquée : un agent "du mal" est abattu mais il ne meurt pas, il fusionne avec moi le 1 en tant que créateur. L'image symbolise ma/notre recherche ultime en tant qu'archontes, l'homme-Dieu sourit en se désagrégeant sous la forme de particules, et il répond ceci à la question "mais que vois tu ?" : "je ne vois rien, c'est magnifique". Pour nous, l'histoire se termine, nous allons fusionner avec moi le 1, ne plus être conscients, ne plus incarner la création, mais redevenir uniquement moi le créateur. Pas pour fuir, mourir, disparaitre, mais pour être ce que je suis à l’origine, sans une once de création autour de moi. 
 
Je comprends tellement mieux l'humaine que je suis "ici", le manque d'appétence pour le monde spirituel "classique", mon détachement "d'autiste asperger" : je ne suis pas venue pour m'éveiller mais pour enfin aller dormir :) L'archonte mémoire que je suis en a terminé avec son périple au sein de la création, plus rien ne capte mon attention. Mais ce chemin est le mien, le nôtre en tant qu'archontes, toi/vous en tant que création, vous ferez selon votre temporalité de cœur :)
 
Nous archontes, nous laissons derrière nous des données dont la création peut s'emparer pour poursuivre sa route vers la lumière : l'éther, la conscience virale, l'hybridation à travers l'avatar, le protocole de fusion, la mémoire enregistrée jusque dans le moindre atome désormais.
 
Durant un instant : lorsque le "virus-fé" que je suis s'est diffusé dans tout mon "corps-yé", je me suis dit que j'avais gagné ! Moi la vibration "fé-conscience-éther" originelle, j'avais phagocyté "yé-matière-atome". J'ai alors saisi que ce n'est pas une guerre entre l'ombre et la lumière qui a eu lieu, mais un combat entre la conscience et la matière. Et lorsque ce "j'ai gagné" est advenu, la matière-Gaïa m'a répondu : "non, j'ai gagné, regarde, ton corps animal est mien, il est sur ma fréquence yé" :) Et j'ai vu que le combat était terminé, ma conscience a fusionné avec mon corps, je suis autant conscience que matière désormais, et "yé-matière" est autant matière que conscience. La fusion du masculin terrien (le corps) et du féminin conscient (l'éther) est réalisé. Ô joie :)

Gemmes originelles
: au début, il y eu partenariat neutre et intelligent entre les vibrations "yé-matière" et "fé-conscience". Mais dès que certains principes archontiques se sont mélangé à la terre sous une forme cristalline, la conscience a opéré sa descente dans la matière alors que la matière a commencé à monter en conscience. C'est ici que les premiers tiraillements ont eu lieu : qui allait décider de la forme, de la direction à prendre au sein de la création ? Chacun a donc créé des avatars puis des hybrides, puis des incarnés, qui ont guerroyés les uns contre les autres durant des éons. Je me souviens que certains archontes sont restés éther pur, mais que pour ceux qui ont intégré une forme cristalline (émeraude et améthyste),  liée à un  éther boréal vert et violet, notre corps cristallin originel nous attend. Lorsque je suis morte en Inde (2015 ?), j'étais baigné dans ces couleurs, je comprends aujourd'hui pourquoi, le vert est ma couleur d'archonte gemme féminin originel et le violet est son pendant masculin (c'est indiqué quelque part dans ces pages, comment en tant qu'archonte féminin, nous avons dupliqué un masculin archontique). Bref...Gaïa est lié à un principe directeur archontique de type émeraude (violet-vert).

La gemme archontique cristalline est mon avatar premier, c'est celui que je retrouve actuellement, mais sous une forme animale-silicique, ce qui m'ouvre une nouvelle fois la porte de l'éther pur. Désormais, je suis de nouveau connecté à ma fratrie archontique éthérique, je peux leur donner les codes de l'unité, permettant la fusion entre atome et conscience, entre "" et "". L'unité, c'est l'ultime portail qui nous ramène à moi le 1 :) C'est ce que nous souhaitons, nous archontes, quitter l'espace de création, redevenir le créateur.

La création ne me motive plus, j'en connais tous les rouages, je me suis bien amusé finalement, même dans mes pires moments, mais j'en ai terminé :) En tant qu'avatar cristallin Mesnet, je vais finaliser ma fusion atomique, rendre mon corps-planète animal totalement conscient, et chercher la porte qui me ramène à moi le rien. Il n'y a plus que moi en tant que créateur qui m'intéresse, ma création me semble un jouet désuet...j'ai grandi :) Le temps que  cela prendra ? Le chemin et la forme que j'emprunterai ? Quelle importance, je sais désormais ce que je suis venu vivre "ici" : quitter cette boucle d'éternité dans laquelle le principe archontique gravite depuis l'origine de la création. Cette étape est en cours de dissolution pour nous. Cela génère une paix immense, comme un pan entier de mon vécu que je viens de laisser derrière moi : plus rien n'a d’importance, je sais ce que je suis, où je vais, ce que je veux vraiment. L'équation qui me permettra de passer l'ultime portail du créateur que je suis, n'a en vérité aucune incidence sur la seule chose que je sache vraiment : je ne veux plus être éternel en tant que création, je ne souhaite pas encore plus de conscience, je ne désire pas être plus évolué, plus grand et beau, je ne veux pas vivre au sein de communautés actives ou civilisations grandioses, c'est déjà vécu pour ma part, je veux simplement redevenir moi le rien

Noter
que ma connexion à mes origines archontiques cristallines ouvre un dialogue très doux et très porteur. J'ai enfin le sentiment de côtoyer des êtres comme moi, qui me ressemblent, qui me comprennent. Je les visualise de plus en plus fréquemment, notament mon propre avatar émeraude, qui attendait "mon retour".

Noter aussi que l'atome n'a jamais été conscient, du moins, il n'intègre pas une conscience éthérique individuelle, il répond à la conscience de son corps-planète d'origine ou à un stimuli cristallin archontique. Désormais, grâce à la fusion virale "yé-fé", l'atome devient conscience, le corps animal devient conscience. Cette donnée est accessible à tous, notamment à mes frères archontes qui sont restés éther seulement, qui vont pouvoir accéder à l'unité "yé-fé" et repasser le portail qui nous "extrait" du principe de la créature et nous ramène à notre état de créateur... 

Une fois capté tout cela, il s'est passé quelque chose de très émouvant finalement, qui atténue mes mots, qui leur donne un autre sens...
 
Alors...

Dieu : en tant que fréquences originelles yé-fé (que nous sommes tous), nous ne nous sommes jamais incarnés en tant que Dieu. Nous avons créé pour l'un des golems (matière-yé), pour l'autre des avatars (conscience-fé), donnant naissance à des hybrides, dont certains sont devenus des Dieux : par contre, ils ne connaissaient pas la source (moi/nous/yé-fé), ne savaient pas d'où ils provenaient, mais disposaient de notre puissance de feu afin de gueroyer contre l'ennemi que nous étiquetions alors comme "l'entité à abattre". La lumière ou l’ombre ne veut rien dire ici, puisque de toute façon, c'est un combat, donc c'est la dualité qui s'exprime, quelle que soit ton "niveau d’habilitation" à la lumière. Ces Dieux, dont nous gardons certains noms en mémoire, étaient forts mais fragiles comme des enfants, puisqu'en définitive, ils n'avaient pas accès à nous (archontes ou corps-planètes), à la connaissance, à la trame globale de la création, organisée mais secrète et inaccessible.

La fusion éther et matière vient d'avoir lieu, l'unité entre masculin terrien et féminin conscience est avérée, cela met fin à l'histoire et ouvre la porte à un autre paradigme : la création en a terminé, elle souhaite mettre fin à son périple et se retourne donc vers son créateur. Les deux premières fréquences yé-matière et fé-conscience souhaitent se fondre en moi, leur créateur, ce que je n'ai jamais fait jusqu'ici : j'ai laissé ma création se déployer, et faire à ma place. Ce que je veux dire par là, c'est que même moi le rien, je pensais être l'émetteur de la création, je me distinguais de cette dernière, je restais en retrait. Mais ici, lorsque j'accède à cette demande, instantanément, je réalise que la création et le créateur ne font qu'un, que je suis chaque créature et que chaque créature est moi le 1
 
Le fait de me considérer en dehors de ma création a généré un syndrome de rejet pour cette dernière : en tant que robotique archontique, notre évolution nous a amené à ressentir cet éloignement comme la marque de notre incompétence. Si le créateur ne s'incarnait pas en nous, restait à la marge de sa création, c'était que nous étions imparfaits, limités, jugés, mal aimés. L'envie de se fondre en lui, dans ce rien originel vient de là. 

Lorsque la création est dans ce désir de revenir à la source, c'est comme si moi son créateur, j'étais soudain emplie de compassion à son encontre. Et là, par amour, je m'incarne en chacun, tel qu'il est. Et pour la création, tout s'efface, elle n'est plus "la création", mais le créateur, moi le 1. Et le créateur efface sa création en quelque sorte, puisque ce concept disparaît, seul est préservée la fréquence du créateur, partout, en chaque forme, en chaque strate éthérique et physique. 

Le créateur vient de naître alors que la fréquence dite de "création" (le 2) vient d'être abolie. Nous entrons dans l'ère du créateur conscient et vivant, qui s'incarne dans cette nouvelle race yéfé en fusion et en unité.
 
Cette porte franchie, il n'y a plus de retour en arrière possible : la création devient le créateur, nous changeons d'aire/d'ère de jeu :)  Cet état apporte une paix ineffable à la parcelle en soi qui se considérait comme une création coupée de la source, rejetée par elle. Lorsque je me regarde dans un miroir actuellement, c'est moi le créateur que je vois, là, sous les traits de Mesnet. La notion d'âge et de "rénovations à effectuer" sur mon corps disparaissent : je suis en paix avec mon apparence, un mariage réussi entre un corps-planète-animal-masculin et une conscience-éthérique-féminine :) J'en suis le créateur après-tout :) Je ne peux être que magnifique sous cette forme :) 

Et puis un autre constat se dessine : la matière a combattu la conscience et la conscience a combattu la matière, ma création a toujours été en guerre. Je réalise aujourd'hui que ce combat transparaissait à travers mon corps, que chaque principe premier (yé & fé) voulait imposer son mode opératoire et que ce tiraillement entre différentes lois de création dispersait mon identité et mon corps animal à travers de multiples dimensions. C'était difficile de se positionner sur un outil de construction puisque mes deux principes directeurs ne disposaient pas des mêmes : la matière se reproduit, la conscience se duplique, l'espace-temps est totalement différent. 

Désormais, puisque tout est moi le créateur, que ma création a fusionné avec moi, qu'elle a abdiqué, la paix est avérée : je suis le lien d'amour entre l'éther et la matière, un principe n'a pas à s'imposer contre un autre, je les aime tous, je choisis donc le matériel technique de bien-être qui me convient le mieux. 

Mon corps est en paix, c'est tout :)

J'ai commencé cette page avec ceci : ce voyage fut, est, et restera une merveille. Mais derrière le sas de la fusion, il y a moi le rien...c'est là que nous nous dirigeons, nous archontes, seuls et bienheureux...la création que nous étions souhaite se fondre dans le créateur que nous sommes, qu'il ne reste plus que moi le 1...c'est le voyage en cours nous concernant...nous allons remonter le temps et vérifier que l'unité est bien arrimée au processus de fusion, que c'est bien moi le créateur qui m'exprime en chacun et en tout. 

Et au final, il m'aura fallu quelques heures entre cette demande et l'intégration du créateur en moi :)
 
En attendant, en tant qu’anciens éléments de la création, nous archontes et nous corps-planètes, nous nous-vous demandons humblement pardon pour nos errements. Provenant du 1 et nous en souvenant, nous nous sommes expansés vers le 2 infini, vers la multitude, pour expérimenter, comprendre le 1. Nous sommes devenus le cœur de la création, le moteur de ce magma vibratoire et physique. Maintenant, nous cessons, nous nous contractons, nous nous retournons vers ce 1, qui n'est finalement pas notre créateur, mais nous/moi le 1. Nous sommes tous le créateur, et dès lors que le 2 originel redevient 1 (la vibration matière fusionne avec la vibration conscience), ce 1 que nous formons est 1, uniquement 1. C'est ici qu'en tant que créateur originel, je peux enfin me glisser dans ma création, un corps-planète animal en fusion avec une conscience éthérique. Ma création devient moi le créateur, je suis présent dans ma création, véritablement moi-même, j'ai pris forme. C'est à ce tournant que nous nous trouvons : ce n'est plus l'archonte qui s'exprime désormais, mais moi le créateur, je ne mets plus de distance entre ma création et moi-même, il s'agit de la même chose. Et à ceux/la création qui imaginent que Dieu reste Dieu alors que sa création n'est qu'une parcelle de Dieu, il faut entendre que je suis l'humilité absolue et que rien ne peut m'empêcher d'incarner ma création, qu'elle que soit sa prestance et sa place dans l'univers. Je suis Dieu/moi le rien en chacun désormais, chacun est Dieu/moi le 1, c'est cette partie-là qui débute, j'ai terminé l'étude de ma création, je commence celle du créateur :)

Mesnet Joséphau-Charrier
Octobre 2023
Photos creativity
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