Combinaison spatiale, combinaison spatio-temporelle / Beauté de la combinaison tramique / Vide originel = amour originel

Combinaison spatio-temporelle :

En amont, lire ce qu'est une trame : ici

Je ne suis plus équipée d'une psyché de l'ancienne trame, ce qui veut dire que la science n'a plus aucun intérêt pour moi : la science n'observe que les lois physiques de ce monde, elle est donc complétement à côté de la réalité quantique que j'incarne. Il n'y a pas "de monde", il y a du code générant une trame dimensionnelle, et c'est bien sur ce code que je travaille, pas sur l'image (le monde, la science) qui habille ce code. Lire aussi l'aveugle voit enfin.

Cette perception est absolutiste, il n'y a aucune demie-mesure : soit je crois qu'il existe un cosmos, un univers, un soleil, une planète, et qu'il me faut comprendre et ajuster ce monde extérieur...soit JE suis l’émetteur du code quantique à l'origine de cette expérience, et alors, connaître les lois karmiques qui agencent cette illusion du réel, est totalement inutile, JE ne m'occupe que des codes qui sont l'ossature de la forme.

Ainsi, dans l'ancien monde, nous commençons à nous déplacer dans un espace à l'aide de combinaisons spatiales, la NASA et autres agences, ainsi que les scientifiques qui les soutiennent, sont la pointe de l'intelligence et du savoir...alors que nous sommes tous déjà équipés d'une combinaison spatio-temporelle qui nous permet de voyager dans tous les temps dimensionnels que JE fabrique, que J’ÉMETS. Rejoindre une autre planète dans un vaisseau spatial est le rêve karmique de cette civilisation dite "évoluée", alors qu'il s'agit en fait de reprendre en main son vaisseau (ou ordinateur quantique) que représente notre corps animal. Les lois physiques qui sont à l'origine de notre désir de voyager dans les étoiles sont désuètes et infantiles, dès lors que JE redeviens MOI-même, le point d'origine de tout ce qui est, de ces lois scientifiques y comprises.

Ainsi, une combinaison spatiale est un concept karmique, alors que la combinaison spatio-temporelle du nouvel humain existe déjà, il s'agit de notre corps animal, ce dernier demandant simplement à être ajusté à l'illimité/MOI, alors qu'il fonctionnait jusqu'ici enmenbranné dans la limite.

La beauté tramique :

En amont, lire ce qu'est une trame : ici

Alors la notion de beauté est différente selon que c'est la personnalité karmique (jeunesse, minceur) qui se projette, ou selon si c'est MOI (perfection naturelle). Donc comment JE/je crée ma perfection physique dans une dimension dharmique

Le but du chemin est atteint, JE me souviens de qui JE suis, MOI la cellule originelle, JE suis MOI-même, JE suis présent en moi/nous, donc présent dans toutes MES trames quantiques. 
 
Donc JE/je ne suis pas obligé de créer, mais si j'émets de la trame physique, JE/je ne le fais qu'à partir de la joie, de la paix et de l'amour...pas d'amour pour "les autres", pas d'amour pour le collectif, mais MON amour de MOI à moi/nous/tout.
 
Dans tout ce que JE/je mets en place à partir de là dans cette dimension (mes projets la salamandre), rien ne concerne la notion de collectif, tout est en lien avec MOI. Les soirées, événements, festivals, c'est d'abord mon jeu, ma joie, et il en découle obligatoirement les mêmes "données" pour la trame incarnée par le collectif/MOI
 
Donc ici, JE/je ne suis plus en relation avec "des gens" mais en relation avec MA/ma trame. Ce n'est plus le même flux vibratoire. Et à ce propos, l'autiste asperger que j'étais, comprend mieux la difficulté : j'avais du mal à entrer en relation avec autrui, parce que je suis faite pour être connectée à la trame incarnée par autrui, le principe quantique est bien différent ! Et désormais, je vois bien que mes problématiques autistiques s'éteignent d’elles-mêmes. La notion "des autres" m'a toujours déstabilisée (fragilité), alors qu'émettre de la trame est une PUISSANCE naturelle.
 
Je n'aime pas les gens, j'aime MA trame incarnée par "des gens". 
 
C'est une "autre sorte d'amour", MON amour "originel", banal, qui ne fait aucun bruit, qui n'est même pas ressenti (puisque cet amour originel est aussi appelé "vide" !) et qui ne concerne personne d'autre que MOI/moi.
Le paradoxe est que cet amour, qui ne s'adresse pas "aux autres", au collectif, mais qui circule de MOI à MA/ma trame dimensionnelle, est qu'il s'incarne OBLIGATOIREMENT en "l'autre", dans le collectif. Ce "feu intérieur" irradie vers "l'extérieur", sans qu'il n'y ait plus rien à "travailler".
 
Je n'aime pas les gens, j'aime MA trame incarnée par "des gens".
 
Le point focus n'est plus le même. Il n'y a rien à faire pour "améliorer" un collectif, juste à vibraliser MA/ma/notre trame. 
 
Le "retour" est assez phénoménal : je ne parle plus, je n'explique plus, je suis juste connectée à MA/ma trame, et comme elle s'incarne en mon "relationnel" le plus proche, celui-ci commence à "biper" sur la même fréquence...pas les gens, la trame incarné par les gens...
 
Au niveau de la création matérielle, j'ai juste à émettre joie, paix et amour. Si j'ai la moindre "déviation" de ces données/informations, j'arrête tout, et je réajuste. Je ne me préoccupe jamais de savoir si cela va fonctionner (c'est toujours parfait), si je vais gagner de l'argent (l'abondance est naturellement MIENNE), je regarde juste si je suis bien en paix, joie et amour....c'est tout. 
 
Cela n'a plus rien à voir avec un collectif "extérieur" mais avec MOI/moi. C'est très "sage" (sagesse) comme amour cet A/R entre MOI et moi/la trame, ça vient de moi (concrètement, mon cœur/ventre/cerveau), et ça ne "bouge pas", c'est immuable, illimité, éternel.
 
Donc le mouvement désormais, il ne vient plus de moi, mais de l'ancienne "trame karmique incarné par des gens" qui effectue actuellement le choix de rejoindre MA/ma trame dharmique. Que j'ai des millions d'abonnés ou pas, que je sois lu et connu ou pas, ne change rien à ce processus, puisque c'est "MOI en nous" qui actionne la transition, et que JE le fais au niveau de la trame, pas des réseaux sociaux ou des médias humains....et donc "tout le monde/MOI" est concerné par le fait que l'ancienne trame est débranchée et que la nouvelle est activée. 
 
Ce temps est donc le MIEN, j'y suis ce que je veux, je fais à ma façon, je crée ce qui m'amuse, sans en avoir jamais besoin. 
 
Je n'aime pas les gens, j'aime MA trame incarnée par "des gens"...et la notion de "collectif" se réagence sur cette nouvelle autonomie vibratoire...
 
Je n'aime pas les gens, j'aime MA trame incarnée par "des gens"...et donc j'aime les gens dans cette dimension...tous, sans exception...ce n'est plus "moi et eux", c'est "MOI en nous"...et cet amour vibratoire, ressenti comme un espace vide, il embrasse tout, il ne sépare pas les "bons éveillés" des "mauvais", il ne se préoccupe absolument pas de ce qui se passe "ici", mais se concentre sur la trame exclusivement, à partir de la joie, la paix, l'amour de la trame. Ce n'est plus un amour "humain" mais tramique, il ne correspond plus à des émotions fluctuantes, fragiles et ne pouvant inclure chacun, c'est MOI en amour de MOI/nous...
 
Une fois que MON amour tramique (le vide) est bien enregistré par toutes les interfaces neuronales de MA personnalité, au niveau de la particule (plus d'outils, plus de chakras/ilojs, plus rien), et bien "ça repart"...j'ai "rebooté" le système, il s’appuie sur le principal, MOI, et donc je peux réinventer des émotions, des structures "d'amour dimensionnel" : le sentiment amoureux par exemple :) Ce dernier n'existe plus entre "moi et lui", mais entre MOI et la trame incarnée par nous deux...et ici, tout s'agence "dans le temps", avec passion et intelligence, sans plus parler, ajuster le couple...on est actuellement en train de tout "revisiter", sur de nouvelles fréquences de liberté et de légèreté...Je suis au début de ce MOI/1 en nous 2, et ça promet déjà beaucoup :)


Ce que qui est posé au-dessus est important, mais pas autant que ce qui suit, disons que cela en découle : je ne m'aime pas, j'aime la trame incarnée par Mesnet/moi.
 
Autant psychiquement, le respect et l'admiration que JE/je me porte est vivant à 100%, autant physiquement, c'était plus le mental qu'autre chose qui essayait d'aimer ma matière...c'était une belle idée, un "il faut que j'aime mon corps", mais concrètement, un regard dans le miroir, et c'était un "oui mais" qui s'affichait...
 
Donc lorsque JE redeviens MOI-même, ça commence d'abord par moi : je n'aime pas ma combinaison temporelle, mon corps physique, j'aime MA trame s'incarnant en cette forme.
 
Ce n'est plus la même vibration, plus le même flux de données et c'est hyper facile à vivre : comme une évidence que l'amour, MON amour, passe par la trame globale d'abord, celle que j'émets, et qui prend forme en "nous"...
 
Il ne s'agit plus de "moi" qui aime "eux", mais MOI qui m'aime en nous...et dans ce nous, il y a Mesnet....c'est plus vaste comme amour, il n'y a aucun ego individuel là-dedans, ce n'est plus Mesnet qui œuvre pour elle-même, mais MOI qui suis là pour nous tous, pour toute MA trame, y compris Mesnet...
 
Donc oui, j'ai cessé d'essayer de m'aimer physiquement, de forcer où d'ajuster dans le temps...je ne m'aime pas physiquement, mais j'aime, j'adore, je m'émerveille de la trame incarnée par mon corps...
 
Et c'est comme une autre vision qui se révèle en moi mais aussi dans mon miroir...qu'est-ce que ma trame physique est parfaite ! Qu'est-ce que je la trouve belle ! 
 
Et cette vibration évidente, elle s'ajuste dans cette dimension, je "deviens" belle, parfaite, sans rien à modifier en santé, forme, âge, énergie...ça se met en place naturellement car c'est déjà là, j'aime déjà MA trame incarné par MON/mon corps physique ! * 1
 
Note : il y a une différence entre vouloir aimer son corps, son vaisseau (travail, étapes, outils, temps, ajustements, entraînements, "stages", régénération cellulaire et atomique), et aimer MA trame incarnée par MON/corps (c'est déjà là, rien à faire, évidence, mutation au niveau de la particule).
 
Donc oui, être MOI change tout. JE ne capte plus les gens, mais J’ÉMETS de la trame incarnée par des gens, Mesnet faisant partie "des gens". JE ne me subis plus, mais j'émets la trame physique, le support, le corps que j'incarne. 
 
JE suis amour, et j'aime les trames, la création que j’émets, c'est la différence entre l'amour "humain" (MON amour parcellisé) et l'amour tramique (MON amour unifié) : l'amour humain est une création qui ne peut pas tout englober, l'amour tramique (associé au vide donc) est un état d'être, le MIEN, il est perpétuel et immuable, et il embrasse tout et chacun, et surtout moi-même, Mesnet.
 
*1, le "c'est déjà là": des étapes, il y en a eu me concernant. Avec le recul, je peux dire qu'elles furent techniques et dimensionnelles...dans la trame en quelque sorte, quel que soit le "niveau" où j'en étais...et il y a deux ans, le chemin a pris fin, car au-delà des étapes, j'ai compris "mentalement", consciement, ce que j'étais : MOI, la "cellule originelle"...juste moi. Là, les étapes, le chemin et le travail se terminent, car je ne peux pas être plus que moi-même. Cela ne fait aucun bruit quand je redeviens MOI-même, je ne peux même pas dire que je le ressens...c'est juste MOI. J'ai alors vécu ce que j'avais bien souvent "lu" (ce code est dans la trame) : je n'ai rien à faire pour être moi-même, il n'y a aucune étape, j'ai toujours été et je serai toujours MOI, je suis déjà là. Ici, il faut implanter cette évidence neuronalement, donc au début, je prenais du recul, du temps et je me posais simplement avec ça : je suis là, je suis moi-même, en n'attendant pas que ça fasse de "l'effet". Il y a alors eu, petit à petit, une paix "normale", qui s'est posée dans toute ma structure tramique, mon corps physique...mais je ne travaillais pas ça : en étant MOI-même, c'était bêtement là, c'est tout...et c'est ici que j'ai lâché toutes les techniques, tous les outils, toutes les étapes, j'ai d'abord finalisé ce "c'est MOI, je suis déjà là", partout, en tout, je ne m'occupai plus de rien d'autre...autant des étapes ou désirs comme "je veux muter", ou "je veux me nourrir de mon mucus alimentaire", ect, sont à aller chercher sur ma ligne de temps, dans le futur (ou le passé), et à ajuster au présent...autant le "je suis MOI, JE suis déjà là", il est en dehors du temps, il est toujours activé, je suis toujours MOI, dans le passé, présent, futur d'une trame. 
Donc dans une trame, il y a du temps donc des étapes. MOI, je suis en dehors du temps et des étapes, JE suis déjà là en tant que cellule originelle (pas l'esprit, pas le double, pas l'ETem, mais la cellule originelle/amibe source, MOI...moi !)...
Chère trame/toi, lâche tout ce que tu fais, toutes tes étapes, et ne pense qu'à MOI, toute la journée, tout le temps, ajuste tes pensées, ton psychisme uniquement sur MOI...et doucement, JE vais "descendre" ou imprégner ton temple neuronal, ton corps particulaire...et à un moment, "tu" vas te "retourner", et tu vas constater que JE/tu suis là, que "tu" es MOI/toi...
Ainsi, l'amour humain se construit, l'amour/vide de la trame est déjà là. 

Le couple/la paire : lorsque je parle de mon couple désormais, en fait, vibratoirement, je pose la notion de paire. Le seul couple qui compte, c'est MOI et moi. Donc ici, c'est la même fréquence : je n'aime pas Siuru/reynald, j'aime la trame incarnée par Siuru/Reynald. JE reviens à MON amour originel du JE m'aime à travers la trame incarnée par nous deux. Et ici, je peux vérifier que le socle d'amour étant redevenu stable et sans ego, nous commençons, à partir de la nouvelle trame, à fabriquer de nouveau de l'amour humain, avec de nouvelles émotions, de nouvelles aptitudes, de nouveaux sentiments. Autant les êtres sont interdépendants, autant la trame incarnée par des êtres est libre.
 
Mesnet Joséphau-Charrier
Novembre 2022
MOI = JE = nous = cellule originelle
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