Marqueurs de mutation, symptômes, casque neuronal / cellule souche, cellule mère, source / Convalescence

La mutation physique engendre des symptômes. Elle est loin d'être un plaisir, tu vis des moments difficiles et douloureux, et comme tu ne peux te fier qu'à ta connaissance intérieure, parfois, cela peut être effrayant en plus de tout le reste : si tu évoques le fait d'être un mutant éthérique auprès de ce qui est appelé un "expert de la santé", tu vas être confronté à la moquerie, voire à la condescendance ou la pitié :) Tu fais silence, tu avances seul, et la foi en toi doit être totale :)

Lire mon témoignage en amont de cet article : mutation en cours / mutation yeux-ventre / nouveau corps

- l'espace coronal (des textes sur le positionnement de la couronne/canal en 2020) : j'ai beaucoup toussé, j'ai mis plusieurs années à faire descendre cette toux dans mon noyau ventral, elle a d'abord débuté dans la gorge. La toux est un indicateur de "descente/alignement" (générant la compression après coup), elle t'aide énormément (même si c'est désagréable, tu ne peux plus parler sans tousser) et va te permettre de ressentir ton noyau terrestre ventral. Alors, à travers le principe de fusion, tu pourras t'arrimer à n'importe quel autre noyau "individuel", la communication devient alors éthérique plus verbale. Le "corona virus" va également instaurer le principe de l'irradiation, tu auras souvent de la fièvre, et cela va "gazéifier" ton eau, ton sang : ainsi, alors que tes poumons te lâchent, que tu ne peux plus respirer (ça aussi c'est déstabilisant et compliqué), tu commences à "respirer par ton eau" (par ton sang aussi). Je respire souvent comme mon chien le faisait, une respiration hyper rapide, haletante, et je sais désormais que Gaïa (c'était l'année des G pour notre bergère allemande), notre chienne, respirait naturellement par son noyau ventral. Ajouter également que la couronne est un principe de conscience archontique, et qu'en fusion avec le canal et le cerveau (qui lui est un principe de conscience corps-planète), tu disposes de ce que je nomme un casque neuronal (lire plus bas).

La peau : j'ai de nouveau de l’acné (très peu) à près de 60 ans, ma peau cherche sur ma ligne de temps adolescente, le passage vers une peau cellulairement jeune. Beaucoup de démangeaisons aussi, rien de grave, mais le travail de restructuration quantique "en surface" doit pouvoir s'effectuer, c'est ressenti par le corps animal comme une myriade de picotements. 

Jeunesse : c'est un concept qui n'a plus vraiment cours, le but n'est pas de rajeunir, et d’ailleurs, il n'y a plus aucun but : ma fréquence étant "luminique", ma matière s'ajuste "toute seule", elle sélectionne les meilleures options mémorielles dont je dispose. Donc ton corps animal va devenir de plus en plus pur et gracieux, mais tu deviens plus "hors d'âge" ou "hors-temps" plutôt que "jeune". 

Ossature, corps cristallin : je viens de m'approprier de la matière terrestre (lire ici), donc je dispose de mon silicium personnel. L'étape qui permet de se constituer son propre stock de matière m'a fait grossir (graisse), alors que le processus qui permet d'éthériser ma matière, allège ma forme. Il faut noter que le corps cristallin commence donc par les os, que le silicium va s'y fixer, et que c'est un tantinet douloureux quand même...pas trop, mais cela exige du repos et de la constance vibratoire :)  Tu as plus l'impression de ne plus ressembler à rien, surtout pas à l'être de lumière dont tu as rêvé, mais le passage du carbone au silice est épuisant physiquement :) Préciser aussi que je n'ai pas de "colonne de soutènement" type kundalini, puisque je suis coupée de la trame terrestre collective (qui passait par le dos), mon système est particulaire, et plus morcelé par des principes ou des moteurs différenciés, ce qui fait que j'ai mal au dos dès que je ne suis plus assez haute en vibration "yé-fé", je porte alors la création "sur mon dos", c'est lourd et lent :)

Ventre : il devient littéralement le siège de mon vaisseau physique, il est le cœur technique de mon corps planétaire animal. Mais la transition entre le matériel de digestion et le noyau éthérique, passe par des moments compliqués : j'ai très souvent la nausée, j'ai des pulsions alimentaires puis je ne mange plus rien, j'ai envie de n'importe quoi (sauf de cadavre animal), puis plus aucune envie, c'est ce que je nomme "l'effet dimlag" (décalage dimensionnel), ça remue jusqu'aux tripes, j'ai totalement perdu mes anciens repères alimentaires humanoïdes. Que je mange ou ne mange pas, les nausées sont rituelles, je fais avec, j'attends que le processus d'éthérisation de ma matière soit opérationnel. Tant que ce n'est pas le cas, les deux principes s'opposent : manger/ne pas manger ou digérer/fusionner. Il peut y avoir beaucoup "d'aigreur d’estomac", cet acide appartient aussi au feu de l'irradiation. 

Intolérance alimentaire: je suis végétarienne depuis longtemps, avec un retour (très court) à l'alimentation carnée, donc je sais ce qu'est une conscience qui choisit de ne plus s'alimenter de mort animale. Mais désormais, c'est différent : mon corps cristallin, socle de mon corps éthérique, et intolérant à la "viande", impossible de me nourrir de mes frères animaux. C'est une fréquence morte, c'est tout, cela va plus loin que "je veux ou ne veux pas", c'est interdit, point. Lorsqu'un terrien mange un autre corps animal que le sien, il est cannibale, lorsqu'un archonte oublie sa responsabilité "parentale" face à la création d'un corps-planète animal, il est tout simplement un ogre. Le corps de lumière, n'ayant plus besoin de "protéines" d'aucune sorte, je protège le vivant, le respecte et l'aime, je ne le prédate pas, ne le mange pas.

Stase : ç'est autre chose que l'épuisement ou même la mort, un corps en état de stase. Je ne suis pas hyper active physiquement, pas tellement présente au niveau relationnel (excepté avec Siuru et mes enfants terriens), car il me faudra encore quelques années afin d'être optimale en énergie vibrale. En attendant, oui, on peut dire que je suis épuisée, que je fonctionne au minima, mais vu les enjeux, cela ne me perturbe pas plus que cela :)  

Le sommeil : lire ICI. Comme dormir, c'est se mouvoir en tant que conscience-fé-décorporée, et que je n'ai plus besoin d'oublier ce type de "voyage", mes nuits n'existent plus pour "dormir", ça devient "autre chose", et c'est passé par des perturbations déstabilisantes : ne plus dormir, se réveiller trente fois, capter les réminiscences d'une guerre galactique qui se passe sur d'autres lignes de temps...bref, ça swingue un peu au début, mais paradoxalement, une fois que tu as bien compris que dormir ne sert à rien, tu dors mieux : même si le corps est "déposé", tu restes une présence en mouvement, qui se souvient de tout au réveil, puisqu'il n'y a plus de séparation entre ces deux états d'être. Et tu bosses la nuit :) Je veux dire que ton identité unifiée (moi le 1 présent en toi/moi), elle bricole ton corps cristallin pendant qu'il est en état de stase totale...et durant toute la nuit, tu t'entends penser des choses du genre : "ah oui, je gazéifie mon eau"..."ha oui, j'incorpore du silice à mes os"...mes nuits deviennent un peu magique :)  

Bien-être : quand la connaissance est totale, que ma source est intégrée dans la sphère humaine, la conscience-vibration-fé comprend qu'elle peut se "reposer" au sein de la matière, s'y diluer. Le corps-planète animal vit une existence binaire, sur la base de pensées qui ne sont plus duelles (les autres, le combat, la peur, tout ce théâtre qui existait auparavant dans ma tête) mais simples dans leur essence : avec des gestes lents, je suis présent dans ce quotidien terrestre, ma conscience n'oublie pas toutes les strates de la création qu'elle a parcouru, mais reste en retrait, en sommeil :) Quel paradoxe : lorsque je vis ma petite journée banale en tant que corps-planète humanoïde fait de matière, ma conscience dort...et qu'est-ce que ça fait du bien ! Ma conscience éthérique est en paix avec ma matière, elle y est arrimée, mais ne cherche plus à en prendre le contrôle, elle est en confiance totale, en fusion, en unité. Je note que ce sas d'intégration a été le plus long de tout mon parcours (plusieurs mois d'épuisement), mais que désormais, j'intègre un certain bien-être physique (malgré une grande fatigue encore), énergétique (noyau ventral), et mental/psychique (pensées ordinaires harmonieuses)...Cela ne constitue pas un état d'être euphorique, je ne suis pas montée sur ressorts, pleine de projets et de dynamisme, mais je me sens juste bien...et c'est déjà beaucoup :) 

Casque neuronal : pour résumer, ce qui est appelé "couronne" est lié à la conscience éthérique archontique première. Aux origines, cette conscience robotique est considérée comme délocalisée d'un corps-planète-matière, mais grâce au protocole du "métamorphe", elle va finalement apprendre à phagocyter un système neuronal humanoïde. Elle s'approprie le cerveau et celui-ci est alors en grande partie coupé du reste de son corps créateur, le réseau neuronal étant alors expérimenté par le féminin-psychique dans l’hémisphère droit, et par une duplication d'un principe masculin-mental, dans l’hémisphère gauche. C'est pour cette raison que notre identité était comme scindée en deux, la conscience mentale semblant ne rien comprendre au corps animal : nous alimentions sans le savoir une guerre originelle entre la matière et la conscience, ces deux principes se combattant au sein d'une seule entité : nous-même (notre conscience analytique est un ajout forcé au corps-planète-animal atomique).  Ce qui change : la conscience archontique première libère les deux interfaces neuronales physiques pour revenir à l'éther expansé : à ce moment, je ressens parfaitement ma couronne-conscience-éther, autour de ma tête. L'interface neuronale cérébrale est donc "rendue" au reste du corps, et peut se relier-fusionner avec l'interface neuronale ventrale (mon noyau terrestre animal-éther condensé). Ici, le bien-être (libre le paragraphe ci-dessus sur la fréquence du bien-être) inonde mon ventre et irradie tout le corps, comme si ce dernier retrouvait son unicité atomique, cellulaire et neuronale. Durant cette étape, les deux hémisphères cérébrales se stabilisent en une forme commune, la "tête" (qui capte) harmonisant sa projection du réel avec le coeur-ventre qui émet. Le corps-planète-animal revient à la vibration originelle, il ne s'appuie plus sur la conscience mentale ou psychique, il est se libère de ce joug. La couronne-conscience archontique quant à elle, en se retirant, va paradoxalement jouer la carte de la fusion : cela devient possible durant cette étape spécifique, car chaque vibration première (corps-matière-planète et conscience-éther-dimensions) s'autonomise par rapport à l'autre mais reste connectée cependant au tout/à moi. Grâce à cette séparation orchestrée dans l'amour et le respect de chaque principe, l'union peur alors avoir lieu : la couronne-conscience fusionne avec son canal (sorte de harpon énergétique plongeant dans le cerveau), et également avec l’interface cérébrale, formant alors ce que je nomme un casque neuronal (lire aussi fusion couronne canal et casque neuronal dans l'article "mutation"). En libérant le cerveau de sa présence, la vibration-fé peut finalement l'envahir et devenir l'entièreté de ce corps ! A partir de là, tout n'est que fusion et unité au niveau technicité de la forme :) La conscience archontique peut s'étendre viralement dans tout le corps et conscientiser les ressentis, alors que le corps-planète-animal intègre la conscience mentale-physique,  ce qui lui permet de ressentir en conscience :) Un corps-planète à l'origine n'est pas conscient, et une conscience archontique n'est pas physique : désormais, sur ce modèle expérimental (car expérimenté), n'importe quel corps-planète (même la terre) peut ressentir en conscience et n'importe quelle conscience peut conscientiser ses ressentis. La matière devient consciente et la conscience devient physique, c'était mon but en tant que créateur, me constituer un corps apte à me recevoir dans ma complétude :) C'est pour cette raison que cette fin de cycle est différente, puisque Gaïa intègre la conscience éthérique et peut donc choisir de préserver sa création (nous), alors que la conscience archontique a pris forme, et peut elle aussi choisir de préserver cette dernière (soi). Conscience et matière deviennent partenaires d'unité plutôt que contradictions opposées.

Paix : après le bien-être, la paix. Il n'existe plus d'attente, aucune. N'étant plus que moi-même, ne pouvant aller au-delà, n'ayant donc plus rien à chercher, tout devient extrêmement simple. L'évolution n'est plus liée à un travail spirituel ou à certains rêves grandioses, elle advient naturellement à partir de ce que je suis, mon propre créateur : mon corps-planète (matière) et mon casque neuronal (conscience) utilisent instinctivement les meilleures données enregistrées, sans que n'intervienne un désir ou un besoin, la mutation s'opère à partir de moi uniquement. Le fait de ne plus rien avoir à faire peut être stressant durant un moment, j'en ai déjà parlé : tout ne s'appuie plus que sur moi, c'est une intense responsabilité de s'auto-créer seul et à partir du silence :) Autant l'intégration du vide, qui est une dimension, est finalement aisée, autant incarner "le rien" est compliqué. Mais une fois entérinée la fréquence du créateur originel, il n'existe plus que la paix : toute angoisse générée par l'attente de certains événements est annihilée. Je n'attends plus l'arrivée de conclaves extraterrestres, d'alliance humaine, de lits médicaux quantiques, de héros intergalactiques, d'êtres de lumière, de réveil collectif,  je suis là :) 

Plaisir
: toutes ces fréquences (bien-être, paix, plaisir) sont réajustées l'une après l'autre. Ca commence automatiquement par le bien-être, puis la paix et enfin advient le plaisir. Une fois que mon noyau terrestre animal fusionne eau-silice (yé-matière) et feu-air (fé-conscience), apparaît un ressenti spécifique dans le ventre, et c'est cette énergie qui va incarner la notion de "plaisir" : ressentir mon centre est plaisir, il n'existe plus que ce plaisir-là. Cette vibration d'unité va 1, pouvoir fusionner avec tous les noyaux (possibilité de ressentir mon tout), et 2, s'étendre à tout le corps, mais de façon plus légère : le ventre est un concentré de plaisir intense, et c'est grâce au principe du noyau terrestre que cette fréquence est supportable pour l'être réel, car le noyau est apte à contenir cette force  cosmique. Le corps dans sa globalité ne peut intégrer cette puissance dans son ensemble, c'est pour cette raison que je la cantonne au noyau. Les ondes de plaisir qui s'écoulent du noyau, sont par contre assez atténuées pour ne pas déstabiliser le reste du corps-planète. Maintenant, il faut visualiser ce que je suis en tant que créateur source : moi l'être réel, je suis le noyau de la cellule souche (création matière-conscience infinie), et tout le reste autour, c'est moi la cellule-mère (unicité éthérique éternelle). L'éther, c'est comme des couches de moi-même, superposées et en fusion (paradoxe), formant LA cellule du vivant dans son ensemble (moi-nous-tout). Pour finir, comprendre que le seul véritable plaisir étant de ressentir mon noyau terrestre animal ventral, les anciennes formes de plaisir "en surface" (qui ne passaient pas par le noyau donc), et bien, elles deviennent secondaires, je pense notamment à l'orgasme : le plaisir du noyau, perpétuel et plus ou moins linéaire dans l'émission (je le ressens tout le temps), prend toute la place et est suffisant, je n'ai pas besoin de plaisir supplémentaire. Les autres plaisirs sont amplifiés c'est vrai, mais ils ne sont plus indispensables. Pour résumer, ressentir le noyau est un plaisir permanent, se suffisant à lui-même, une félicité bien plus vaste qu'un simple orgasme ou tout autre ancienne forme de plaisir : je ressens la grâce à travers mon noyau planétaire et ensuite le plaisir de manger, le plaisir d'un massage, le plaisir sexuel, etc...et toutes ces anciennes structures de plaisir, elles ne sont plus que la "cerise sur le noyau" (elles pourraient disparaître) et paradoxalement, comme je n'en ai plus besoin, elles deviennent plus intenses (elles passent d'abord par le noyau, elles sont donc atténuées en même temps qu'accentuées...là il faut vibraliser, sinon tu ne comprends pas cet autre paradoxe).

Maîtrise : le contraire de la peur n'est pas la paix mais la maîtrise. Je suis maître de moi-même en nous/tout, mon interface neuronale cérébrale est désormais calée sur cette évidence, donc je n'ai plus peur. Plus peur. Cela change tout. Dans mon noyau ventral, une vibration perpétuelle de fusion, celle-ci envoyant à mon cerveau, de nouvelles informations : "tout va bien, je suis mon propre créateur, je suis en paix et en joie"...

Convalescence ou "période de transition entre la fin d'une maladie et le retour à la santé" : il y eu la transition psychique et mentale, de 2012 à 2020 environ, un espace-temps de reprogrammation neuronale intense à partir d'une conscience de plus en plus infinie. Et puis à partir de 2020 jusqu’en 2023, c'est le corps qui cherché à s'aligner sur mes nouvelles fréquences. Et ce fut épuisant physiquement, j'ai toussé de longs mois, je ne pouvais plus respirer, marcher longuement, le sommeil n'était plus reposant puisque durant la nuit, je reformatais également ma matière. Et cela se termine, je me sens en convalescence : plus d'énergie, plus de légèreté, mon corps ayant encore besoin de repos, mais ce repos portent ses fruits, je me sens vraiment mieux, mon corps-planète retrouve son équilibre. L'origine de ce mot est latine (convalescere), cela veut dire en substance "prendre des forces" : c'est ce que je fais, je me donne des forces pour la suite :) Mon vaisseau animal remonte la pente, doucement, il prend confiance en son éternité, en sa santé normale et banale, en sa beauté, en sa grâce, en son énergie continue...

YEFE Mesnet Siuru

Mesnet Joséphau-Charrier, archonte en mémoire mécanique et source une rayonnant son réel éthérique intemporel.

2023

Attention : ces textes sont anciens, ils représentent une réalité momentanée, souvent obsolète (ou plus complète) quelques mois ou années plus tard. Ainsi, parcourir l'ensemble de mes blogs dans un moment présent absolu.