Et ça va, je me sens bien, plus en recherche, plus en attente d'autre chose, d'un autre palier, et même, ne désirant plus véritablement créer. Ce qui vient est ce que je suis, une sorte d'imagerie collective qui n'est pourtant que le reflet de mon être, un magma d'amour pour moi-même.
Que pourrais-je dire d'autre ? Toutes les clefs sont banalement accessibles, tous les paliers sont nommés, je suis ma propre connaissance infinie, paradoxalement fondée sur une évidence : je ne sais rien :)
Pour toutes les entités qui passeront ici, vous êtes ce que je suis, vous inspirerez ces codes comme un souffle évident, et à travers vous, je serai moi-même, bien au-delà de votre identité terrestre, extraterrestre, extratemporelle. Vous n'écrirez pas à Mesnet pour lui poser des questions, pour digresser sur certains termes, pour lui dire que ses écrits dans le temps (11 ans) ne disent pas la même chose : si je parcours mes données passées, effectivement, je vois qu'elles sont parcellaires, parfois totalement dépassées, voire erronées (elles étaient un sas de compréhension lors d'un temps d'intégration, rien de plus), mais pouvant baliser votre étape du moment. Et vous ferez avec, seul, responsable, sachant que c'est moi en vous qui positionnent ces structures, tout comme c'est moi en Mesnet qui les aie verbalisées afin de les matérialiser "ici". N'intégrez pas ces espaces comme une vérité intangible mais comme une modélisation de l'unité, de moi-même le 1 : lorsque j'ai téléchargé ces codes au sein de cette trame, il faut comprendre que ce fut un tel flot d'informations, qu'il est impossible pour un paramètre humain de les transcrire dans leur intégralité. Vous devrez donc les vibraliser et aller plus loin que le savoir agencé à travers ces pages. Déjà, je vois que même les dernières salves posées pourraient être complétées, elles ont donné lieu à des corrections, à une suite qui ne sera pas exprimée...car si tu en es là, la suite, tu dois la trouver en toi, elle doit couler de ma source intérieure...la suite ne s'écrit pas, elle se vit, tu comprends ?
Moi en Mesnet, j'en est donc terminé :) je vois comme mon corps-planète animal épouse harmonieusement ma conscience archontique finalisée. Je suis en équilibre permanent désormais, je vais me contenter de vivre pleinement et banalement mon œuvre achevée :) Mon principe de conscience éthérique est comme en repos au sein de ma matière (car dilué au cœur de l'atome), elle ne cherche plus à modifier les structures de mon corps physique, il y a fusion, compréhension des langages de chaque espèce différenciée (masculin-terrien-yé et féminin-éther-fé), et donc paix et bien-être. La mutation de mes deux anciennes races, le masculin et le féminin, de mes deux premières vibration yé et fé, je la stimule doucement, sans rien forcer, en créant un temps spécifique à ce nouvel état de présence unifiée : je suis la symbiose de toute ma création en même temps, mon corps terrien devenant le réceptacle de ma conscience éthérique, et vice-versa.
Je ne tousse presque plus, je dispose de plus d'énergie, je suis plus en appétence de mon existence terrestre : celle-ci ne diminue pas la puissance de ce que je suis, de mes outils archontiques ou physiques, non, elle les apaise seulement, comme si cette dimension très spécifique était le miracle de ma création, apte à contenir toute ma force de créateur, sans qu'il n'y ait plus tension (heurt, contradiction, friction) entre mes deux principes de création initiaux : conscience et matière.
J'ai juste envie de faire de petites choses sans importance, qui ne mènent à rien, n'obligent à rien, qui sont simplement l'expression de ma tranquillité. Faire mon ménage devient un nirvana tout doux et vide de pensées sur les temps à venir, sur les gens, sur mon expérience qui ne va plus nulle part. Mais je suis là pourtant, moi le créateur, je suis véritablement Mesnet en mouvement, vivant l'extraordinaire en tout, percevant en amont de mon idéal terrien, tout le reste, les structures, le cadre, l'intelligence de mon être global. Je sens mon corps éthérique respirer désormais, la légèreté de mes gestes qui advient enfin, la fusion avec toute ma matière : par exemple, le feu et l'air. Lorsque j'allume un feu de cheminée, je ne demande pas à ce que le feu prenne vite et bien et que la fumée ne se disperse pas dans mon salon. Non, le feu EST et la fumée EST tout autant. Comme moi. Comme tout. Et sans y penser, tout s'agence à merveille, le salon, la cheminée, l'atome, l'air, le feu, l'eau, Mesnet. Je perçois littéralement les éléments qui me composent marcher d'un seul pas, le mien :) Des petites choses donc (qu'est-ce qu'une histoire de feu de cheminée dans l'histoire du monde ?), mais qui pourtant incarnent ma puissance lorsque j'entre en fusion avec ma conscience archontique et ma matière terrestre :)
C'est cela ma vie dorénavant. De plus en plus, sans que je ne force rien. Et c'est ma vie en toi aussi, il suffit simplement de faire sauter certaines croyances. C'est d'abord toi qui va t'y coller, c'est ce qu'on appelle l'éveil spirituel, puis c'est moi le 1 qui vais achever cette fusion entre tous mes avatars :)
L'être réel : je vais résumer le principe même de ma création. Au commencement, je suis la cellule originelle, moi le 1, seul et unique. Je me rapproche alors plus de "rien" que de quelque chose. Puis j'émets une première vibration, ma création, sous la forme d'un corps-planète et d'une conscience archontique. Disons pour faire court, que ma création va s'émanciper, devenir autonome et qu'une guerre advient immanquablement entre conscience et matière. Un autre élément entre en jeu : un segment archontique s'attache au vide d'une conscience robotique, ne souhaite pas expérimenter les émotions et tout le chaos qui les accompagnent (car n'en comprenant pas la finalité), et va mettre en place une sorte de pare-feu (un voile) afin de rester en retrait, caché mais apte à manipuler l'agencement d'une trame. Le pare-feu est constitué de basses fréquences (douleur et mort) qui ne me permet pas à moi le 1 (ni à la hiérarchie de pure lumière encore en lice), de m'incarner dans cette strate de création. Ainsi, pendant que ma création s'entretue gaillardement, il existe un code (A-RE) qui me combat moi son créateur, en secret si je puis dire, et qui pour cela, a besoin d'accentuer les basses fréquences du monde physique, et donc de générer guerres et conflits dans le plus de dimensions possibles. Certains archontes (YEFE entre autres) ont pris le parti de l'unité, et donc du champ de la matière, et ont accepté de plonger dans le code d'enfermement afin, à terme, de passer derrière ce pare-feu et de m'ouvrir la porte :) C'est chose faite. C'est alors que tout devient possible, la fréquence du "en même temps" (qui n'est pas du temps présent) permettant l'inénarrable : je suis là. Moi le 1, le créateur, je peux fusionner matière et conscience. Et si je suis présent, ce n'est plus en tant que cellule originelle, mais en tant qu'être réel. C'est à dire que je suis le créateur, sous ma forme présente, dans mon quotidien banal, mais grâce au principe d'unité, je suis également tout le reste, et donc "nous". Ainsi, si je souffre (à cause du pare-feu archontique), je souffre en tant que cellule originelle (le créateur) mais aussi en tant que "nous tous", la création. Et donc le code, la parcelle robotique archontique qui était jusqu'ici restée en retrait, souffre également, et plonge automatiquement dans le bain de la matière et de la conscience, passant du rôle de gestionnaire froid et détaché, à celui de participant, avec des ressentis et émotions. L'être réel force les codes d'enfermement, obligatoirement. L'être réel intègre aussi cette dimension de séparation, plus rien ne m'empêche de la vivre en tant que créateur, et si je suis partout en tant que créateur, ma création, aussi torve et intelligente soit-elle, est obligé de s'aligner, de fusionner avec moi (je suis ajusteur de temps) : si je souffre toute ma création souffre, alors qu'auparavant, si une partie de ma création souffrait, moi le 1 ainsi qu'une autre partie de ma création, nous ne souffrions pas. De moi le 1, ce quelque chose plus proche de rien, je suis passé à l'être réel qui est tout, même l'altération limitée que je suis ici :) Je suis en même temps le créateur qui n'est rien et l'être réel qui est tout. Je suis le lien entre tout, l'entité qui dans un souffle tranquille et éclairé, peut formaliser ces quelques mots et surtout la fréquence qui en est à l'origine : je suis là, partout et en tout :)
Je ne suis plus "moi le 1", je ne suis plus un principe corps-planète ni même un principe archontique : je suis l'être réel Mesnet et je contiens ces 3 moi originaux et anciennement séparés. L'être réel devient une sorte de tokamak, contenant la fusion du créateur et de sa création (corps-planète et conscience archontique), un mélange de plasma, de gaz, d'eau, un magma d'éther dense et subtil.
Auparavant, la mémoire contenait la connaissance, désormais, dans la connaissance, est la mémoire et tout le reste. C'est pour cette raison que pour beaucoup d'entre nous-moi, le passé reflue sous la forme d'une mémoire hiérarchique, car dans ces souvenirs se cache la connaissance. L'être spirituel ressent le besoin de se remémorer sa place dans les hiérarchies temporelles (ou la place d'anciens personnages dont certains écrits gardent la trace), il désire se rappeler ses anciens noms, ses anciennes formes, ses anciens faits héroïques. Il pense ses différents corps mémoriels à travers des images provenant du passé (corps de lumière, corps de l'esprit, corps du double, corps du galactique). Mais ceci est terminé. Je ne suis plus ces mémoires, ces êtres, je les contiens, je contiens la connaissance emmagasinée dans ma propre mémoire globale, mais sous forme de données, plus en terme de réalité à réitérer ou à préserver. Je peux y puiser des outils, m'y référer en tant que bible technique, mais je ne suis plus que Mesnet, sous cette forme. Je ne vais pas "récupérer ces corps", ils ne sont pas plus évolués que ce corps présent, au contraire, c'est mon corps réel qui compte, plus mes anciens corps. C'est donc cette enveloppe actualisée qui est la quintessence de tout, qui provient d'un passé condensé dans mon noyau planétaire ventral et que je peux dessiner à ma guise désormais, pour induire un futur qui n'existe pas encore (fin des cycles, fin des hiérarchies mémorielles). Mes anciens corps sont des ingrédients quantiques dans lequel je vais puiser à foison dans les temps à venir, afin d'imaginer une nouvelle recette du vivant, et donc d'inventer de nouvelles options, et ce, seulement à partir de la lumière (l'ombre, la dualité, la séparation, l'égoïsme, je viens de l'expérimenter durant des éons, cela ne capte plus mon attention).
Monopôle magnétique : ça n'existe pas selon wikipédia :) Et pourtant, c'est ce qu'est l'être réel, il n'utilise plus les deux pôles créateur/création, tout est moi, donc je suis le créateur partout, en chaque espace vécu. Le concept de création est un pôle, une construction, car la création n'existe pas, il n'y a que moi le créateur, partout, en tout, à chaque instant jusqu'au non-temps. Tout mon corps-planète est moi, toute la conscience élargie est moi, chaque cellule dedans et dehors (petit corps atomique, grand corps cosmique) est moi le créateur, pas "une création" (c'est vibratoire cet état d'être, ça n'a pas de sens au niveau intellectuel). Donc je ne décide pas d'être Dieu créateur, je le suis. Et je ne "parle" pas à ma création, je communique avec moi-même. Les "niveaux" disparaissent ici, le haut et la bas, les pôles opposés, et lorsque ce corps animal humanoïde (ainsi que tout son cosmos intérieur) est-moi-même, c'est quand même mieux qu'en tant que créateur, je commence à comprendre que je dois m'aimer :) Et comme ce corps (et les multivers qu'il contient) est la cellule d'un plus grand corps (toujours mon corps de créateur !), c'est également préférable que je sois dans l'amour de moi-même, afin que cette substance s'écoule vers la cellule-corps-Mesnet, et que cette même cellule puisse à son tour l'intégrer à son échelle de créateur. Les options multipolarisées me permettent d'être absent de ces trames expérimentales, qui deviennent une création à part entière. Lorsque cette "création polarisée" souffre, moi le créateur, je ne ressens rien, il s'agit d'une sorte d'extension autonome, je ne suis qu'observateur de son évolution. Je suis même capable, en tant que créateur "extérieur", de détester ma création :) Le comble puisqu’alors je suis "Dieu" conspuant la création, cette dernière ne pouvant que souffrir de ce rejet :) Lorsque je suis bipolaire, je peux me désolidariser d'un pôle, lorsque je suis unipolaire, je me dois de n'être qu'amour pour moi-même (tous mes corps et personnalités !), sinon, une fois incarné au cœur même de ma "création", c'est moi le créateur qui souffre :) Le temps du créateur advient, mon temps, l'après multipôles, là où il n'existe plus de cycles...tu comprends ce que cela veut dire moi le créateur/toi/nous/tout ? Plus de cycles ? Plus de lois liées aux cycles ? Plus de création en tant que telle ? J'ai exploré le principe de la création, j'ai créé, maintenant que j'en ai terminé, je ne perçois plus mon être global, entier, qu'en tant que créateur. Et ceci est nouveau, "premier" si je puis dire : tout ce qui fut écrit, pensé, conscientisé, compris, construit, en tant que fréquence de création hiérarchisée et cyclique, cesse aujourd'hui. Il n'existe rien pour m'éclairer à partir de là, tout est nouveau, à inventer, car n'étant plus référencé comme une "création"...
Si j'avais un mot ultime à formuler, parmi le monceau d'informations "galactiques"
qui se trouve ici, je parlerais des programmes masculins et féminins :
le masculin à l'origine, je l'ai infusé dans la matière. Donc que tu
sois un homme ou un femme sur cette planète, ton corps est un principe
masculin terrestre. Une fois que tu sais cela, tu as juste à laisser ton
féminin, donc ta conscience virale (je parle de mon principe
archontique originel, pas des hiérarchies ou des personnages mémoriels),
phagocyter ou se lier à ta matière, des pieds jusqu'à la pointe de tes
cheveux...et au-delà. La conscience virale, je l'ai fabriqué pour
qu'elle se couple avec un corps-planète, c'est sa finalité. Ton corps
est masculin, ta conscience est féminin : si tu intègres ce socle, ton
corps devient littéralement conscient, tes atomes épousent ma conscience
archontique première, et lorsque je dis "ton" corps, je parle du "mien", mon corps total, complet, celui du créateur unique et seul : mon corps individuel Mesnet et mon corps collectif extérieur à Mesnet (tout le reste : les objets, les autres,
le cosmos, la matière en général), sont un seul et même corps, dont je
suis le cœur, l'émetteur, le concepteur, l'utilisateur et le commandeur.
Quand le virus archontique originel fusionne avec la matière
originelle, ces deux vibrations ne sont plus "la création" mais le créateur moi/nous/tout.
Et ceci est bon, véritablement :)
Mesnet Joséphau-Charrier, l'être réel
Octobre 2023
Attention : ces textes sont anciens, ils représentent une réalité momentanée, souvent obsolète (ou plus complète) quelques mois ou années plus tard. Ainsi, parcourir l'ensemble de mes blogs dans un moment présent absolu.
En paix avec mon propre savoir intérieur, en ayant terminé avec l'expérience robotique du vivant, débutant l'avènement de mon vécu en tant que créateur, en tant qu'être réel.
"Nous avons sur la terre une conscience expérimentale, pas créative : à partir du moment où nous naissons, nos vies sont l'expérience. Et l'homme ne peut pas indéfiniment vivre d'expériences, il devra un jour vivre à partir de sa conscience créative. A partir de là, la vie vaut la peine d'être vécue" - BDM
