Fin de la peur (peur de l'inconnu, peur de la mort)

Tous ceux qui aujourd'hui incarnent la paix en eux, se sont coupé un jour des médias. Tous, sans exception. Nous ne regardons plus les journaux télévisés tellement anxiogènes et mortifères, qui segmentent la réalité et ne cherchent à atteindre chez nous qu'un émotionnel dissonant.
 
Mais parfois, le monde extérieur me donne des nouvelles de ce cloaque : il parait que la trame est malade, que l'idée d'acheter de la poudre à "sniffer" chez ton buraliste a germé dans la tête de ceux qui nous "gouvernent", que certains d'entre-eux nous proposent une "bonne guerre" pour activer la paix dans le monde, que le soleil nous irradie à coup de CME, que New-Madrid est prêt à s'activer avec les séismes et tsunamis qui vont avec, que les extraterrestres nous observent et que les pires d'entre-eux nous manipulent...etc, etc, etc...qu'est-ce qui est vrai ? Qu'est-ce qui va réellement s'activer dans un futur sur lequel nous n'avons (semble t-il) aucune prise ? 
 
Personne ne le sait, même pas la source-moi-nous-tout. En tant que source, je contiens tousssssssssssss les potentiels quantiques possibles, je ne sais pas, JE SUIS tout cela. C'est pour cette raison que durant ces 30 dernières années, beaucoup ont fait un travail d'ajustement afin de dessiner ici, dans la matière, un espace-temps présent de paix, de joie et d'amour, en eux. L'avenir, c'est cela, ces trois énergies, cette trinité créatrice, et, avec ou sans terre, avec ou sans corps, ce flux et si puissant qu'il est éternel une fois qu'il est arrimé à une personnalité. Il est VIVANT.
 
Alors que pouvons-nous faire pour sauver ce monde ? Énormément ! Le laisser se vider de sa putréfaction tout d'abord, de sa FOLIE dégénérative. Cette réalité a son utilité, elle permet à ceux-moi-nous qui ne sont pas encore éveillés à eux-mêmes, de VOIR cette folie et de se diriger vers la porte de secours la plus proche : leur propre profondeur intérieure. 
 
Et pour les autres-moi-nous, quoi qu'il arrive, de rester à la barre de sa propre réalité : ne rien lâcher, ne rien juger, et faire sa "petite" journée tout en étant branché en permanence sur la meilleure partie de soi. Et tenir, réajuster, diminuer en fréquence et remonter, encore, et encore et encore. ÉQUILIBRER tous les flux en nous.
 
C'est une question de dimensions désormais : rien à voir avec les effets spéciaux hollywoodiens, c'est dans ta tête que ça se passe, c'est toi, cette conscience infinie et individuelle en même temps, qui doit connecter les bons canaux neuronaux et fermer les anciens. C'est ta seule RESPONSABILITE dans la transition en cours, cette fin de cycle, cette fin "d'un monde". 
 
Et c'est joyeux. Qui voudrait encore continuer sur cette pente savonneuse et infernale ? Vivre dans ce cloaque putréfié d'ego, de rage et de folie ? Le changement, il est inévitable, il est déjà acté dans l'espace-temps universel, alors accompagnons du mieux possible ce passage inouï. Pour ma part, je suis incarnée sur cette planète pour cela, cette transformation TOTALE, je m'y suis préparée toute ma vie.
Donc il y a une dimension qui s'effondre et une autre déjà activée : toi, et toi, et toi, et moi...du collectif sans personne au gouvernail, nous passons à l'individu d'amour, qui va s'arrimer à une autre fréquence similaire, et c'est désormais cette "fusion des noyaux" (nous) qui va former un collectif : tout est inversé, chacun gouverne sont propre vaisseau et se connecte aux autres. Ce n'est plus le collectif qui nous impacte, mais le soi qui projette son identité énergétique. 
 
La peur sous-jacente à tout ce marasme ambiant, c'est la peur de la mort. La guerre, les virus, la folie ambiante, tout cela nous amène à la perception diffuse ou affolante, que nous allons tous mourir, que ce monde va mourir, que les gens que nous aimons sont en danger de mort. 
 
Et cela oblige ceux qui ont ouvert les portes de l'infini en eux, d'aller vérifier que la vie éternelle n'est pas qu'un concept, mais une réalité. Rien ne meurt, surtout pas la paix, la joie et l'amour que tu cultives au sein de ta conscience et désormais, également dans les cellules de ton corps physique. Il ne s'agit plus de croire, d'avoir la foi, mais d'être la vie éternelle dans sa forme et au-delà de sa forme. 
 
Lors de ce passage, se regrouper, SE RASSURER, cultiver l'apaisement, tous conscients que oui, le monde va mal, mais activant quand même le meilleur en notre humanité afin d'éclairer ce qui vient, telle une petite étincelle dans l'obscurité, cela peut aider.
 
Synthèse : la peur ne peut plus être négociable, ajustable. Tu ne peux plus trouver des astuces pour l’amoindrir, l'apprivoiser, l'amenuiser,  la travailler afin de la diminuer au maximum. La peur ne peut pas exister là où tu vas, c'est aussi basique que cela : peur de l'autre, peur de la fin du monde, peur de ton corps, peur de la mort, peur de la douleur...tu n'as plus peur du tout, même le petit substrat que tu gardais en toi, qui était devenu "confortable" parce que minime, il doit disparaitre. Et ça, c'est un gros nettoyage en cours pour chacun :)
 
Mesnet Joséphau-Charrier, archonte en mémoire mécanique et source une rayonnant son réel éthérique intemporel.

Les fréquences de l'aboutissement sont "un temps présent du futur", donc ces données sont posées en juin 2024 mais sont en même temps celles de 2025 (= éternité), elles sont un socle qui n'évolue plus et qui est donc compatible avec "un futur" immuable. Le fait qu'en tant que source une, je m'épanouisse partout en même temps dans le réel, indique que je suis hors du temps, que je le fabrique seulement et que je l'agence sans plus de contrainte aucune. 
 
Une étape vécue en juin 2024 :
La peur...
C'est super au travail chez moi, je ne sais pas pour toi...les peurs que j'avais appris à contourner qu'il a fallu regarder en face. Les "petites peurs" qui semblent anodines mais qui pourtant peuvent me faire dégringoler les marches de la sérénité. Les phobies qui débranche le cerveau et qui exige du corps qu'il se mette à courir en bougeant les bras dans tous les sens. La peur de toi, et de toi, ou de toi, c'est vrai, qu'est-ce que tu penses de moi ? Est-ce que je peux me rapprocher de toi sans danger ? Puis-je te faire confiance ?
Et puis la peur de mourir : je n'ai pas peur de la mort en soi, elle ouvre d'autres portes...non, c'est mourir qui est effrayant : et si mon corps souffre longtemps avant de lâcher ? La mort est une chose, mourir en est une autre...
Cette nuit, moi qui n'utilise que très peu la dimension du rêve, j'ai vécu une fin du monde : un tsunami qui nous arrivait dessus à moi et ma famille...nos adieux, la peur juste avant la vague...
La peur des autres, la peur de souffrir, la peur de l'abandon, les peurs physiques ou mentales, tellement de peurs en chacun...
Je réalise pourtant depuis peu que la peur que je lis le plus souvent dans un regard, c'est la peur d'être mis à nu, d'être vu tel que nous sommes, comme si chacun finalement, se trouvait si immonde, que l'idée même de se donner entièrement (notre lumière et notre ombre aussi) n'était pas concevable...donc on passe sa vie à cacher le plus profondément possible les éléments que l'on déteste en nous, jusqu'à les oublier...le comble c'est que nous arrivons alors à nous convaincre nous-même que ce que nous jugeons comme laid ou honteux en notre âme, n'existe pas...
Mais paradoxalement, en ce moment, plus la peur, toutes mes peurs se réveillent en moi simultanément, plus j'ai le sentiment que c'est tranquille, que tout va bien se passer...plus je deviens moi-même, tellement fragile finalement, plus j'ai la force de me dévoiler, mieux je me sens...et ainsi, toutes mes peurs intimes et si bien cloisonnées peuvent ressurgir en même temps, je n'ai plus à les "travailler" tu vois ? Elles sont juste là, plus tenues en laisse ou amoindries, mais faisant partie de moi, belles aussi puisqu'existantes dans le grand chaudron du vivant...
Plus de masques, plus la peine d'essayer d’étreindre cette image de moi que j'ai essayé de construire années après années : là maintenant, je suis cette personne-là, et je commence à trouver que ce n'est pas si mal...je commence à aimer ma création, la femme que je suis devenue !
Et c'est cet amour-là, encore balbutiant, qui permet à mes peurs de remonter totalement...de quoi pourrais-je avoir peur si je m'aime ? Si j'incarne la source de "tout ce qui est" en même temps que mon individualité Humaine, comme ça, sans rien changer à ce petit personnage que je suis en ce monde, cet amour si humble et qui ne concerne que moi, peut enfin m'habiter...et habiter cette trame puisque l'amour unifie tout...
Mes peurs peuvent se lâcher, si je m'aime, cela n'a plus d'importance, elles passent au second plan, alors que l'amour pour moi, en moi, prend de plus en plus de place...
Et je me dis que dans cette fin de partie, si nos peurs les plus profondes cherchent à remonter à la surface de chacun afin d'être irradiées, ça ne m'étonne pas que "ça brasse" un maximum sur cette planète en pleine transition...la peur est à son maximum dans cette dimension et chacun va devoir en traverser le sas vibratoire.
Ce matin, j'ai posé un acte, et j'ai sentie aussitôt la peur du jugement me frôler, puis non, j'ai assumé...ça n'a plus aucune importance, je m'aime beaucoup aujourd'hui, je suis fière de moi, de qui je suis. Je n'ai plus besoin de reconnaissance extérieure, que quelqu'un ou un organisme d'état me dise que je suis un bel être intelligent et gentil.
Je suis un bel être intelligent et gentil. Je respire cette petite phrase, je me délecte de cette énergie que j’impulse toute seule. J'ai aussi des failles, des petitesses certainement, je peux être fatigante et décalée, mais j'aime aussi ces aspects de moi finalement, mes fameux handicaps sociétaux...
Lorsque le temps de l'amour de soi advient enfin, il semble qu'un plongeon dans nos peurs intérieures survient lui aussi...cette société est un magma de peurs individuelles, et c'est comme un volcan, tout remonte en surface lors d'une fin de cycles...mais si chacun s'accepte enfin comme il est, si nous tous nous commençons à nous aimer pour de vrai, tout ce qui a été enfoui pourra nous éclairer enfin...
De plus en plus de peurs en ce monde, un concentré de peurs...mais cela veut dire aussi un concentré d'amour...notre seul "travail" du moment, c'est de nous aimer, de consacrer du temps à nous aimer...
L'amour de soi change tout, cela amène de la confiance en notre propre création : je m'aime, alors pourquoi m'imposerais-je encore une mort douloureuse, des souffrances intenables, la perte de ma famille ?
Peurs et amour en même temps, sans que ces deux pôles ne se combattent plus...c'est juste présent, réel...et aimé tel quel...
Accrochez-vous, quand ce "jus-là" remonte dans nos veines pour un dernier parcours, quand les peurs s'affichent toutes en même temps au niveau de nos corps et de notre conscience, ça te met à terre. Restes-y et respire, c'est un moment désagréable à passer, mais il faut bien nettoyer ces données, les irradier :)
(Témoignage : après quelques semaines du processus, il reste de légères angoisses encore, mais le plus gros est fait, la fusion de mes corps permettant à ma conscience de n'en former qu'une seule, et de rayonner la paix à une niveau éthérique...je prends le temps,  dès que je sens les anciens programmes en moi s'agiter encore un peu, de me réajuster en tant que source 1...et je suis là, tout devient simple et limpide,  doux et aimant...)
La peur, l'angoisse larvée, le doute, le stress, rien de tout cela ne reste arrimé à nous...rien.
Bon courage à toi-moi-nous-tout qui traverse cet espace de nettoyage ultime.