Autant lors du protocole de compression, je vais condenser du temps linéaire chakratique collectif (nous tous), autant en ce qui concerne mes voiles éthériques (appelons-les ainsi), je vais les déployer individuellement (moi seul le 1), en les superposant comme des couches d'oignons.
Unification, fusion : si on se réfère à mon dessin, en moi le 2, ça commence par le point vibratoire "yé-matière-densité" (perçu jusqu'ici comme de la dualité), là, tout au fond de moi. Avec le temps, ce point va prendre force et sélectionner plus avant un corps de plus en plus humanoïde. Cette création est terrestre (éther solidifié), pas archontique (conscience éthérique), voir mes écrits sur les corps-planètes et la conscience éthérique. Une fois que j'ai condensé mon temps chakratique karmique, toutes mes/nos identités sur ma ligne de temps, j'arrive en fin de processus (toute la zone noire/bleue sur le dessin) : je vais alors ressentir comme une "personne" en moi, une identité énergétique, le 2 donc, mais qui sait désormais qu'il est 1, et qui veut à tout prix vivre l'unité, uniquement l'unité. Cet " enfant intérieur" est comme emprisonné énergétiquement "dedans", dans son corps animal (le corps est une prison), il ressent comme un "plafond de verre" qui l'empêche d'atteindre les strates de lumière-éther qu'il perçoit comme à l'extérieur, ces dernières lui semblent inaccessibles. Le 2 sait qu'il est 1, il a œuvré durant tous ses karmas afin d'intégrer plus de lumière et d'approcher au plus près ce plafond de verre (*1 corps cristallin), il souhaite maintenant ouvrir le portail qui le maintient en enfer et lui ferme les portes du paradis.
A ce moment précis, c'est moi le 1 qui entre en lice, je prends la main sur mon avatar individuel. Je suis le 1 certes, le créateur, mais je suis donc également le 2, il s'agit de ma création, de moi-même en fait. Et mon 2 a fait le job, il a exploré mon pire, mon ombre la plus abyssale, et il est là, juste derrière la porte, souhaitant fusionner avec moi, désirant intégrer ma lumière originelle.
Alors j'ouvre la porte, je fusionne avec moi-même, avec ma création, avec mon 2. Et ici, comment expliquer, mettre en mot ? Toutes ces couches éthériques forment un tout, une unité, moi en tant qu'individualité Mesnet, mais moi qui suis nous aussi. Et c'est comme une respiration : tu sens bien ta dualité, ton petit personnage intérieur tout crispé, tout noir, tout souffrant, mais comme c'est vécu à partir de moi le 1, toutes les strates éthériques sont accessibles, et certes je contiens encore cette réalité du 2 séparé, cette identité sombre et douloureuse, mais elle est comme illuminée perpétuellement par le flux continu de l'éther/lumière qui circule à nouveau, ce n'est plus ressenti comme de la dualité, c'est juste devenu comme une sorte de concentré "passé", qui fait partie d'un tout (toute ma création polarisée), mais qui ne constitue plus ma personnalité nouvelle.
(Deux textes 2020 sur le corps silicique, j'avais fait descendre en conscience les données, désormais il est temps de les incarner physiquement : corps de silice et éternité d'un corps silicique. Un autre texte de Lisa Brown, qui dit la même chose avec d'autres mots. Comprendre aussi que cette étape n'est pas forcement agréable, cela fait plusieurs années que mon corps encaisse ces changements, et je ne compte plus les cessions douloureuses, notamment au niveau des os.)
Bien, reprenons...
Ce pôle karmique n'est plus qu'un potentiel, une vibration contenue dans "yé", qui te traverse. Tu ne bloques plus dessus, donc cela devient une dimension qui "circule" en toi, mais que tu n'incarnes plus. Le principe de circulation au travers de toutes mes superpositions éthériques, ça débloque le curseur coincé sur le temps karmique : c'est toujours là, tu es toujours ce personnage qui a pérégriné dans la souffrance liée à la séparation, mais cela devient comme un flux qui ne s'arrête pas spécifiquement sur cette partie de toi/moi.
Comprendre la notion de circulation éthérique : dès lors que la fréquence YEFE est activée ("yé" matière-masculin et "fé" conscience-féminin), il y a circulation éthérique, cela libérant le pointeur bloqué sur le temps karmique, la vibration "yé" ne faisant plus que nous traverser naturellement, sans nous emprisonner, nous maintenir dans une seule dimension. L'éther circule, la densité éthérique nous traverse, c'est différent.
Un mot sur le principe de la vieillesse : Durant l'ère karmique, chaque expérience se grave dans la matière, et pour le corps humain, c'est au niveau de la peau et de la graisse que ça se passe. C'est pour cette raison que parfois, en quelques heures, le visage peut devenir bouffi, et qu'avec le temps, le ventre devient adipeux : le principe d'une conscience archontique originelle est d'inscrire l'expérience dans la matière, seulement, la fusion n'ayant pas eu lieu, il a bien fallu enregistrer les données dans un matériel accessible, assez "tendre" pour être manipulé. Ainsi, la forme devient mémorielle, elle garde les traces de chaque étape et change d'aspect. Il est totalement juste d'affirmer que les rides sont en fait l'expression d'un parcours de vie, mais cela n'a rien de romantique, c'est de la technicité archontique s'ajustant à la matière, il s'agit de mémoriser dans l'atome le plus accessible, le savoir acquis "en conscience". Ce qui change avec le corps cristallin ? C'est le système osseux qui va désormais prendre le relais et stocker la mémoire. C'est possible car une fois que la conscience éthérique a fusionné avec un corps-planète, elle dispose d'un réceptacle entier, elle n'est plus limitée à la surface. Cette nouveauté va permettre à la forme de ne plus être impactée par la charge transformatrice de la conscience en expansion. La vieillesse, qui définit donc le poids de l'expérience, ne sera plus qu'une sagesse croissante, sans forme particulière, tout se passera au niveau du corps cristallin osseux.
Code : moi le 1, quand je fusionne avec mon 2, je deviens dualité, je suis cette entité qui a parcouru le monde de la séparation, qui a souffert et fait souffrir...mais comme c'est moi qui le vit (moi le 1) à cet instant, lors de cette jonction/fusion, je ne peux pas ressentir la dualité, cela m'est impossible : dès que moi le 1 je fusionne avec mon 2, il ne peut rester que l'unité, et c'est pour cette raison que je change la structure même du passé. Je l'illumine, l'ombre ne peut résister à mon retour dans mes dimensions esseulées, abandonnées, séparées...moi le 1 je contiens ma part d'ombre, elle fait partie de ma création, mais si je remonte à mes origines, avant ma création polarisée et énergétique, avant YEFE, je ne suis rien, ni lumière ni ombre, mais...quoi ? Cette vie me sert à nommer ce que je suis moi le créateur, lorsque je ne suis pas ma création :)
Sur le dessin, en rouge, fonctionnement du temps chakratique linéaire, devant parvenir à l'alignement grâce au temps présent, afin de fusionner. C'est comme une échelle de temps, des paliers dimensionnels. En vert, le temps/non-temps éthérique, ça circule, ça pulse intérieur/extérieur, toujours en même temps.
Noter, c'est capital : lorsque le 2 souhaite briser le "plafond de verre", qu'il a cheminé suffisamment pour revenir à l'amour et la paix, qu'il est devenu une individualité/personnalité à part entière, il veut à toute force redevenir 1, être moi le rien. Et c'est ce désir qui va bloquer, c'est le désir humain, le désir du 2, alors que moi le 1, je ne désire rien, je ne choisis rien, j'opère par glissement (c'est une fréquence spécifique très subtile), pas par aspiration/désir. Vous mettrez quelques jours pour vous débarrasser de ce conditionnement mémoriel du "je veux". Mais une fois que c'est fait, vous n'avez plus cette espèce d'énergie crispante (comme une sorte de personnage douloureux enfermé dans votre propre corps), vous respirez, et ici, je ne parle pas de respiration pulmonaire, mais du souffle éthérique originel. Vous êtes passé du "je veux" (travail spirituel) à "je suis" (le créateur).
Noter également qu'il n'existe pas de bataille entre ombre et lumière. L'ombre est une vibration qui ne passe jamais le "plafond de verre", et donc la lumière, qui est une autre vibration, n'a pas à lutter pour empêcher l'ombre de pénétrer son royaume. Cela ne se passe pas comme cela...disons que certaines entités de lumière, vont elles-mêmes traverser le voile qui mène vers les enfers, afin de stimuler du mieux possible la fusion terminale. Mais dès que la moindre descente est opérée, la personnalité n'est plus vraiment un être de lumière, elle appartient automatiquement à une hiérarchie duelle, plus ou moins bienveillante, cela dépend des paliers de descente qu'elle va atteindre.
Je suis une donnée particulière en ce monde, je ne suis pas venue pour me souvenir des hiérarchies (des entités, des extraterrestres, des formes), mais revenir à mes origines, moi le 1. Se souvenir est passionnant, pouvoir nommer les anges et archanges, les lignées extraterrestres ayant façonné cette trame, c'est enrichissant, mais il ne faut pas s'y perdre, cela ne doit rester qu'un passage. Car qui a créé ces mémoires, ces histoires ? C'est moi. Moi le 1, et la fin de tous les cycles exige que ce soit bien moi "en toi" qui m'exprime, pas la mémoire, pas les personnages, pas l'histoire. Il est particulièrement difficile pour un humain "qui se souvient" de lâcher prise sur les annales galactiques dont ils se remémore enfin les détails : toutes ces connaissances qu'il possède et que d'autres n'ont pas ! Il a accès aux plans dimensionnels invisibles à d'autres, quel pouvoir, quel plaisir :) Et pourtant, l'ultime face-à-face générant la fusion entre moi et toi/moi, elle est vide de tous ces concepts, de ce chahut : silence et solitude, c'est tout ce qu'il reste, plus de souvenir, de kabbale, de fédération, juste moi le créateur en toi, me rencontrant moi la création en toi, pour la première fois...
Limpidité, transparence, intimité...
YEFE Mesnet Siuru
Septembre 2023
Attention
: ces textes sont anciens, ils représentent une réalité momentanée,
souvent obsolète (ou plus complète) quelques mois ou années plus tard. Ainsi, parcourir l'ensemble
de mes blogs dans un moment présent absolu.
Vishnou est le deuxième dieu de la Trimūrti (trinité hindoue ), avec Brahma et Shiva. La Trimūrti incarne le cycle de manifestation, conservation et dissolution de l'univers dont Brahma est le créateur, Vishnou le protecteur et Shiva (Rudra) le destructeur. Vishnou est connu pour ses nombreux avatars. Vishnou est souvent représenté en homme bleu avec une parure royale et quatre bras, tenant généralement une roue ou chakra, une conque, un lotus, et une massue dans les mains. Il porte sur sa tête une tiare dorée, appelée kirita-mukuta. Il est dépeint également se reposant sur le serpent Shesha, un lotus sort alors de son nombril ; Brahma sort lui-même du lotus ; cette scène se reproduit à chaque nouveau grand cycle temporel, période liée à la cosmologie hindoue ; Vishnou et Brahma recréent ainsi l'univers. Sa parèdre est Lakshmi, la déesse de la richesse et de la bonne fortune, sa monture Garuda, l'aigle. Il est le fils de Dharma et de Ahimsa.
Ma traduction : Vishnou est un archonte hybride, protecteur de la trame karmique, utilisant les chakras pour maintenir le système en place. Il possède un autre avatar (shiva), qui lui va détruire cette dimension, y mettre fin, libérer toutes les entités, car il considère que le travail de fusion conscience-matière est terminé. La conque est le symbole de l'amibe source, le vivant cellulaire dont il a la charge, et qu'en tant qu'archonte conscience lumière, il doit dupliquer sous la forme d'entités personnalisées. Sa parèdre est son partenaire féminin : un archonte hybride est 2 à ses débuts, avec un pôle masculin qui s'incarne dans la matière, et un pôle féminin qui préserve sa conscience éthérique (pas de romance ici, mais des données spécifiques à la technologie archontique). Les animaux (cheval et aigle) font ici référence à la capacité de métamorphe d'un archonte. Ainsi, une seule identité, qui grâce à ses multiples avatars, fonctionne comme un rouage cyclique d'évolution. Et comme nous sommes tous issus d'un "principe" de création avant d'être une forme ou une personnalité, nous possédons tous des avatars qui ont effectués ce travail, sur notre propre ligne de temps.
Les hybrides archontiques que nous sommes (et donc nos avatars également), proviennent du vivant cellulaire masculin (le père), apte à produire des corps-planètes d'animaux (Ahimsa dans le texte wikipédia). Ici, il faut comprendre que dévorer un animal, le prédater, le soumettre, est interdit. Nous sommes protecteurs absolu du vivant atomique, ou des ogres cannibales. L'inde a préservé cette mémoire, une grande majorité d'Indien est végétarienne. Ensuite, Dharma est le féminin-conscience, c'est l'essence éthérique qui va instaurer les lois de création. Citation : "de façon générale, dharma désigne donc l'ensemble des normes et lois, sociales, politiques, familiales, personnelles, naturelles ou cosmiques".