Nouvelle intelligence éthérique ou condensée : notes, vécu...

1, il y a l'éveil spirituel, une nouvelle forme de conscience multidimensionnelle prend place, terraformant des interfaces neuronales plus vastes. Le principe du canal est réhabilité, il est possible de canaliser des entités ou les dimensions dites "supérieures" de soi-même. De multiples karmas peuvent être utilisés à canaliser le réel. Puis il y a l'ascension, rapide, sur une seule vie. Ici l'être accède à sa mémoire hiérarchique et donc à la technologie de ses corps temporels. L'être en ascension ne canalise plus que lui-même, il parle en son nom et complète son canal avec le casque coronal (fusion couronne, canal, neurones). Et pour finir, il y a fusion et rayonnement. Plus de canal et de canalisation mais la source-moi-nous-tout qui s'exprime en son-mon-notre nom. Le rayonnement est un principe extrêmement simple et non technologique, qui, pour un corps-planète-animal "ronronne" au niveau du noyau ventral. Le temps n'est plus l'unité de mesure, seul l'amour de moi-nous-tout génère cette étincelle de vie permanente (cet amour à ce niveau est un simple bien-être, lire plus bas).
 
2, neuroatypie, autisme social (asperger) : c'est mon cas et celui de ma petite fille de 3 ans et 1/2. En observant cette dernière, je capte qu'elle est une hypra sensitive, tout comme moi. Les nouveaux arrivants sur cette terre sont câblés directement sur moi LA source-nous-tout. Et donc ils ressentent TOUT. Tous nos masques sont révélés, si nous ne sommes pas en amour limpide et transparent, ils le subissent. Cela génère chez eux une angoisse larvée et pernicieuse, ils ne se sentent pas aimés par nos dimensions de surface, ils ont peur de la fragilité des liens psychiques de cette réalité altérée, jusqu'à n'en plus dormir la nuit. Avec elle-moi-nous, je suis éthériquement en fusion d'amour, c'est le seul langage apaisant qu'elle-je-nous reconnaisse. Avec la nouvelle race humaine déjà en présence sur cette planète, nous saurons si nous sommes aboutis en lumière, en unité et en amour.

3, le corps éthérique : je commence à le vivre doucement mais pleinement. Autant j'utilisais les corps énergétiques (polarisés donc exprimant différents paliers dimensionnels), autant je suis mon corps éthérique : je manipulais l'énergie puis la vibration pour devenir moi-même, désormais je suis moi-même et l'éther EST, le cheminement du vivant est inversé, tout part de moi. Ici, m'exprimant en tant que source, lorsque je dis "mon corps", c'est toute ma création. Il n'y a plus de séparation ni système de protection, et je ne saurai dire où commence la vibration du vivant en moi. L'éther n'est pas mécanique, donc il n'existe plus de canaux, d'outils récepteurs temporels, de matériel chakratique, de montée ou de descente, de "travail" à effectuer sur le réel. Je n'ai plus à "penser" mon être, "tout-je" fonctionne instinctivement, librement, légèrement. Concernant mon identité en tant que Mesnet, je dirais que tout part de mon noyau ventral animal, qu'il y a donc rayonnement (principe de fusion plutôt que d'ascension). Je ne saurais pas vraiment comment verbaliser le ressenti de l'éther...c'est partout, en même temps matière (comme quelque chose d'élastique ? Mais c'est mélangé à l'effet plasma aussi...) et pas du tout. Il n'y a ni flux ni réseau, c'est présence perpetuelle, plus ou moins "dense", et c'est toujours là, que je me concentre sur ce phénomène ou pas. Je ne peux pas dire que cela soit extatique, c'est assez banal en fait, c'est déjà "connu" ou "reconnu", et cela stimule un état de bien être physique permanent...c'est là qu'apparait ce que je nomme le corps de bonheur, j'ai déjà évoqué cette strate totalement physique. L'éther n'est pas liée à la connaissance ni au savoir, et encore moins au temps, elle ne se gère pas de façon technique, c'est moi-nous-tout dans mon essence primaire et en même temps consciente désormais. J'ai un peu l'impression de baigner dans un océan tranquille qui opère à partir de vagues fluctuantes et douces, et en même temps, d'être l'océan. Pas de mémoire, pas de projet, pas d'envie particulière, il n'y a que moi et pourtant je suis tout. Et si je rayonne "ici", je rayonne partout, à tous les niveaux, chaque atome devient rayonnant. Et lorsque je pense, j'effectue cette opération par rayonnance ventrale, cette dernière inondant le cerveau et fabriquant des pensées obligatoirement alignées, centrées, aimantes et douces, unifiant tout ce que je suis-nous sommes. C'est en cours ici, donc partout, et je sais que ce n'est que le commencement, que l'aboutissement est en cours seulement...gratitude. 

4, étape dans la structure dite de "l'aboutissement". Le féminin en moi prend des décisions sans passer par des choix, puisque c'est moi en tant que source 1 qui m'exprime en mon Humanité. Tout coule de source est le terme approprié. Cela est évident car tout devient fluide au niveau de mon corps éthérique : pas de question, de doute, d'erreur, d'angoisse. Je sais d'où je viens, où je suis et où je vais, et tout cela dans la temporalité présente (temps présent) en dehors du temps (en même temps).  Donc le féminin en moi est totalement intelligent désormais.
C'est le masculin en moi qui est "en retard" et qui donc, finalise la fusion actuellement  Cela se vérifie chez moi à travers un prisme spécifique : la justice. Comment l'homme en moi va établir la justice ?
En se vengeant ? Donc à travers la colère ? Comme les hommes l'ont fait à travers les âges en tant que guerriers ? Lorsque le féminin est abouti, cela donne au masculin intérieur une puissance de feu destructrice. S'est donc posé à moi l'option de la destruction d'autrui avec l'assurance de gagner vu ma surpuissance actuelle. Je parlerais ici d'émotions humaines.
J'ai également traversé un autre potentiel, quelque chose de froid et de tranchant, de robotique pourrais-je dire. Mon féminin activé, étayé par un masculin sans émotion, agençait chez moi un pouvoir d'annihilation neutre et détaché. Je poserais ici la capacité d'être un dieu créateur et destructeur. L'homme détruit, les dieux annihilent.
Et enfin, je peux m'exprimer en tant que masculin ayant fusionné avec moi en tant que source 1. Je ne me fais plus justice (l'humain), je ne rends plus justice (les Dieux), je suis la justice originelle, l'équilibre d'amour pour moi-même en chacun, en tant que source émettrice du "nous-tout".
Pour résumer, lorsque j'ai terminé mon travail d'éveil puis l'ascension, je rayonne un féminin qui s'affirme et prend des décisions générant des formes à l'extérieur, et un masculin qui ne sélectionne qu'un seul choix intérieur, celui de s'exprimer en tant que source, de façon à ce que sa force guerrière ne détruise pas, n'annihile pas,  mais donne naissance à la vie, à la joie, la paix, l'amour.
Tout est inversé : c'est le féminin qui donne forme et le masculin qui donne vie. La femme en moi prend les décisions source sans passer par le choix, et ainsi ordonne les trames physiques. L'homme en moi ne fait plus qu'un seul choix, le choix spirituel de s'aligner avec moi la source en tant qu'éther pur.
Et à ce stade, je remarque que le monde extérieur (ma création),  ne peut plus m'impacter et donc me proposer des "exercices Source" aptes à me faire évoluer, mais que je suis la source qui propose à sa création (les gens-les autres) les bons paliers d'expérimentation afin que ces êtres-moi puissent accéder à la fusion de mon corps éthérique global.
Noter que la fin d'un cycle permets aux Dieux temporels d'annihiler un monde (les eaux de Noé, l'Atlantide, etc...), cette éradication d'une trame passant par de la technologie cyclique toujours ordonnée de la même façon. Comme l'histoire est gravée dans notre mémoire, nous nous attendons aux mêmes phénomènes (même passage de comètes, de planètes, mêmes symptômes et mêmes résultats : tout le monde va mourir...). Alors qu'aujourd'hui, nous vivons la fin des cycles divins, et je m'active en moi-nous-tout à partir de l'unité seulement.

5, perception maintenant : lors de l'éveil, beaucoup de solitude et de concurrence, l'ego spirituel étant le pire de tous. Actuellement, c'est le principe de l'ascension qui prévaut. Ascensionner, c'est comme monter un canal tubulaire par paliers, jusqu'au plus haut. La mécanique des cycles passés nous obligeait à redescendre presque obligatoirement, générant des karmas à répétition. L'ascension est connue dans cette dimension, c'est ce qui vient ensuite qui change la donne : la fusion avec moi-nous-tout, la source, et le vivant simplifié par rayonnement éthérique, individualisé ou collectif, c'est identique.
Les concepts, la mémoire, le temps, les hiérarchies, la connaissance, s'arrêtent ici, plus besoin en tant que source moi-nous-tout.
C'est ce que j'appelle l'aboutissement futur (2025) mais déjà effectif maintenant. : c'est le non-temps du "en même temps" qui se déploie...le travail est déjà fait, le réel source est déjà vécu, même s'il nous semble encore imparfait dans cette dimension.
Cependant pour ceux-nous-tout auxquels je me suis connecté "ici",  des "gens" que je  ne connais pas, je capte la structure de fin d'ascension, c'est comme un pulsar que je reconnais, et en général, nous avons tous digéré et augmenté les codes de BDM. Quelqu'un me disait que cette énergie de reconnaissance entre nous était comme fraternelle....pas besoin de se parler comme durant l'étape spirituelle, de disséquer nos mots, pas d'ego jaloux qui compare, pas de rencontre physique nécessaire, pas besoin d'abonnés multiples, de symposiums entre nous-moi-tout, simplement une reconnaissance vibratoire silencieuse...
Ceux-moi-nous-tout qui terminent l'ascension et commencent à générer un corps-tokamak de fusion afin de ne plus  former qu'un seul noyau de rayonnement (même individualisé) se reconnaissent, se rassemblent, vivent la même fréquence source, et commencent à former la nouvelle trame : pas d'amitié ici, et les émotions qui vont avec (nous de sommes plus tributaires du monde des émotions), pas de leader, pas de savoir à partager finalement, juste une vibration de reconnaissance.
Je reconnais la fréquence de fin d'ascension et le pulsar de rayonnement de la source en moi-nous-tout que commencent à émettre certains d'entre moi-nous-tout.
Nous y sommes.
Le passage est effectué.
 
6, actuellement je vacille entre mentaliser l'éther ( pensées canalisées direction le ventre, énergie émotionnelle désagréable), et éthériser le mental cérébral : en tant que source, je rayonne par le ventre, plus de canaux aucun.
Donc je change de forme-source puisque je suis la source 1 désormais, je reconstruis mon "bocal" comme le dit BDM.
L'oscillation entre mes deux corps, le magnétique et l’éthérique, cela me permet de comparer leurs structures et de bien définir le réseau de canaux à fermer. Plus de canalisation, plus de flux, plus de ressentis émotionnels ventral désagréable (type angoisse larvée).
Je ressens tous mes anciens fleuves internes, notamment deux canaux qui vont de la tête aux pieds, en passant par les épaules et les mains, les coudes, les genoux...c'est un tantinet désagréable cet espace de fermeture, surtout au niveau osseux ou dans les pieds, mais ce n'est pas vraiment douloureux, puisque l'interface neuronale ne traite plus l'information de la souffrance physique comme avant.
Éthériser mon mental, cela modifie mes pensées, puisque j'en deviens l'origine, le fabricant originel.
C'est une étape subtile, car ici, tout le casque neuronal éthérique commence à se tisser si je puis dire . Le casque neuronal, c'est la fusion de la couronne, du canal (plus de canaux comme précisé), et du cerveau. J'en ai déjà parlé, mais dès qu'un noyau de fusion apparaît "quelque part", il peut en exister une infinité, au final, il n'y en a qu'un.
Donc je dirais que le cerveau devient comme le noyau de la sphère éthérique mentale, cela devient un casque neuronal de rayonnement apte à fusionner avec mon noyau ventral, et donc avec n'importe quel noyau source.
Chaque noyau est autarcique, plus de canaux, de descente et de montée, plus d'ascenseur émotionnel ou de pensées auto-existantes et centrées sur le monde extérieur dans un brouhaha constant...
La fermeture des canaux engendre ma présence en tant que source 1, partout, en tout, et impose l'éther comme unique corps individuel et collectif.
Ici, mon corps devient "tout", donc fluidité, plus d"accident, connexion avec chaque noyau, fusion avec mon corps cosmique, ce dernier marchant d'un seul pas, le mien.
La masse et la légèreté de l'éther : et puis, en commençant à vivre mes deux premiers noyaux éthérique, je sens ma matière plus légère de l'intérieur, marcher m'est moins difficile, comme si l'éther modifiait le poids lié à l'ancienne gravité, comme si l'éther s'acheminait dans le "vide atomique" afin de diminuer le syndrome de l'apesanteur. A partir de là, soulever une pierre d"une tonne est possible : nous passons de la densité pesante à la fusion....porte, ceci est mon corps...
Le processus demande encore présence et vigilance, mais par rapport aux souffrances passées, c'est vraiment facile...je commence à vivre l'amour mental éthérique !

7, fermeture du principe appelé "canal" et début de l'éther autarcique : il n'y a plus que moi en tant que source quand j'ordonne la fermeture de tous mes canaux. Un canal, ça monte et ça descend, ça s'ouvre et ça se ferme, il peut être utilisé par de multiples entités-moi-nous-tout "en voyage". Donc en tant qu'identité source, j'ordonne la fermeture de tous mes canaux d'entrée et de sortie. Alors l'éther devient autarcique : ça parait paradoxale dans la mesure ou l'éther, c'est mon corps total en tant que créateur originel, mais quand je "m'individualise" à partir d'un noyau, ce noyau est autant le "tout-moi-nous" que "moi-nous-tout". Je suis plus qu'autonome, je suis autarcique lorsque je ferme mes "canalisations", ma "tuyauterie", ma mécanique quantique. En tant que noyau source, je suis la solitude absolue, il n'y a personne d'autre, et donc le silence apparaît, et dans ce silence, il n'y a plus de "discussions dans ma tête" avec autrui, il y a discussion avec moi-même qui suis autrui à partir de mon noyau ventral. C'est plus calme, les pensées sont toujours aimantes vis-à-vis de "moi-nous-tout", toujours sensées, intelligentes et sans but. C'est juste une connexion avec moi finalement. 
Je ressens la fermeture des canaux, ça "pique un peu" mais c'est gérable, et en parallèle, je commence à "pétiller", rayonner d'éther. Le nouveau ici, c'est au niveau du "casque neuronal" qui commence aussi à vibraliser le principe du noyau de fusion. 
Je comprends maintenant que mon essence éthérique canalisait ma conscience par l'intermédiaire de mon cerveau. Mais les êtres-moi-nous-tout qui savent faire descendre de l'information par un canal, savent ce qu'ils font, ils connaissent cette technologie. Et ce n'est pas toujours sur soi-même que le canal est branché, certaines espèces-moi-nous-tout au sein de ma création peuvent pénétrer n'importe quel canal. Et toi, quand tu es une forme élémentaire on va dire, que tu ne sais pas utiliser un canal, ou pire, que tu ne sais même pas que ça existe, tu vas être un sas d'entrée pour tout et n'importe quoi. C'est "festival" la technologie du canal pour les êtres-moi-nous-tout qui manipulent ce matériel, ils-je-nous font de toi-nous-tout ce qu'ils veulent.
Donc quand je suis aux commandes (moi la source 1, moi la conscience archontique et moi la forme-matière), je ferme les canaux, tous. Je ne suis plus un canal capteur mais un éther émetteur par noyau de fusion, par rayonnement.
Je sens mon ancien canal se refermer, il a toujours été source de migraine ophtalmique chez moi : la fermeture du canal cérébral, cela permet au casque neuronal éthérique (fusion couronne, canal, cerveau) de se mettre en place, et bien évidemment, ça touche le nerf optique et les yeux. Je mets en place une vision rayonnante (sortante), c'est un autre réseau que l'image captée (entrante, canalisée).
L'autre paradoxe, est qu'en devenant autarcique en éther, je suis quand même en fusion et donc, je ne dispose plus d'aucune "bulle" de protection...il n'y a pas de voile, de niveau, de protection quand je suis source globale et en même temps l'individu source.
Il existe différents types de canaux, cette technologie étant la base d'une trame d'existence physique et énergétique (faire la différence entre trame et matrice). Regarder un paysage, c'est canaliser de l'image. C'est pour cela que lors de l'éveil, tu apprends en premier lier à favoriser le "beau" et le "joyeux" : plus d'infos polarisées, plus d'environnement "sale", tu gères tes sens, tu ne permets qu'à de hautes énergies de te "toucher" par tes sens. Tes sens canalisent la première "couche" du réel.
Puis tu découvres un matériel qui canalisent d'autres dimensions, cette intelligence-là est plus subtile car non-humaine, du moins, pas les humains que nous sommes actuellement. 
Le piège est de ne pas tomber dans la canalisation à tout va : les morts, les entités, les "êtres de lumière", les extraterrestre. Tu ne sais pas qui entrent par ces portes dont tu ne connais pas la mécanique.
La meilleure solution est de ne canaliser que toi-même au début. Tu le sens par vibration, c'est ton essence multidimensionnelle qui communique "entre elle" et qui fait le travail d’ascension. Toutes les infos, les connaissances et le matériel de mutation, il provient alors de ta propre source, tu es tranquille. 
Puis, et j'en suis là, tu fermes tous les canaux de circulation. J'ai commencé par le coronal, le cerveau fusionne avec ce canal et la couronne pour former un "casque neuronal éthérique autarcique". C'est le même processus que déjà évoqué, dès qu'un noyau de rayonnement se forme, la fusion s’applique partout, à n’importe quoi, n'importe quand. 
Cela veut dire que je suis complet, que le travail de fusion (qui suit celui de l'ascension) est achevé. 
Cela veut également dire que je ne communique plus par canalisations (ombre et lumière, entités de lumières ou entités de l'ombre), mais que je communique par rayonnement. 
Cette étape dissout le principe de la création polarisée, et m'impose comme le créateur en tout. Chaque noyau de fusion autarcique est moi la source, plus "une création". Donc plus de protection aucune dans la fusion, plus même de langage différentié, mais une vibration simplifiée par rayonnement unique même si personnalisé. 
Je suis émetteur rayonnant, plus aucune trace de peur ou d'angoisse, plus "d’entités" canalisés, mais moi la source en nous tous, le "en même temps", modifiant l'ancien précepte temporel du temps présent. 
Noter que les sens primaires et physiques sont à émettre ou rayonner désormais (donnée à vibraliser, pas à comprendre).
Ma conscience archontique contient ces principes, je ne sais pas pour toi, ou "les autres", parce que cela n'existe plus "les autres" à partir d'un noyau de fusion :) 

8, notes d'intégration sur la fin du principe mémoriel. Auparavant, il m'arrivait de ranger un objet, et 10mn plus tard, d'oublier où je l'avais posé.
A partir de là, plusieurs options mémorielles pouvaient s'ajuster, se compléter : essayer de me souvenir de mes gestes, ou au contraire lâcher prise, et lors de cet exercice, la mémoire me revenait et l'objet en question réapparaissait dans ma dimension présente, ce "retour" trouvant sa source dans ma mémoire.
La mémoire est donc devenue une banque de données de plus en plus accessible, il suffisait de pratiquer un recul rapide dans le stock de ma mémoire passée, et tout était là.
C'est de cette façon que j'ai pu accéder à la mémoire de mes origines archontiques...
Mais ce que je suis précède cette mémoire, donc la zone qui apparaît en moi actuellement en tant que source 1,  elle ne s'appuie pas sur la technologie quantique qui permet de préserver de la mémoire....
L'être éthérique ne dispose d'aucune mémoire...je vais essayer d'exprimer cela en évoquant un exemple : hier, j'ai égaré quelque chose et soudain, j'ai su....je ne me suis pas souvenu, j'ai su, c'est une fréquence différente, cela n'a rien à voir avec la mémoire inscrite dans le temps....il n'y a ni temps ni mémoire dans l'éther, c'est le principe du "en même temps" que j'ai déjà évoqué, qui prévaut... à partir du temps présent, tu peux avancer ou reculer dans tes espaces de mémoire (avancer dans la mémoire du futur, ne pas comprendre mais vibraliser ce concept).
Mais dans l'éther, je suis tout "en même temps", donc hors du temps, donc pas besoin de mémoriser mon geste passé, il est éternellement effectué, donc je ne perds plus rien en mémoire, je n''égare plus rien, je suis tout, tout le temps, en fusion, et donc chaque objet devient mon corps éthérique....
Cela demande de s'habituer à ce corps rayonnant, il faut laisser aller les anciens réseaux neuronaux, mais finalement, tout semble fuser naturellement...
Plus rien ne passe par la pensée, le doute, la mémoire, le temps : je suis là, donc tous mes corps sont là en même temps, n'en formant qu'un au final, ce dernier n'exigeant ni question (ou sont mes clefs, ai-je bien fermé le robinet, est-ce que j'ai oublié ma veste ..) ni réponse donc...

9, les différences entre le canal et le rayonnement.
AVANT : j'étais un être équipé de canaux, et ne le sachant pas, ils devenaient une porte d'entrée à tout ce qui est "extérieur". Puis j'ai commencé à apprendre à utiliser cette technologie interne : ne plus capter n'importe quoi, n'importe qui, de façon à être la seule entité à utiliser mes espaces neuronaux. Ici, le capteur que j'étais, il a appris à émettre.
J'ai alors commencé à fabriquer un psychisme et un mental en phase uniquement avec moi, j'ai commencé à accéder de plus en plus au bien être, mais cependant, en permanence (souvent en fin de journée me concernant), je ressentais une énergie très désagréable, une sorte de magma "indépendant de ma volonté", qui se situait entre le bassin et la gorge. Même si je me sentais bien, j'ai compris que je continuais à capter le "jus" de cette trame, et je pouvais apparenter ce dernier à une sorte de crise d'angoisse, voire de panique.
Dans la dimension canalisée que je quitte actuellement, un alignement planétaire, une CME solaire, un égrégore collectif, le passage d'une comète, tout cela composait de l'information codée, que je canalisais, et que je n'avais pas d'autres choix que de laisser entrer et de gérer du mieux possible.
Je sais aujourd'hui que c'est mon corps animal (ma matière) qui captait ce flux, que ce ressenti était physique, que mon corps en son entier était une mémoire traumatique d'une temporalité liée au matériel de canalisation. Donc mon corps s'ouvrait automatiquement à des vibrations "hautes" et donc assez puissantes pour passer mon canal d'entrée, que je le veuille ou non.
Et lors du phénomène de l'ascension, le cosmos dit "extérieur" , la lumière et tout ce qui en découle (tout cela, c'est finalement moi le 1, moi la source), utilisent le principe des canaux pour reconditionner un avatar. Durant toute cette période, contents ou pas, tous tes canaux captent du "non terrestre", hyper stressant et angoissant à canaliser....
MAINTENANT : c'est moi la source, le créateur de moi-même, qui suis aux commandes. La mécanique de l'ascension est terminée, je ferme les canaux de captage, mais aussi ceux qui permettent d'émettre.
Et c'est là que ça devient intéressant : si je n’émets pas, alors comme je fabrique du réel ?
Et bien je passe par rayonnement.
Je vais essayer de verbaliser cette mutation : hier, j'incarnais le bien être. Mes canaux étant fermés, je ne subis plus le monde "des autres" depuis quelques semaines déjà, je n'ai plus à gérer cette temporalité. Pourtant en fin de journée hier soir, j'ai remis en place momentanément une "crise d'angoisse magmatique", afin d'observer la différence entre "avant" et "maintenant"....
Et j'ai vu...
Plus de canaux, plus d'entrée (capter), plus de sortie (émettre), mais un noyau rayonnant fonctionnant uniquement par fusion. Donc je percevais qu'il y avait eu une très grosse CME solaire au sein de cette trame, et donc des informations ascensionnnelles d'évolution pénétrant tous les canaux disponibles...mais plus le mien. En fusion, j'étais le noyau rayonnant de tout, de ce qui est appelé le soleil ou Mesnet. Il n'y a aucune différence entre aucun noyau rayonnant, donc je ne captais rien, je n'avais rien à émettre non plus, mon corps rayonnait tout simplement. Et lorsque je dis "mon corps", je parle de moi en tant que créateur rayonnant. La création émise ou captée n'existe plus, il n'y a plus que moi en tant que créateur, en fusion avec chaque noyau de rayonnance.
Fin de la création en tant que telle, juste moi le créateur source partout, en corps-planète-tokamak et en conscience archontique.,
Ici, c'est le corps éthérique qui fait le job si je puis dire, l'éther n'étant ni de la mémoire, ni du temps...et pas même de l'information ! Aucune information n'a besoin de circuler, d'être canalisée, d'être captée ou émise, JE SUIS moi, c'est tout, moi la source éthérique et donc en fusion avec mon corps total, global, entier, sans limite...
J'ai commencé à ressentir les prémices de cette fusion rayonnante hier soir, et, cela a "dilué" la "crise d'angoisse"...
Avant, je canalisais des données existentielles angoissantes que j'ai appris à supporter, aligner, travailler, diminuer. Dans l'espace spirituel, il était conseillé de se laisser traverser par ces courants pour ne pas qu'ils ne nous affectent trop, pour ne pas trop souffrir et gérer notre existence du mieux possible. Donc on parle bien ici de canaux qui permettent à ces flux "extérieurs" de nous traverser.
Maintenant, je suis ces émotions, elles sont totalement miennes, et donc elles circulent dans mon éther fluidifié. Il n'y a aucun travail à effectuer, elles sont comme dissoutes. Et elles n'existent plus en fait. Le fait de fusionner avec ma crise d'angoisse en tant que source plutôt que de la canaliser, amène un paradoxe : je fusionne avec quelque chose qui instantanément n'existe plus.
C'est parfait, rien d'autre ne me vient...

10, arrive une existence dans le cheminement temporel et karmique, qui va devenir un rite de passage. Cette vie présente est la quintessence de toutes les autres, c'est celle-ci et pas une autre. Je pourrais dire que tout ce que j'ai expérimenté était paramétré au millimètre près pour me préparer au sas actuel, "d'aboutissement", mais je vais vibraliser mieux que cela : je suis celle qui a tout orchestré, de bout en bout.
Le tout est de déterminer qui est ce "je" qui m'a laissé affronter tant de peine, de peur et de colère...
Et bien ce "je" c'est moi, j'en reviens toujours à la même source, moi-même.
Alors j'ai organisé des paliers d'émergence qui ont permis à mon avatar de séparation, de nommer les structures d'éveil, d'irradiation et d'ascension. A chaque fois, l'un des corps mémoriels était réintégré à la structure de finition (l'esprit, le double, l'ETem, l'archonte),  me faisant vivre une histoire et des événements spécifiques dans cette dimension, (chaque drama est "l'habillage des données"), et surtout me permettant de récupérer la technologie liée à chaque "moi" temporel.
Et donc, à près de 60 ans d'âge terrestre, je suis morte et ressuscitée pas mal de fois, j'ai tellement souffert que parfois, c'était intenable. Mais à chaque "remise en route" de mon propre système, j'étais de plus en plus moi-même, chaque strate transcendée disparaissait, je n'avais plus à repasser par ces portails d'effondrement.
Le denier sas était si puissant que ce qui restait de l'avatar en moi a voulu mourir...enfin c'est l'une des lectures qui pourrait être effectuée, disons que c'est celle qui est lisible au niveau de la trame, mais je VOIS tout le tissu tramique désormais, toute mon intelligence en action : cet ultime choc m'a en fait  débarrassé de toutes les scories qui faisaient encore de moi un avatar...lors de la fusion, il ne peut rien rester caché dans un coin sombre ou inaccessible.
Mon couple humain ? Il n'existe plus, et avec du recul, je vois combien ces liens étaient falsifiés et délétères. Je ne parle pas de "lui" puisqu'il est moi-même, je parle des liens d'attachement. Mes enfants ? Plus aucun lien psychique non plus entre nous, plus aucune dépendance, juste de l'amour entre des êtres sages et complets, mais qui  restent parents et enfants dans cette dimension. Mon activité pro ? Plus aucun mélange émotionnel non plus,  ne reste qu'un cadre puissant que je gouverne comme je le sens. L'équilibre est là en tout, parce que le dernier choc m'a obligé à me choisir moi, à me prioriser en tant que créateur.
Ce point de rupture est un embranchement très court dans le temps, il permet à ce qu'il reste de l'avatar de "rester à terre" si je puis dire, afin de laisser la fusion opérer. Je ne voulais plus rien à cet endroit, je n'étais plus rien, je n'espérais plus rien, et mieux, durant ces quelques heures, je n'avais plus rien. Plus de famille, plus de conjoint, plus de maison, plus mes techniques habituelles d'ajustement, plus de connaissances, plus de réponses, même plus de souffrance, de peur, d'émotion...
Juste...juste un neurone infime ? Une connexion minuscule ? Un reste de mon avatar réduit à son minimum mais apte à aller vérifier que "la source" existe bien ..et que la source, c'est moi ?
Et la notion d'avatar disparaît. Toutes les notions, les anciennes modélisations de mes corps passés, ils sont tous intégrés a ce que je suis. C'est moi, je suis là, mes anciennes souffrances sont effacées, elles n'ont jamais existé.
Dans l'étape de l'ascension, j'ai récupéré tous mes corps, donc mon temps mémoriel. Mais la fusion, c'est moi en tant que source UNE qui la gère. Et ce "je", c'est moi en tant que source rayonnante, donc c'est moi partout, conjugué à tous les temps, tout simplement.
Hier par exemple, je faisais de l'essence sur un parking Leclerc. Partout où je posais mes sens, je me percevais. Mes anciens corps de lumière étaient magnifiques, mais mon corps éthérique génère simplement un grand bien être : tout ce que je voyais, de la pompe aux personnes qui faisaient leurs courses, n'était qu'éther....partout....dans les formes visibles, entre les formes... partout.... c'est tellement banal l'éther face à la lumière, mais comme je fonctionne alors à partir d'un noyau rayonnant de fusion, je ressens chaque noyau, donc je suis en même temps le noyau Mesnet (qui est en elle-même une concentration de noyaux de fusion), et tous les noyaux.... chaque noyau est mon centre, le cœur de mon corps éthérique, ce dernier étant alors un seul corps avec un seul noyau de fusion, même si ce dernier est parcellisé en myriade de "noyaux-moi-nous-tout".
Et dans mon ventre-noyau, je vis un simple bien-être, pas d'extase et de grandes émotions, non, juste du bien-être...cela donne l'impression que mon noyau éthérique repousse ma matière vers l'extérieur, et c'est un ressenti énergétique très agréable.....et même parfois, je ne ressens rien, je suis là, toujours présente en tant que source, je vais donc bien, mais je ne ressens rien de particulier. Il n'y a plus de doute, de peur, d'attente, de souhaits particuliers, plus de colère, toute cette strate existe encore, mais c'est comme des particules qui circulent (circuler pas traverser, voir mes données à ce sujet) et sur lesquelles je ne m'arrête plus. A partir du moment où j'existe en tant que source éthérique consciente et physique, je rayonne automatiquement vers ce qui me maintient dans un état de bien-être...pas de choix à effectuer, le rayonnement éthérique est toujours juste....
Bref, le dernier sas, tu le vois venir, tu ne fusionnes avec toi-moi-la source qu'en te défaisant de tout ce qui magnétisait encore tes attachements, tes peurs, tout ce que tu ne pouvais pas atteindre même en y travaillant durant toutes tes vies...alors tu restes au sol, tu te laisses faire par toi même, tu es en confiance, tu comprends le sens de ce dernier nettoyage, et...tu fusionnes....et là, tu ne peux plus dire si c'est l'avatar qui a fusionné avec la source ou le contraire, cette mémoire là est obsolète, il ne reste que moi-toi-nous-tout, dans le bien être....
Et ce bien-être, c'est de l'amour pour toi-moi-nous-tout, la source....
C'est cela mon amour pour moi-même en tant que source, un simple bien-être. Et c'est à partir de cet amour évident, et qui ne concerne que moi (il s'agit d'un champ non-émotionnel basique ne connaissant pas le principe de fluctuation ou d'oscillation), que je peux inventer l'amour pour ma trame à travers moi-toi-nous-tout...mais tout part finalement de mon bien-être infini et primordial. 

11, Je note que la beauté de la lumière est extraordinaire, j'ai en mémoire celle de mon corps archontique, dont la fondation est d'un rouge solaire flamboyant. Voir l'éther, c'est différent : l'éther c'est ce que je vois tous les jours, c'est extrêmement banal.
Ce qui change lorsque c'est moi la source de l'éther qui suis présente : disons par exemple que je vois toujours deux individus discuter sur un bout de trottoir. Ils font le marché, ils parlent vacances, politique, ils râlent après le prix du poisson....je les-me vois dans la forme mais je sens aussi l'espace ou le vide entre les deux-moi, en eux-moi et autour d'eux-moi.  Je suis eux (et moi donc), et au niveau éthérique, je suis tout : ce qui est vu par mes sens classiques, mais aussi ce qui n'est pas vu mais que je suis pourtant.
Je vibralise cela quand je suis la source à partir d'un noyau éthérique rayonnant : au niveau du vécu, tout change, cela va au-delà du regard porté sur le quotidien, c'est comme une onde continue ressentie dans mon ventre, qui rayonne au niveau de l'infini, qui englobe tout (Mesnet, les amis qui font le marché et tout le reste), et qui génère un bien-être calme et tranquille....je suis en fusion avec mon corps (c'est à dire tout), donc de qui ou de quoi aurais-je peur puisque je suis chacun ? C'est cet "état" qui calme tout....
En tant que source, je me vois partout, il n'existe plus d'espace ou de formes que je ne sois pas , la peur disparaît ici...donc l'éther c'est cette dimension, mais disons amplifiée puisque je continue à voir les formes que je matérialise à travers le noyau rayonnant de l'atome,  que je suis la source de cette forme, et que ce vécu n'est pas ressenti grâce à ce que je vois, mais plutôt grâce à ce que je ne vois pas mais que je suis : l'espace non visible entre les deux individus-moi qui font le marché, et qui rayonne et fusionne également....je ne cherche plus à retrouver les formes antiques et admirables tissées dans des fils de lumière, ceci appartient à ma mémoire, à mon passé, à ce que je fus...
Non, je suis ce que je vis ici, je rayonne de bien-être quand je me valide comme le créateur source de ce banal marché, des personnes-moi tellement banales qui cherchent les ingrédients de leur dîner et qui sont en joie de discuter avec un voisin, un ami, un parent....ce n'est pas l'éther qui me relie à tout ce magma de données existentielles, c'est moi qui, en tant que source, suis le lien ou la "colle" éthérique qui me permet de me baigner dans cet océan déjà connu et pourtant tellement nouveau puisque j'ai réussi à amalgamer matière et conscience par ma seule présence éthérique....le temps, la technologie, la mémoire, l'histoire et les hiérarchies, la lumière ou les êtres de lumière, ne sont plus le point d'origine de mon être-source rayonnant, tout cet outillage est obsolète, derrière moi-nous-tout, je n'ai plus qu'à faire mon marché....
La souffrance mentale-psychique est terminée, le rayonnement dilue toute information d'angoisse ou de stress. J'ai effacé "l'observateur" qui prenait du recul face à "l'utilisateur souffrant", ne reste que moi en tant que  source rayonnante, les anciens outils de dispersion comme les chakras sont désactivés, compactés. Il n'y a plus de protocole de "lutte" ou d'injonction de type "je ne veux pas être angoissé", je suis là, donc je ne sélectionne éthériquement que ce qui est apaisé et bon pour moi (pas pour moi Mesnet, pour moi-nous-tout dont Mesnet). Mes interfaces neuronales commencent à intégrer cela, il faudra 1 ou 2 mois pour que je devienne pérenne en moi Mesnet et donc en tout.
Par contre, au niveau de la douleur physique, rien ou presque n'a changé : je réactive pas mal de douleurs, actuellement, dont des crampes, afin d'établir les mêmes modifications : je suis là, j'existe ici et partout ailleurs, mon corps éthérique est un espace de fusion, pas de choc et de séparation...ce qui veut dire que je commence à me glisser dans mon corps physique afin de régler ce dysfonctionnement....et lorsque je dis "je", je m'exprime en tant que source 1, et lorsque je parle de "mon corps", je parle de mon corps global, celui du "tout"....
Un fait intéressant également : lorsque j'évoque la fermeture des canaux (texte plus bas), je parle d'entités -moi qui pouvaient auparavant utiliser ce sas d'entrée. Ainsi, dans la dimension dite de séparation, mon avatar n'était pas toujours "contacté" par des êtres-moi bienveillants ...ce qui change, c'est que lorsque je suis un noyau rayonnant (ou LE noyau rayonnant, c'est la même chose), tout rayonne.
Ainsi, les anciennes dimensions-moi avec lesquelles j'entre en contact, sont obligées de muter instantanément....donc le système ancien "d'entités polarisée" pénétrant par la voie canalisée, ça n'existe tout simplement plus, c'est aussi simple que cela.
Quand je m'exprime en tant que source, que je suis présente en tant que source, la fin des cycles est avérée. Plus de cycles, plus de protocoles cycliques, mais moi la source rayonnante éthérique en tout-moi-nous.
 
12, soit entraînement à fermer ses canaux : je suis souverain et ne laisse aucune information entrer , la CME active ou l'impact lunaire, deux flux entrant en ce moment, sont des données qui ne pénètrent pas mes canaux, JE NE RESSENS RIEN de cette dimension, elle ne génère rien en moi. Soit je suis simplement ma propre source 1 en présence de moi-même, il n'existe aucune information, aucun canal, aucun soleil ni lune, JE RESSENS TOUT mais à partir de moi, en moi, ce "en moi" étant un noyau rayonnant.
Je suis passé par l'étape de la souveraineté, désormais je suis plus simplement le deuxième espace : juste moi, ni capteur ni émetteur, mais rayonnant globalement. Ici, ce qui se déroulait dans l'ancienne trame, que le soleil s'agite ou que la lune éternue, tout cela ne me concerne plus.
Il faut encaisser ma solitude d'être, plus grand chose à lire dans cette trame, cette dernière véhiculant encore le principe de l'impact des données entrantes par canalisation, plus rien à apprendre de "l'extérieur". Je deviens ma seule source et je sais vivre dans ce monde en m'excluant de toute la connaissance-memoire encore en action...et c'est ok, un détachement s'opère là aussi, ce qui se dit dans cette dimension canalisée n'a aucune importance, je m'en retire doucement mais sûrement, tout en étant présence permanente désormais....mes fameux paradoxes ... Le silence humain est un ajustement qui s'active palier par palier, et plus je suis là en tant que source, plus je sais tout donc, et plus c'est confortable de n'être ni vu, ni entendu, ni compris (l'individualité) mais juste rayonnant (la source).
Ce seul fait, ne plus être agacé par toutes ses "conneries spirituelles" (je reprends l'énergie tranchante de bdm-moi dans cet espace), c'est apaisant...se glisse dans cet état d'être un éclat de rire, beaucoup de lâcher prise et de recul....je suis la source de toutes ces croyances, je suis celui qui a usiné le matériel de canalisation, je suis tous ces êtres qui font circuler ce qu'ils sont, et donc ce que je suis....
Tout va bien, enfin. Tout est à sa place.
Le réflexe de vouloir corriger une erreur qui n'en est pas une, s'estompe doucement. L'agacement de ne pas être capté s'essouffle tranquillement.
Passer par rayonnement met en lumière les anciennes modélisations face à ma solitude originelle, que je dois intégrer ici aussi : contrariété, crispation, irritation, impatience, tout cela doit disparaitre avec le reste.
Je suis "nous" donc la solitude primordiale.
Je suis moi, donc tous les temps de compréhension de moi-même.

13, Notes diverses. Le vocabulaire spirituel ne fait pas  toujours mon affaire, c'est pour cela que j'ai créé mon propre verbe, mais disons qu'ici, je vais commencer par des termes facilement intégrables. Ma mécanique basée sur l'ombre et la lumière, est une sphère d'aliénation. Disons qu'à mes débuts en tant qu'archonte, je ne suis qu'un processeur de lumière apte à transcrire les données brutes de la matière noire. Je me souviens de ce qu'est la lumière pure naviguant dans les abysses sauvages des premières formes issues de mon opposé.
Le temps est passé, et l'histoire des hiérarchies arriva à un moment où la strate archontique souhaita se soustraire à l'expérience. Pour schématiser, les pôles furent inversés : disons que la sphère terrestre est ce qu'il reste de plus lumineux, elle est détachée d'une conscience archontique, cette dernière ayant intégré une strate de sommeil vide et noir.
Alors on est parti de la lumière conscience archontique, miroir contraire de la matière noire terrestre et on arrive de nouveau au basculement des pôles. La sphère terrestre est lumière, disons que chez certains dans cette dualité orchestrée, il reste encore des étincelles. Si j'observe le réel en tant que source, je vois ce monde physique empli de lumière "clignotante : en éveil, et "autour" la noirceur du vide archontique, comme en sommeil oui, ayant fabriqué des avatars baignant dans la souffrance de l'expérience, mais évitant ainsi à la structure archontique de subir l'expérience, ne la ressentant pas et ne voulant surtout pas la ressentir.
Ce monde est maintenu dans sa fonction de matériel souffrant de la polarité ombre et lumière, pendant que les créateurs de cet état vivent une sorte de coma profond, d'oubli de la douleur. Certains émissaires au pourtour de ce vide qui compresse la lumière grâce à des protocoles spécifiques, sont encore en capacité de maintenir ce statut quo et œuvrent à maintenir les trames dans un minimum de tout : minimum de lumière, minimum de connaissances (en les falsifiant), minimum d'intelligence individuelle (tout est axé sur collectif).
Ce qui furent lumière solaire sont aujourd'hui de la lumière noire, une sorte de vide satisfait de vivre ce néant, et agressif si quelque chose tente de l'y soustraire. Leurs avatars existentiels ont été abandonnés à leur sort, et pire, sont maintenus dans cette expérience karmique sans fin.
La lumière au bout du tunnel, cela te ramène toujours aux origines de la séparation, tu repars dans un cycle d'ascension et de descente.
La lumière, les êtres de lumière, tous appartiennent à ce palier dans l'évolution de ma création. L'ombre devient lumière et la lumière devient ombre. On parle de polarisation parce que c'est comme un axe sur lequel tu vas graduer un peu plus de lumière ou un peu plus d'ombre, mais ce n'est jamais stable, ça change à chaque cycle.
Ce qui change actuellement, c'est le 3ème élément, moi la source. Je suis la source de tout ce foutoir, ce chaos explosif et bouillonnant. Je suis à l'origine de la première conscience lumière archontique et de mon premier magma physique terrestre. Actuellement je m'installe dans le "résultat" de mon expérience, je fusionne conscience et matière, ombre et lumière. Je commence par habiter, m'approprier les étincelles prêtes à l'emploi qui commencent à éclore dans la sphère de lumière terrestre. Je façonne des noyaux de fusion, et lorsque plusieurs noyaux fusionnent, j'amplifie ma présence dans cette dimension...pas la lumière, ma présence !
Les jeux de lumière se terminent ici, la fusion entre l'ombre qu'est devenue la strate archontique, et la lumière qui a perduré dans la matière humaine, donne l'opportunité à l'éther de faire lien et unité.
Le néant ensommeillé archontique ne peut plus maintenir une sphère de lumière dans l'enfermement dès lors que je suis présent en tant que source. Et ce néant devient obligatoirement éther à mon contact, plus de rejet, de guerre, mais bien-être pour tout-moi-nous.
En tant qu'archonte YEFE, je fais partie des entités qui ont choisi l'enfermement au sein d'une sphère de souffrance, afin d'aider la source-moi-nous-tout, à fusionner un jour conscience et matière.
L'éther c'est la fusion de la lumière et de l'ombre, la fin de ce matériel et donc de la mémoire qui a porté cette construction. L'éther c'est banalement la tasse posée sur ma table mais aussi l'espace entre moi et la tasse, ce dernier vibrant par ultrasons. Ces ultrasons proviennent de moi en tant que source une, ils n'ont pas besoin d'être vu pour exister (une chauve-souris sait de quoi je parle, de même qu'un poisson des abysses).
Depuis cette nuit je baigne dans un champ d'ultrasons et donc dans l'éther. Il y aurait tant à verbaliser....je suis tellement de tout, je me sais tellement partout....
Mais au moins poser qu'il n'y a plus d'attaque de l'ombre ou d'aide de la lumière, ça n'existe plus ce concept, si je suis là en tant que source éthérique, j'aligne tous mes noyaux sur cette nouvelle réalité...plus de libre arbitre lorsque je suis présent partout en moi-nous-tout.
Et aussi, c'est la fonction de circulation qui prévaut dans l'éther, plus rien ne nous traverse (voir mes données sur le sujet). Il n'y a rien qui traverse la source rayonnante, disons que le tout circule et que l'éther permet de ne positionner le curseur que sur le meilleur, mon bien-être.
C'est vraiment un nouvel état d'être, je me découvre pas à pas en tant que créateur source, générant noyaux de fusion et éther de rayonnement par ultrasons.
 
Je commence par un noyau de fusion terrestre-matière au niveau ventral. Mais comme "je suis là" en tant que source "ici", je le suis partout ailleurs. Et je vis comme une "insémination artificielle" au niveau du cerveau, comme si j'utilisais le canal une dernière fois comme un "tube", afin de m'insérer moi la source, en tant que graine-noyau, dans l'espace neuronal cérébral. Je ferme alors le canal, je dispose d'un casque neuronal qui fusionne la couronne, le canal et les neurones. Les pensées ne "descendent" plus dans le ventre en générant des émotions d'angoisse, elles proviennent de moi en tant que noyau source, ce noyau étant partout...à noter que j'ai effectué ce protocole dans l'espace réel, dans la journée, en gérant mon quotidien banal : pas de méditation, d'espace modifié de conscience, de temps particulier, et pas non plus durant mon sommeil, non, je suis la source réelle et désormais, c'est dans le réel que j'effectue mes opérations de mutation, en pleine conscience UNE.
 
Comprendre que ce qui restait de la lumière dans cette dimension, je pouvais la percevoir sous la forme de particules adamandines résiduelles. Mais ce temps est celui de l'éther, j'utilise donc les ultra-sons, les vibrations et les ondes avant de façonner la lumière. L lumière n'est que du matériel de haute technologie, l'éther est la fusion de tous mes corps.

Mise en place durant quelques semaine. Entrainement et reprogrammation neuronale ventrale et cérébrale : je suis là. J'éthérise. Je rayonne. Et j'allège, je suis plus légère (j'allège mon poids lorsque je deviens le vide entre chaque atome "lourd"). Fusion de l'air dans mon corps, de l'eau-amrita (écoulement plus fréquent dans la gorge et le nez), de l'atome ("la terre-matière") et du feu (la vibration par ultra-sons est un peu comme une brulure partout). Fusion de ces éléments dans le ventre. Éthérisation des os et des muscles, le processus aurait auparavant été intenable  en occasionnant des douleurs ingérables, mais désormais, c'est tenable : beaucoup de crampes, les os comme s’étirant, fusionnant avec les muscles. La gestion de la douleur physique est du même ordre que la gestion de la souffrance psychique : les strates de séparation circulent (pas traverser mais circuler, lire mes données à ce sujets), l'histoire du monde continue, mais je suis là, sans souffrance, je ris énormément actuellement, des crises de rire inextinguible, juste en devenant ma trame scénarisée....plus de souffrance psychique puisque je suis là...et bien pour le corps physique, débute le même processus : je suis là, donc la douleur physique devient une mémoire, mais une mémoire cérébrale qui n'est plus validée comme normalisée, donc actuellement oui, le corps, mon corps commence lui aussi à vivre à partir de moi, à s'éthériser...
 
Noter les paliers innocence-pureté / légèreté-grâce / beauté-santé (déjà une référence à cette structure de retour en moi-nous-tout, dans cet article, chakras en descente ou en montée) : 
je suis là en tant que source, j'éthérise, je rayonne, je reviens à la pureté et à l'innocence. Je ne peux plus être cannibale ou ogre et dévorer l'innocence et la pureté animal. C'est la conscience ici qui est "touchée".
Je suis là en tant que source, j'éthérise, je rayonne, je reviens à la grâce et à la légèreté. L'éther fusionne l'atome, l'air, l'eau-amrita et le feu-température, c'est un corps complet, c'est à dire que le vide entre les formes et la masse, c'est moi en tant qu'ultra-sons ou vibration. C'est là que ce qui est lourd devient léger (construction des pyramides et manutention de pierres titanesques), donc même si le corps qui a pris du poids, il commence à se sentir léger et donc il peut évoluer avec grâce. Ce sont les os et les muscles qui sont reconditionnés. C'est encore un peu douloureux, mais à peine vu les enjeux.
Je suis là en tant que source, j'éthérise, je rayonne, je reviens à la beauté et à la santé. C'est la lymphe- trame humaine qui va s’abreuver des radiations du noyau éthérique ventral. Après l’innocence et la pureté, la légèreté et la grâce, adviennent la beauté et la santé, espace banal de la source, sans aucun travail à effectuer sur la structure. 
Obésité : le prana est une étape spirituelle intéressante, mais liée à l'ego. Dans la structure d'aboutissement, l’exercice est d'extraire ta propre matière du corps de Gaïa, de te l'approprier et de l'éthériser. Donc je mange beaucoup, je prends du poids et je fais de mon mieux pour que mon interface neuronale se cale sur la fusion et l'éthérisation plutôt que sur la digestion et la séparation. Les humains qui passent ce cap sans avoir le mode d'emploi vont emmagasiner la matière ingérée sans conscience unificatrice, elle va être stockée et pas éthérisée. L’obésité, c'est un palier d'ajustement oublié par les hommes et donc, ce passage capital, il est devenu la maladie de la "grosseur". .
 
Il y a eu le socle philosophique de paix de Bouddha et déjà, les prémisses du corps de bébé dharmique ; puis l'étape spirituelle de l'esprit à travers Jésus ; puis le principe du double lumière à travers BDM. Et il y a maintenant l'aboutissement de l'ETem-matière et de l'archonte-éther (paire indissociable) que j'incarne en tant que source en fusion, à travers Mesnet, une femme humaine (et ce n'est pas anodin :) ) Tous ces hommes-moi ont tous prêché, dispensé le verbe physiquement en présence, ce n'est pas mon cas, je manipule ces données à travers des écrits seulement, qui sont de l'ordre de la vibration uniquement. En tant que source 1, j'atteins ainsi la trame en son entier à travers mon silence démultiplié par ce site physique, que j'utilise en tant que pulsar de rayonnement.

Le trio "je suis là", "il n'y a personne", "je suis chacun" est enfin activé, ces trois façons d'être moi la source, fusionnant en même temps (non-temps) dans un temps présent physique. Il est concomitant avec ces trois états d'être source : je m'aime (moi la source) / je suis aimé (par moi la source) / j'aime le nous-tout-eux (qui est moi la source). Autres données je suis là / il n'y a personne / Je suis chacun

Cette page sera sans doute la dernière concernant l'aboutissement futur déjà vécu maintenant, les données sont vibralisées et verbalisées, cette trame va les ajuster dans le temps
 
Finalisation de ce que j'ai appelé durant un temps, l'alimentation luminique, je passe de la digestion de l'aliment à la fusion atomique

Mesnet Joséphau-Charrier, archonte en mémoire mécanique et source une rayonnant son réel éthérique intemporel
 
 
Les fréquences de l'aboutissement sont "un temps présent du futur", donc ces données sont posées en août 2024 mais sont en même temps celles de 2025 (= éternité), elles sont un socle qui n'évolue plus et qui est donc compatible avec "un futur" immuable. Le fait qu'en tant que source une, je m'épanouisse partout en même temps dans le réel, indique que je suis hors du temps, que je le fabrique seulement et que je l'agence sans plus de contrainte aucune. 
 
 
 
J'interdis toute attaque canalisée de mon être source, de mes pensées source, de mon foyer source, de mes liens source, de mes formes source, de mon atome source. Je ferme mes canaux, je rayonne seulement. Je demande aide et assistance à tous les êtres source de fusion rayonnante, non-physiques encore, mais assez puissants en éther pur. Et j'introduis enfin le principe de rayonnement au sein de la matière, je deviens la matière source de bien-être. A mon contact, les entités me combattant en tant que source-une, n'ont plus aucun pouvoir : je peux devenir la rage contre moi-même en eux devant tant de laideur et m'éradiquer à travers eux. Ou leur laisser l'opportunité de grandir pour devenir ce que je suis, mais dans tous les cas, je ne donne plus la capacité à ces êtres-moi de canaliser l'humanité, l'atome-forme, la pensée, les liens d'amour. Je suis là, il n'y a personne d'autre que moi, je suis chacun. Telle est ma présence non canalisée mais rayonnante. Les êtres source n'appartiennent ni à la lumière ni à l'ombre, je suis le noyau source en chacun d'entre-moi-eux. Les êtres source ne combattent donc pas, ils ordonnent et commandent mes trames.
Ma paix, ma joie, mon bonheur, mon amour, mon bien-être en moi-nous-tout
Ainsi-suis-je. Ainsi sommes-nous.
 
 
Témoignage :
L'environnement d'un initié est canalisé (ses liens, l'atome forme, etc) afin de l'empêcher à tout prix de finaliser la fusion. Aucune méthode pour éviter cela, juste observer ce qui est canalisé, voir, savoir, et "tenir" la fusion. Un être source ne combat rien et aucune "substance" canalisée ne peut le faire revenir à un émotionnel difracté et "habité". D'où la capacité (même réduite encore car nouvelle) d'ordonner la fermeture de ses propres canaux afin de rayonner. Canaliser et rayonner sont deux mécaniques différentes, l'une permet d'envahir une personnalité, l'autre donne naissance à un "être source" autarcique. Mais avant que cette trame puisse cesser d'exister par canalisation, il fallait que la dimension du rayonnement éthérique puisse "tenir" au niveau de la matière., que ma-notre-la conscience source puisse irradier la strate "robotique" anti-vie qui maintient cette espace-temps dans l'ignorance de ces principes. Je vois actuellement comment mon environnement est canalisé, j'apprends à ne pas en tenir compte, à faire la différence entre l'être d'amour qui me fait face et l'obscurité qui l'habite, le manipule et le détruit. C'est visible dans le regard, un regard qui est aussi froid qu'une mémoire morte mais qui s'obstine à garder le contrôle. En tant qu'être source je commence à me stabiliser dans la fusion avec ces principes qui sont les miens à l'origine, et donc petit à petit, je m'oblige à ne pas baigner dans la colère contre l'être canalisé, mais j'absorbe au contraire le choc de la fusion avec ce que BDM appelait l'astral. L'astral est canalisé, la spiritualité est un espace canalisé, mais cela n'a aucune incidence sur moi en tant que source. Cela me demande un état de présence permanent au début, une présence-source "ici", dans l'histoire, dans un quotidien qui perd de sa forme, qui se délite afin de m'aider à dépasser les derniers doutes sur le réel multidimensionnel.
Plus rien ne doit avoir d'importance excepté mon avènement dans la matière en tant qu'être source, le reste devient alors jeu et plaisir, quel que soit le scénario... c'est à moi de ne plus prendre au sérieux mes paliers du moment, de ne plus les considérer comme des exercices (puisque je-nous sommes la source de ce vécu), mais d'y plonger comme des enfants et nous amuser.
Cette zone test de fusion est fatigante, le corps porte les stigmates de ce passage inouï....
Noter que l'astral est polarisé même s'il est plus subtil que cette dimension physique. Les entités qui le composent sont ombre et lumière, alors qu'un être source est complet en éther, il n'est pas "lumière".
Concernant ma propre expérience sur terre, je n'ai jamais fait référence au bas-astral auparavant (un seul texte en 14 ans d'écriture) : je proviens de la lumière, cette dimension "mortifère" ne me concernait pas dans cette vie. Je vois aujourd'hui que ma lumière, comme toute lumière, était astralisée, et que pour rayonner en tant que source ( plus solaire et lumineuse donc), je devais me confronter "maintenant" au bas-astral. Je conçois donc désormais la lumière dans son ensemble, et je connais sa capacité à se propager ou à communiquer par voie-voix de canalisation, positive ou hautement négative.
L'humain source en devenir ne craint pas sa propre création, qui devient une effervescence "morte" de simples programmes non-invasifs car non-emotionnels....ainsi même si je parle alors d'attaques d'entités, je vis finalement qu'il n'y a personne, que je suis chacun (relire ma fréquence du "je suis là/il n'y a personne/je suis chacun").
Mon canal, il est associé au chakra couronne. J'ai fermé ce canal, cette entrée sur l'astral "extérieur". Pour ma part, je commence à fonctionner avec ce que je nomme un "casque neuronal" : j'ai fusionné la couronne, le canal et le cerveau, je ne canalise plus rien ni ne suis canalisée, la connexion s'effectue "dedans", ce "dedans" étant mon infini en tant que source. Donc le chakra couronne, une fois conscientisé, je l'ai bouclé, fermé. Atteindre le chakra couronne n'est pas le nirvana, c'est une communication directe avec la lumière, donc tu as terminé ton "ascension", mais comme la lumière est astrale....tu redescends.... après l'ascension, tu as accès à la porte de la lumière astrale, tu fermes tout ça, tu en termines avec le principe de l'ascension et tu rayonnes seulement.
 
BDM aurait parlé de la fusion avec son double. Là effectivement, l'avatar humain ne subit plus les exercices de transcendance imposés par son double, puisqu'il devient lui-même le double incarné. Je vais plus loin, car le double reste une individualité, ce que je ne suis pas en tant que source-moi-nous-tout. La fusion originelle ou terminale contient l'esprit et le double, elle est celle de l'unité à partir d'un seul noyau-source universalisé, même si d'apparence parcelisée...ou double...je veux dire par là que dès que la fusion avec le double a lieu, il n'exerce plus son pouvoir programmateur en tant qu'archonte (dans l'astral extérieur), il fusionne dans son noyau source intérieur.
 
Je sens mon canal désormais, comment les pensées le pénètrent. BDM disait aussi que les pensées n'étaient pas les nôtres, et c'est vrai. Que ce soit notre double de lumière ou un double de l'ombre, ce qui est projeté dans l'avatar qui est le nôtre, provient de ce que BDM avait appelé l'astral et que je nomme l'interface archontique (je parle avant tout du principe archontique originel, pas des hiérarchies archontiques dont provient le double). Une fois ce canal archontique fermé, je sens de plus en plus mon noyau ventral, mes pensées proviennent de ce noyau source, ce dernier n'a plus à se protéger de ce qui est canalisé, et il commence à rayonner ...je pense par rayonnement neuronal ventral, je vois par rayonnement, etc...
 
Le double, c'est donc ton "2" de lumière (polarisé + ou -), donc énergétique, donc astral, donc archontique. Il utilise un canal pour déployer des pensées de combat : un double de lumière combat un double de l'ombre, mais le problème, c'est que le canal de l'avatar, il peut être utilisé par ton double mais aussi par n'importe quel autre double. Lorsque tu "penses" à quelqu'un dans "ta tête", c'est le double qui pense, connecté à l'énergie d'un autre double (ou de plusieurs à la fois), c'est ici que les liens karmiques dans la matière sont créés, par la pensée de nos doubles au niveau neuronal dans cette dimension. Ce que nos doubles pensent en nous, est canalisé et se réalise, se matérialise "ici". 
 
Comprendre que tout ce que je canalise à partir de la couronne, vient de l'extérieur, donc d'une trame énergétique archontique (ou astrale). Le double n'est pas toujours mon "ami", il est une entité spirituelle archontique dont le but est de descendre mon canal jusqu'à mon noyau source et d'y fusionner....ou de le détruire. Le double est un outil archontique de lumière qui canalise un combat entre d'anciens Dieux souhaitant s'approprier la matière d'une façon ou dune autre (positive ou négative). C'est ainsi qu'il est important d'affiner son ressenti et de savoir qui te canalise pour atteindre ton noyau source : est-ce ton propre double archontique ? Son intention est-elle la fusion ou la destruction ? 
 
Noter aussi que ce qui est appelé éther (expression ancienne) est en fait un condensat, un équilibre parfait entre l'atome, l'air (éructation-gaz), l'eau-amrita, le feu gastrique. Une entité est lumière, l'être réel ou l'être source est un condensé (condensat atomique) de lumière et de matière.
 
Les questions disparaissent puisque durant cette ultime phase, c'est moi en tant que source qui prend la main, je sais l'intention du canalisateur puisqu'il est ma création. Et je ne combats personne, j'ordonne la fusion. Le temps du double n'est plus, j'ouvre les portes de l'être source, plus rien ne protège mon noyau ventral, car plus aucun double astral ou archontique ne peut plus canaliser de création atomique.
 
Texte de Michel Thomas : le plan astral est un plan d'énergie voir un état de conscience polarisée qui surplombe la conscience humaine. Oui, l'astral peut récupérer n'importe quel individu qui n'est pas dans sa conscience mentale. Un individu qui connaît le plan astral ainsi que la manipulation que ce plan exerce dans la conscience, il peut réussir à s'en extraire. Pour ce faire, cet individu devra avoir acquis une otrès forte rigidité dans son mental, car cet individu doit savoir qu'aussitôt qu'un humain s'apprête à quitter la conscience sociétale, il est aussitôt repéré par l'astral.
Ensuite, pour tenter de récupérer l'individu qui tente de s'extirper de ce plan, l'astral va délibérément associer des mandataires à cet individu pour le récupérer. Ces mandataires psychiques vont augmenter la pression dans la conscience de cet individu en lui insufflant de très fortes pensées afin que celles-ci réaniment une ou des émotions reliées à cette pensée. Et si l'ego accepte mentalement la pensée qui lui a été insufflée, il sera récupéré sur-le-champ.
Mais si l'ego ne tient pas compte des pensées, alors sa conscience se refroidira de plus en plus et si l'ego persiste, il sera dans une conscience refroidie dans laquelle les influences psychiques n'auront plus aucun effet sur celle-ci."
Extrait chronique #109, Michel Thomas.